La Tempête Shakespeare

acceptation par le public de la « vérité » de ce qui est montré sur la scène, les conventions propres à créer cette acceptation, la « feintise » du jeu de l’acteur ont fait l’objet de nombreuses réflexions, de PLATON à BRECHT, en passant par SHAKESPEARE, DIDEROT ou MUSSET. L’illusion théâtrale : Une convention passée avec le spectateur « Ce trou à coq peut-il contenir les vastes champs de la France ? Pouvons-nous entasser dans ce cercle de bois tous les casques qui épouvantaient l'air à

scène de l’antiquité 21 b) Les importants metteurs en scène du Moyen-Age 21 c) Les importants metteurs en scènes du VIIe au XIXe siècle 21 d) Les importants metteurs en scène contemporains 22 VI. Les grands auteurs dramatiques 23 a) Sophocle 23 b) Shakespeare 25 c) Molière 29 d) Corneille 30 e) Racine 31 f) Marivaux 36 g) Beaumarchais 36 h) Hugo 37 i) Musset 40 j) Strindberg 41 k) Brecht 41 l) Beckett 42 m) Koltès 42 VII. Lexique 43 a) Accessoire 43 b) Comedia dell’Arte 43 c) Comédie 43 d) Décor 43

représente la nature, donc la liberté pour Rimbaud. J’ai choisi ce poème car il met en avant la nature, or pour Rimbaud, la nature c’est la liberté, le vagabondage. Ce n’est pas un des poèmes que j’affectionne le plus parce qu’il a un rapport avec Shakespeare, ce qui le rend plus compliqué à comprendre. L’image que ce poème donne de Rimbaud est une image de Rimbaud qui est amoureux de la nature. Il personnalise cette nature, comme s’il s’agissait d’une femme.

changement souffle en rafales sur la France libérée », page 113). Les images du feu connotent la ferveur d’une Résistance vulnérable, comme nous pouvons le voir à la page 214 : « la flamme d’ambition nationale, réanimée sous la cendre au souffle de la tempête ». Les images de la terre symbolisent le renouveau : « (la France) redressée de siècles en siècles par le germe du renouveau » (page 345). Les images de la mer (les plus présentes) quant à elles évoquent l’idée d’une France symbolisée par un bateau

Corneille, « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. » dans L’Avare de Molière, et ce ne sont que quelques exemples parmi des centaines ; mais on en trouve aussi chez d’autres : « To be or not to be, that is the question » dans Hamlet de Shakespeare, « Tu ne peux pas tuer six êtres pour en sauver un seul ! » dans Montserrat, de Roblès. Ces maximes sont destinées à se graver dans l’esprit des spectateurs, mais aussi des lecteurs. D’ailleurs, ce ne sont pas seulement des maximes que nous offrent

de sens qui crée le courant romantique. Goethe va s’emparer du mouvement (1749-1832), tout comme Schiller (1759-1805) pur dire leur inspiration qui sort du modèle français et dont il se sentait prisonnier : Sturm und Drang qui signifie à peu prêt tempête et bouleversement. Beethoven crée L’hymne à a joie avec un poème de Schiller. Ils arrivent e France par l’intermédiaire de Mme de Stael (De l’Allemagne) par laquelle la thématique romantique va imprégner certains lecteurs en France : «  Le nom de

à décrocher successivement les postes de directeur musical aux opéras de Würzburg et de Magdebourg, ce qui le sortit de quelques ennuis pécuniaires. C'est à cette époque que Wagner écrivit Das Liebesverbot, opéra inspiré d'une pièce de William Shakespeare (Measure for measure). La création eut lieu en 1836, mais l'œuvre fut accueillie avec peu d'enthousiasme. Un peu plus tard, en 1836, Wagner épousa l'actrice Minna Planer. Le couple emménagea alors à Königsberg puis à Riga, où Wagner occupa le

Cette poésie retentit encore des accents lamartiniens lyriques et mystiques, elle est floue et irréelle, elle fait entendre une musique des flots qui louent le Seigneur. Deux ans plus tard, en juin 1836, à St Valéry en Caux, il assiste à une vraie tempête que l’on retrouvera dans « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir » dans les Voix intérieures. De ses premières approches, Hugo sent la mer comme une présence hostile. Il éprouve un malaise. Aucun des poèmes écrits entre 1834 et 1836 ne la

personnage de bandit…créé par Hugo lui-même et héros éponyme du drame à l’origine du scandale ! Le crime de lèse-majesté est patent, et il nous fait rire, comme nous font sourire également d’autres expressions aussi savoureuses que « Je fis une tempête au fond de l’encrier » (v. 69). Tout se passe comme si le poète craignait par moment d’être pris en flagrant délit de sérieux, brouillant ainsi un peu plus son image : paria ou révolutionnaire, paria et révolutionnaire, ce sont bien des rôles, des

Darrow, William. "Keeping the Waters Dry: The Semiotics of Fire and Water in the Zoroastrian Yasna." Journal of the American Academy of Religion 56 (1988): 417-442. De Rachewiltz, Siegfried Walter. De sirenibus: An Inquiry into Sirens from Homer to Shakespeare. Ann Arbor: UMI Press, 1989. Eckhart, Schäfer. "Das Staatsschiff. Zur Präzision eines Topos." In Peter Jehn (ed.), Toposforschung. Frankfurt: Athenäum, 1972, 259-292. Foster, Jerry. "Varieties of Sea Lore." Western Folklore 28 (1969): 260-266