La Théorie Du Décideur Politique

remplir la mission qu’elle s’est assignée, l’entreprise se fixe des buts ou objectifs. Ils sont exprimés et précisés par les directives de la Direction Générale. Ils traduisent les diverses politiques de l’entreprise : - Politiques d’investissement - Politiques de production - Politiques commerciales Cela suppose : - Des fonctions qui doivent pouvoir s’exercer pour que la vie d’entreprise soit harmonieuse que possible. - Une structure adaptée aux

des alternatives d’action en vue de réaliser les objectifs précédemment choisis. Un processus de décision inclura le choix d’un but et le choix d’un comportement. Dans un premier temps le décideur est amené à choisir des objectifs finaux, dans ce cas H.A. Simon les appelle « jugements de valeur ». Puis le décideur s’intéresse aux décisions de mise en œuvre des projets, appelés « jugements factuels ». La difficulté est de séparer les éléments de valeur et les éléments factuels. Souvent ils s’entrecroisent

instrument de l'action organisée! - L’organisation comme problème! - Le rôle de la structure formelle ! - Le jeu comme instrument de l'action organisée ! - Le « management revisité »! ! Organisation et l'environnement ! 1. Les limites d'une théorie de la contingence structurelle ! - La technologie ou les tentations d'un déterminisme technologique ! - Le contexte organisationnel ou les dangers d'un déterminisme multivarié ! - Les contraintes extérieures de l’adaptation des organisations aux

présence d’incertitudes scientifiques, l’évaluation collective de dommages possibles, la prise en compte de la dynamique des décisions, des flexibilités et des irréversibilités sont abordées ici sous l’optique d’une efficacité vérifiable. Différentes théories du risque, des choix sociaux et des prix de marché permettent de formuler des propositions pour le calcul des coûts d’investissement et des bénéfices attendus, qui soient socialement comparables et acceptables. SOCIALLY ACCEPTABLE COST ANALYSIS

capacité des décideurs. C’est dire l’importance considérable du système de décision. Si les décisions ne sont pas pertinentes, si elles ne permettent pas de répondre favorablement et rapidement au défi du milieu, l’entreprise peut se trouver placée devant des difficultés qui la remettent en cause totalement. Selon l’un des grands postulats fondateurs de la notion de contrôle de gestion: la décision étant fonction de l’information, il est essentiel d’améliorer l’information du « décideur ». Concrètement

Séance 1 : - L’entreprise : o Objectifs : profit, pérennité et parts de marché o Déf : type d’organisation, patrimoine, autonomie, production de b/s, hiérarchie… o Entre les membres : communauté de finalité, désir de coopérer, communication - Théories des orga : sociologie, économie, psychologie, science de la décision - Types d’orga : o Non marchandes • Publiques : justice, défense, santé, éducation…) : besoin reconnu par la collectivité, non lucrative • Associations : déclarées en préfecture

d’Administration des Entreprises de Poitiers Université Senghor Alexandrie (Egypte) Master en Administration des Entreprises Gestion des organisations Réal Romuald MBIDA Ouvrage de référence proposé Plane jean Michel, Management des organisations. Théories, concepts, cas ; Dunod, Paris, 2003. Année académique 2009 / 2010 Réal Romuald MBIDA Master Administration des Entreprises IAE de Poitiers Université Senghor d’Alexandrie PRESENTATION GÉNÉRALE INTRODUCTION En introduction de ce cours, il

d’Administration des Entreprises de Poitiers Université Senghor Alexandrie (Egypte) Master en Administration des Entreprises Gestion des organisations Réal Romuald MBIDA Ouvrage de référence proposé Plane jean Michel, Management des organisations. Théories, concepts, cas ; Dunod, Paris, 2003. Année académique 2009 / 2010 Réal Romuald MBIDA Master Administration des Entreprises IAE de Poitiers Université Senghor d’Alexandrie PRESENTATION GÉNÉRALE INTRODUCTION En introduction de

l’un des sujets majeurs de la politique monétaire des années 1960 à 1980, les récents évènements ont remit cette question au goût du jour. Par définition, une politique de règle – monétariste – consiste à se fixer un objectif de moyen à long terme et à s’y tenir, elle s’inscrit alors dans la durée par une règle précisée dès aujourd’hui (e.g. une croissance de la masse monétaire de 3,5% tous les ans pendant 10 ans). La règle étant fixée et donc rigide, ce type de politique permet une meilleure crédibilité

la microéconomie néoclassique d'une approche "individualiste" des comportements (dont la théorie de l'équilibre général fournit sûrement l'exemple le plus abouti) vers des approches de plus en plus "collectives" et "institutionnelles" : la théorie des organisations industrielles, la théorie des contrats et de la gouvernance, les recherches du courant "law and economics" ou de la "nouvelle économie politique" sont aujourd'hui les domaines de recherche les plus actifs de la microéconomie. Au centre