La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

intime, ce qui lui permet de retranscrire toutes ses émotions et tout ces sentiments. Cette femme de chambre, qui est le narrateur, raconte son histoire, il est à l'intérieur de l'histoire. Le narrateur exprime ses sentiments, ses émotions, ses expériences. Pour cela, il utilise le pronom "je", "je ne suis pas", "j'y ai fait une place", "je vais vivre". Ce narrateur est un narrateur – personnage, il a un point de vu interne à l'histoire, on ne connait que ses sentiments à lui, "je ne suis pas sans inquiétude

savoir.(ex : manuel scolaire, discours de professeur) → 4- Les différents types de narrateur. 1ère pers.: le narrateur est intérieur à l’histoire : Interne : le « je » raconte son histoire, ex : la demeure d’astérion l1 à 89 Externe : le « je » raconte l’histoire d’autres personnes : il est témoin 3ème pers.: le narrateur n’est pas ans l’histoire : Omniscient : le narrateur sait tout Interne : Le narrateur adopte le regard d'un seul personnage; il voit la scène par ses yeux (du personnage)

commentaire. 1ere etape : on se pose 10 questions sur le texte : 1: Le paratexte ? Pout situer l'oeuvre dans l'histoir litteraire 2:La typographie et la mise en page 3:On releve les indices de lénonciation ( les pronom personel , les marque de la subjectivité, les indices spaciaux temporelles ) 4: on indetifie les formes de discours et fonction du texte ( le poéme, la scene de theatre , essai...) ( un but argumentatif, narratif , explicative , descriptive) 5: on indentifie les genre du texte et les

................ . TABLE DES MATIÈRES ............................................................ 11 INTRODUCTION ........ , ............................................ , ... ... ... ... ... 1 CHAPITRE 1 LE SUJET PARLANT: UNE SUBJECTIVITÉ MOBILE DANS LE LANGAGE 1. Le sujet dans le langage: manifestations et lieux d'ancrage ..................... 9 1.1 Le dédoublement référentiel dans La Route des Flandres ....................... 14 1.1.1 La perception de soi: les enjeux référentiels

une……………………………………………… . ………………………………………………se fait arrêter peu après. 3) Le point de vue du narrateur. a- Quel est le point de vue adopté par le narrateur dans la nouvelle « Ce jour-là » ? /3pts (Répondre par Vrai ou Faux) * Le narrateur voit à travers un personnage ; le lecteur accède à la conscience du personnage et suit le récit à travers sa subjectivité…………………………………… * Le narrateur voit tout et sait tout : le point de vue est omniscient (focalisation zéro), si bien que le lecteur

sainteté) pauvreté>< narrateur externe NE : NI : anonyme – voix narrative choisie par l’auteur – ce n’est pas une personne – n’appartient pas à la fiction – s’exprime à la 3ème personne – est différent de l’auteur. acteur des événements – 1ère personne de la conjugaison – manifeste une subjectivité par les adj. Et le voc. Utilisé (‘elle est moche’…) Focalisation ou point de vue = qui voit, entend, ressent, pense ? Point de vue omnisciente ou focalisation zéro : le narrateur est omniscient,

par le narrateur, qui se met lui-même en scène : l’expression de la subjectivité donne au discours le ton d’une confidence adressée a son correspondant – et de ce fait au lecteur. On repère aussi l’expression des sentiments, par exemple dans la phrase : « j’entrai tout à coup dans un néant affreux ». 2. L’intensité dramatique Le récit présente une forte intensité dramatique, soutenue par différents procédés. La première catégorie de procédés tient à l’expression de la subjectivité, dont nous

et là dans les brumes grises du ciel une crevasse par où tombait un rayon de soleil. » (p.33). Cet extrait démontre bien la subjectivité du condamné face à la vie, qui est expliquée par la métaphore qui désigne la vie qui ouvre des champs de lumière dans les parties sombres de notre existence. En deuxième lieu, on peut bien démontrer que le condamné se sert de la subjectivité pour voir le monde d’une certaine manière. Voici un exemple, deuxième extrait : « Mais à peine les forçats se furent-ils dépouillés

/lere Portraits. proustiens :/LA GRAND-MERE/ "Hélas, ce fantÔme-là, ce fut lui que... que je ne connaissais Le cÔté de Guermantes, -- -- (coll. "QUARTO",Gallimard pas." ,p 853/854) 1/ SITUATION /PRESENTATION /MOUV;EMENT/NATURE : Le narrateur(qui fait son service militaire à quelque distance de Paris)a reçu un coup de téléphone de sa grand-mère;"le téléphone n'était pas d'un usage aussi. courant qU'aujourd'hui" rappelle-t-il afin d'expliquer l'impression d'élOignement que lui procure

des nouvelles, qui ont un but moralisateur et qui doivent toucher fortement et de manière assez rapide le lecteur. Par exemple, Boccace dans son célèbre Décaméron, recueil de cent nouvelles écrites en italien, laisse transparaître toute subjectivité du narrateur par-rapport aux personnages, implique le lecteur en employant « on » dans les formules comme « On juge de sa colère soudaine » et l’interpelle enfin : « mais sommeil ? » De cette manière l’auteur est sûr de toucher son lecteur d’encourager