La Variation Sociolinguistique

définition de la sémiologie p. 5 Ch. 3 : Applications de la sémiologie p. 11 Les grands concepts de la linguistique p. 14 Ch. 1 : Le concept de « communication » p. 15 Ch. 2 : Le concept de « signe » p. 20 Ch. 3 : Les concepts importants de la sociolinguistique p. 26 La lexicologie p. 28 Ch. 1 : Les grandes familles de mots p. 29 Ch. 2 : Le sens du mot p. 32 Index p. 37 La sémiologie et ses applications Ch. 1 :Introduction à la sémiologie Ferdinand de Saussure, fondateur de la linguistique

des °spécificités / références / appartenances° culturelles Savoir °identifier [repérer]° les variations communicatives dues à des différences culturelles Mais les ressources de type « savoir-faire » interviennent également dans la partie de la compétence qui appartient au versant « résolution » du problème : S-6.3 +++ S-4.2 ++ Savoir communiquer en prenant en compte les différences °sociolinguistiques / socioculturelles° Savoir expliciter des malentendus 44 Savoirs Notre référentiel en

F. (2003), « La didactique des langues face aux cultures linguistiques et éducatives », in le Français dans le Monde, N°623, mars-avril 2003. Dabène Louise (1994), Repères sociolinguistiques pour l’enseignement des langues, Paris, Hachette, Coll.F. Dabène Louise (1990), « Pour une didactique de la variation », in Variations et rituels en classe de langue, Paris, Hatier-Crédif, Coll. LAL. Légendre R. (1993) (sous la direction de), Dictionnaire actuel de l’éducation, Montréal ; Paris : Guérin :

Dans cet esprit, et à l’Alliance Française de San Salvador, on est toujours en face d’apprenants adultes de différents âges, professions et intérêts. Rendre une méthode efficace, à la fois amusante et motivante est vraiment difficile. La variation des moyens éducatifs d’appui tels que la chanson, la poésie, les images, les jeux, entre autres, est absolument indispensable. Pour cette recherche, j’explore, un des supports les moins utilisés: les psycho-tests qui se prêtent bien à l'activité

comparatives et au développement d’une science de la traduction concerne les variations ( translation shifts ) entre la traduction et son original. Le degré d’équivalence du texte d’arrivée par rapport au texte de départ a fait l’objet de controverses au cours des années 1970, et la situation n’a guère changé aujourd’hui. Nombre de théoriciens tentent depuis les années 1950 de jeter une nouvelle lumière sur les variations et d’en établir des catégories. Mentionnons Vinay, Darbelnet et Cartford. Vinay

lien solidaire, et -indépendamment même du fait qu’elle constitue ou non un « sujet en grand format », comme Habermas en a fait le reproche à Durkheim- existe, et existe d’abord, irréductiblement, même si son existence peut être marquée par des variations ou des dysfonctionnements que Durkheim rassemble sous le concept d’« anomie ». « Et en s’en tenant à cette thèse, dont il fait l’a priori de toute sa démarche, Durkheim est conduit, à son insu même, à évacuer la thèse inverse sans la prendre en

partait, avec CHOMSKY, d’une autre distinction, entre la compétence et la performance. Dans un cas, comme dans l’autre, on trouvait, d’un côté, un code, des formes, des règles, des lois, et de l’autre, une liberté, des usages, des erreurs, des variations et des transgressions. Une linguistique scientifique se devait, selon ses fondateurs, de prendre pour objet la partie homogène et dure, c’est-à-dire la langue (ou la compétence), en l’abstrayant de la partie hétérogène et molle, c’est-à-dire la

élément ne se distinguerait pas fonctionnellement d'un autre). Néanmoins, toute différence n'a pas forcément valeur d'opposition dans un système donné; certaines différences ne produisent que des variantes d'une même unité. On distinguera donc entre variations (de forme) et oppositions (de fonction). Les relations entre unités peuvent se situer dans deux dimensions, selon deux axes: Axe du paradigme C’est l’axe de la classe d'éléments pouvant se substituer les uns aux autres sans altération de la structure

pour fondamentalement idiosyncrasique et indépendante des normes sociales : les sujets parlants utiliseraient le système de la langue entièrement à leur guise, la seule contrainte étant de produire des énoncés grammaticalement corrects. Or la sociolinguistique et la pragmatique ont depuis montré que les usages linguistiques obéissaient bien à des règles descriptibles et dépendantes d’un ensemble d’habitudes et de conventions sociales. Cependant, le terme parole, semblant référer à un usage individuel

souvent une connaissance de la langue française limitée et l’accès à cette connaissance est principalement passé par le biais de leurs enfants. Quand leur mari décède, elles se retrouvent souvent très isolées. L’ASSFAM organise donc des ateliers sociolinguistiques afin de rompre leur solitude. L’entrée dans des maisons de retraite est inimaginable pour ces personnes, dans leur culture, ces structures sont souvent perçues comme des « mouroirs ». Il est donc problématique d'accompagner et de prendre en