La Souveraineté Selon Machiavel

Deux tendances de l'homme : associable (le pousse à s'isoler), se centrer sur lui même (le pousse à entrer en conflits avec autrui). Il a aussi le caractère de sociabilité (le pousse à s'associer aux autres). « L'homme est un loup pour l'homme ». Selon Hobbes, la société est là pour réprimé cette tendance, il ne croit pas à l'innocence de l'homme, ne croit pas à la « pitié » de Rousseau. Pour Hobbes, l'homme à l'état de nature est un être belliqueux. Alors que pour Rousseau, l'homme à l'état de nature

n’assume pas pleinement ses intuitions nouvelles. Elle demeure une pensée de transition, tiraillée entre la via antica et la via moderna. Cela explique l’hésitation des auteurs lorsqu’ils parlent du droit naturel : par exemple, l’anti-christianisme de Machiavel le conduit à incliner le concept de droit naturel vers la force. Luther cherche en l’homme le « siège » du droit naturel, mais il en affirme en même temps le caractère divin ; l’école catholique de Salamanque demeure même, quant à elle, très proche

du choix d’un régime politique. La campagne référendaire fût marquée par des déclarations de réforme en profondeur du fédéralisme canadien. Pierre Elliot Trudeau, ciblant plutôt des moments clés pour intervenir dans cette campagne, disait que la souveraineté-association mènerait à un cul-de-sac, qu’il garderait le Québec dans les mailles du statut quo. Toutefois il promis de consacrer toutes ses énergies au renouvellement de la Constitution en lui apportant des changements majeurs par un fédéralisme

revient à dire qu’un pays est en démocratie lorsque le peuple dispose de la souveraineté que les gouvernés sont leurs propres gouvernants. Au final l’individu en se conformant au pouvoir en place, il ne fait qu’obéir à lui-même. On peut rapprocher cette définition de la définition de Montesquieu selon lequel : lorsque dans la République le peuple en corps a la souveraine puissance c’est la démocratie. On considère que c’est Machiavel qui a le premier fondé l’idée démocratique moderne parce qu’il fait de

Introduction Table des matières Cours de Philosophie Lecture suivie Bibliographie Index Chercher PhiloLog Cours de philosophie Flux pour Articles Commentaires « Présentation du chapitre XVIII: la politique. Machiavel. Morale et politique. » Comment concevoir les rapports de la morale et de la politique? 14 mai 2008 par Simone MANON Pb: Pourquoi a-t-on tendance à confondre les ordres? Pb: En quoi consiste leur hétérogénéité? Pb: Comment concevoir leur articulation? I) La confusion de la morale

avec le développement de la coopération et de la solidarité. Cependant, on constate que la majorité des échanges se font au sein des sociétés internes, ainsi la société internationale est fragmentée, entre les différentes relations internationales selon leur domaine, et on observe également une fragmentation géographique. Les premiers écrits sur les relations internationales sont le fait des philosophes de l’Antiquité, qui ont réfléchis sur les raisons pour lesquelles ont se fait la guerre, ses causes

nouveau à l’ordre, au moyen de la prise du pouvoir. L’acquisition du pouvoir par la force ne lui assure pas de durer, de se conserver. *Or ce qui préoccupe le Prince ( ie le détenteur de l’autorité politique) c’est de conserver le pouvoir. Machiavel (cf. Le Prince) est un technicien du pouvoir qui montre comment on l’acquiert, on l’exerce mais aussi comment on le perd. Les trois finalités de la politique seront donc : acquérir le pouvoir (en l’absence d’héritage du pouvoir), l’exercer et le

_____________________________________________ 4 L'administration du politique__________________________ 4 Chapitre 1 : La monopolisation étatique des fonctions gouvernementales 4 A- L'organisation étatique ____________________________________________ 4 B-Souveraineté nationale et nouvelles formes d'action publique _____________ 11 Chapitre 2 : __________________________________________________ 15 Le pouvoir bureaucratique _____________________________________ 15 A- le modèle Weberien : ____________________________________________

démocratie c'est le pouvoir du peuple, ou le gouvernement du peuple. Selon l'article2 alinéa 5 de la Constitution : « Son principe est : le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». Le fondement sur lequel repose ce principe c'est ce que l'on appelle la souveraineté populaire. L'État exerce un pouvoir souverain. Qui est titulaire de la souveraineté dans ce type de régime ? C'est le peuple qui est titulaire de la souveraineté. Rousseau est partisan de cette conception. Il y a un certain

adhérant a « l’étatisme », doctrine selon laquelle l’Etat doit intervenir de façon plus au moins forte dans la vie sociale et économique. C’est le seul qui peut endiguer l’homme et le sauver de son état de nature. Mais a cela Rousseau rajoute l’importance de la sacralisation du « pouvoir souverain ».Ainsi, il est « tout absolu, tout sacré ».Ce coté nous mène a comprendre que Rousseau ne s’arrête pas a l’étatisme mais adhère également a l’absolutisme, régime politique selon lequel tous les pouvoirs sont