La Tendance Selon Les Differents Philosophes

l’autonomie est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi. L'autonomie est synonyme de liberté, elle se caractérise par la capacité à choisir de son propre chef sans se laisser dominer par certaines tendances naturelles ou collectives, ni se laisser dominer de façon servile par une autorité extérieure. L'hétéronomie est la capacité d'un être vivant à subir la règle du milieu environnant. Chez l'homme, l'hétéronomie représente l'incapacité à se donner

alors que l’injuste cherche juste à l’être : justice cherche « la considération qui en découle » [363a] - Critique des poètes et de ce qu’ils font croire alors même que l’âme des enfants découle de leurs histoires : « mensonges blasphémant » [363d]. Selon les poètes : la plus belle récompense de la vertu est une ivresse éternelle, effraient les hommes alors que chacun devrait demeurer son propre gardien craignant l’injustice [367a] - Pour comprendre ce qu’est la justice pour les hommes, on doit s’interroger

réponses fermes, homogènes et identiques ; mais il aurait une infinitude de lectures et d’approches selon l’épistémè de chaque philosophie et à travers l’époque de chaque philosophe. Il est question donc de revisiter l’histoire philosophique afin de saisir les différentes prises de positions philosophiques relatives à la dualité éducation/liberté, et de comprendre les différentes articulations et les différents liens possibles - qu’ils soient contradictoires, paradoxaux, complémentaires ou analogiques -

partagée par les philosophes et savants de tout temps. Mais ceux-ci n’en reconnaissent pas moins les pouvoirs du langage : le langage est ce qui permet d’organiser les pensées, d’avoir des idées générales, de procéder à l’abstraction, de classer les choses ou encore de persuader, d’agir sur les autres. Par ailleurs, le langage est imparfait, il ne permet pas à la pensée de parfaitement se déployer, ou pire encore, il la fige. Voyons à présent ce qu’en pensent certains philosophes. La « philosophie

Intro de la dissert de philo: Que désirons nous ? Tout d'abord, désirer, c’est tendre vers quelque chose, que cela soit réel ou immaginaire. Mais la « tendance » est souvent assimilée à la pulsion spontanée, mais il ne faudrait pas confondre le désir et la volonté. La volonté est consciente a priori, normalement lorsqu'on a la volonté de faire quelque chose, on sait ce que l'on veux ! Ce qui est conscient dans le désir c’est le fait même de désirer ; ce qui a priori est inconscient c'est pourquoi

monde. Un philosophe entre en contact avec elle et lui fait parvenir des lettres par l’intermédiaire d’Hermès, le chien qui apporte les enveloppes . ces lettres l’initient à la philosophie. Elle rencontrera ensuite l’auteur qui continuera à lui enseigner la philosophie en dialoguant avec elle et , en lui présentant tous les philosophes qui ont marqué l’histoire. SOCRATE Dans l’Antiquité, il y eu trois grands philosophes : Socrate, Platon et Aristote. Socrate est le premier philosophe à être né

d'Alexandrie. Selon FLK Cicéron (Les Lois, II, 6), la République est le premier livre de philosophie politique grecque. Mais Platon fut accusé par Aristoxène d'avoir copié les Antilogikoi ou le Peri politeias de Protagoras (Diogène Laërce, III, 37). Aulu-Gelle (Nuits Attiques, XIV, 3) rapporte que les deux premiers livres furent d'abord édités seuls et que Xénophon y opposa sa Cyropédie. Ces éléments montreraient que les différents livres de la République furent écrits à des époques différentes. Il semble

éventuelle suprématie occidentale. Enfin, nous verrons que cet ethnocentrisme nous pousse à nous demander si il faut opposer philosophie occidentale et sagesse orientale ? I-La conquête de l’Orient : A) Le mystère de l’Orient : échappatoire des philosophes : L’Orient a toujours été pour l’Occident une source de mystère et d’inspiration. Si il fascinait à ce point c’est sans doute par ce paradoxe de la conscience d’une proximité géographique mais d’un éloignement culturel quasi infranchissable

courantes et il sera utile, dans un premier temps, d'en dresser le bilan et de décrire les principales. Nous ajouterons, dans la seconde partie, quelques commentaires sur le contrôle bibliographique en philosophie et sur les perspectives ou tendances qui se dessinent à l'heure actuelle dans ce domaine. Avant d'aborder notre recherche, il convient d'apporter quelques précisions sur son objet même. Par bibliographie courante, nous entendons ici un ouvrage de consultation qui paraît à intervalles

contradictoire de demander au philosophe de soutenir les illusions, quand par ailleurs on lui demande aussi de mettre en garde les hommes contre leurs illusions ! Un tel projet serait compréhensible de la part d’un Alcibiade ou d’un Calliclès, voués corps et âme à la recherche du pouvoir et méprisant la philosophie. Il est bon que le peuple partage certaines illusions et que personne ne vienne déranger sa tranquillité ! Mais ce genre de discours n’appartient pas au philosophe. Si on se débarrasse de ce