La Veritable Place De La Coutume

HISTOIRE DU DROIT Sources du droit - La loi : norme votée par le parlement, autorité souveraine qui s’applique a tous - La jurisprudence : décisions rendues par les tribunaux et les cours de justice - La coutume : ensemble des règles qui naissent de l’usage et deviennes règles de droit - La doctrine : opinions, analyses émises par les juristes PREMIERE PARTIE : LES ORIGINES (du système juridique français) TITRE I - L’ANTIQUITE CHAPITRE I : Le droit romain, origine et développement SECTION 1. L’Ancien

politique en opposition directe avec la conception et la théorie romaine. Suite aux invasions barbares, l'Empire Romain d'Occident prend fin en 476. Les barbares vont s'installer durablement en Gaule romaine, et les institutions préalablement mises en place par les romains vont  commencer à disparaître. Les francs, tribu barbare, vont coloniser la Gaule-barbaro romaine suite à des conflits territoriaux qui sont nés entre les différentes tribus barbares.  On distingue alors deux tribus majeures chez les

Notion large qui recouvre l’Institution judiciaire, ses représentants, mais aussi aborde les problèmes du droit légitime, de la possession, de la tyrannie, de la force et rejoint le problème de la faiblesse du jugement et de la raison, et celui des coutumes sociales et du respect dû aux grands, au roi. |Vanité | | |18 : « Il demeure au-delà de l’eau »

royal français. Première ébauche d’une telle entreprise, l’ordonnance de réformation du bon roi Saint louis prise en 1254. Deux siècles plus tard, Charles VII innove : il veut codifier les coutumes, à travers l’ordonnance de Montils-lès-tours en 14554 ; qui pour faire face à la mauvaise connaissance des coutumes « préconise » leur mise par écrit. Ambitieux programme que le roi tardera à faire accepter et qui sera réaffirmé maintes fois par la suite (Ordonnances d’Amboise et de Villers-Cotterêts).

l’humain au divin. On expose l’unicité de dieu et des devoirs de son peuple envers lui. A coté, on a ce qu’on appelle un décalogue (commandements). Dans la bible on a un code de l’alliance qui vient de dieu, il a comme objet de codifier les lois et les coutumes (droit pénal, esclavage, la réparation des dommages..). Il apparaît au moment où les tributs s’installent sur la terre promise au 13ème siècle av JC. Ce code a aussi un objet politique. Ces tributs il faut les fédérer : obj politique. Ce code de

n’était pas bien distingué de la religion. Le comportement social était régi par un ensemble de règles, dicté par les dieux à Numa. Les Romains vont distinguer un droit humain, l’IUS, essentiellement de caractère coutumier, non écrit, du FAS. Coutume= façon d’être des anciens, se transmet oralement, usage répété. Mus majorum= différents usages transmis par les anciens. Formules judiciaires et calendriers judiciaires gardés par pontifes et consuls. C’est pour obtenir une législation écrite

décision royale. La coutume, source du nouveau droit Les provinces dites « pays de droit écrit » sont opposées aux « pays coutumier ». Ces derniers se réfèrent à la Coutume. « On y observe les statuts ou c coutumes qui ont été rédigés par écrit en l’assemblées trois ordres de chaque province, par la permissions de nos rois et sous leur autorité ». Le droit Coutumier est donc directement lié à la volonté du souverain royal. Il est issu de la retranscription des coutumes orales. « Cette rédaction

moment où la vitesse d’évolution de la loi finit par dépasser ce qui est possible à codifier ? La codification peut-elle se mesurer à celle-ci ? En suivant ce fil de pensées, il est donc naturel de se demander si la codification a véritablement une place dans l’avenir du droit, et si elle peut servir comme outil. Afin d’évaluer les compétences qu’elle pourrait exercer dans le future, il nous faut regarder les avantages et les désavantages qu’elle pose en tant qu’organisation mère de la loi. Ainsi,

A. UN DROIT COUTUMIER Comme dans de nombreux droits anciens, on peut constater la prééminence de la coutume. La coutume consiste dans un ensemble de pratiques considérer comme obligatoire, elle constitue une source juridique qui s’adapte bien aux besoins de la vie quotidienne. Les coutumes des groupes familiaux et ceux qui sont très puissants sont appeler les gentes. On voit aussi des coutumes de la Cité. B. UN DROIT FORMALISTE Il est formaliste à cause de plusieurs éléments. 1. L’autonomie du

naissance à deux enfants Remus et Romulus. Que faire des bébés ? Il ne tue pas les enfants car il a peur de leur père, il pratique l’exposition d’enfants (le pater familias à la naissance a le droit d’accepter son enfant ou le droit de l’exposer (sur une place publique)). Mais Amulius veut qu’il meure, il les expose donc au bord du fleuve, ils sont rejetés (d’après les textes) du fleuve, deuxième miracle, ils sont allaités par une lupa (louve romaine nourricière), puis ils sont recueillis par un berger