La Théorie Marginaliste

d'echange la valeur d'usage ne se mesure pas mais la valeur d'echange se mesure soit par la quantité de travail q'une marchandise permet d'acheter (travail commandé) soit par la quantité de travail nécessaire à sa production ( travail incorporé) Théorie du travail incorporé = base de la valeur pour les classiques SMITH et RICARDO mais rejeté par : MALTHUS la valeur depend aussi des profits et par : SAY utilité = fondement de la valeur La repartition : SMITH : dans l'état originel tout le produit

méthodologique le triptyque structures-comportements-performances. A partir de 1980, ce triptyque fait l'objet de critiques et un autre angle d'attaque prend le relais via le recours à de nouvelles conceptions théoriques et analytiques de ta firme, à la théorie des jeux, à la prise en considération de l'asymétrie de l'information…et donc à l'élaboration de nombreux modèles qui vont enrichir l'économie industrielle : on parle dans ce cadre d'une nouvelle économie industrielle dont l'une des figure de proue

A cette époque, on commence a se poser des questions et à analyser des phénomènes économiques, un des premier phenomène est l’inflation : hausse du niveau géneral des prix. Est ébauché une des premieres théorie : la théorie quantitative de la monnaie (TQM) un des representants de cette théorie  Jean Rodin. L’inflation a cette « poque est causée a cause de la trop forte production de métaux précieux (masse monétaire qui provenait des colonies). La science va veritablement se dvp sous la plume de

Cours de Microéconomie Samira OUKARFI Fsjes de Aîn Sebaa Licence fondamentale Economie Gestion S2 2007-2008 Première partie La théorie du comportement du consommateur Samira OUKARFI – MICROECONOMIE Le comportement du consommateur(1) Introduction En microéconomie, le consommateur est agent rationnel Il vise à maximiser son utilité ou sa satisfaction par la consommation de biens/services Il veille à ce que ses dépenses ne dépassent son revenu Les choix de consommation du

bien être (santé culture …)) ou une science des choix [Twingo (=/= préférences, Bmw)] La science des choix est en quelque sort une science de l’avarice qui montre comment tiré le plus grand partie de ressources rares. Cette science se fonde sur une théorie des choix de l’homme face à la rareté des ressources. La divergence entre les deux points de vue à une grande importance et influencent parfois quant au choix des instruments d’analyse. On ne fera pas toujours les mêmes hypothèses sur les préférences

mais aussi de droit, de morale, de psychologie, de politique, d’histoire, ainsi que de l’interaction et de l’interdépendance entre toutes ces disciplines. L’ouvrage, centré sur la notion d’intérêt personnel, forme donc un ensemble logique avec la Théorie des sentiments moraux. b) Problématique et plan d’exposition La problématique de la Richesse des nations est double : d’une part, expliquer pourquoi une société mue par l’intérêt personnel peut subsister ; d’autre part, décrire comment le « système

des effets pervers qui nuisent à l’emploi (deuxième partie). I – Selon l’analyse libérale, la flexibilité favorise l’emploi et la réduction du chômage. I – 1. l’emploi. Le courant néoclassique fait partie du courant libéral. C’est un courant marginaliste qui étudie le comportement humain sous forme d’équation en admettant un certain nombre d’hypothèse. Il considère que le travail est une marchandise comme les autres et que le marché du travail est en situation de concurrence pure et parfaite :

 d’un  schéma  logique  et  rationnel,  c’est  le   concept  des  néoclassiques  en  se  basant  sur  leurs  théories  scientifiques  (I).  Puis,    les  économistes  se   sont  rendus  compte  que  les  néoclassiques  avaient  basé  leur  théorie  sur  la  rationalité  des   consommateurs  uniquement.  D’autres  économistes  ont  alors  dépassé  l’analyse  néo-­‐classique

observe que lorsque le prix augmente la quantité de la demande par rapport au prix (ep) le rapport de la variation relative de la demande à la variation des prix on note : ep= (∆Q/Q)/(∆R/R) II. Etude et évolution de la consommation A. Les théories de la consommation 1. Approches traditionnelles a) Approches classiques et néo-classiques Dans l’analyse classique et néo-classique, le comportement du consommateur tient une place essentielle. Le consommateur est un être rationnel et

l’avantage incontestable de la dette sur le financement par fonds propres des entreprises bénéficiaires étant donné le principe de la déductibilité fiscale des charges des dettes. De ce fait naquit la théorie du compromis optimal (Trade-off Theory ou TOT). Dans sa première version, cette théorie prône l’existence d’une proportion optimale d’endettement au sein de la structure financière des entreprises. Cette proportion optimale est issue de la réalisation d’un compromis entre les avantages marginaux