La Vertu De Montaigne

culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle A. Le relativisme culturel 1. Le relativisme de Montaigne 2. La critique de Lévi-Strauss B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 1. L’idée de progrès et de supériorité 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut) Conclusion Annexe Résumé La définition

société, ne connait pas les vertus (Amour…) LERY (1534-1613) Histoire d’un voyage fait en terre du Brésil (1578) Chapitre XV, « Comment les Américains traitent leurs prisonniers pris en guerre, et les cérémonies qu’ils observent tant à les tuer qu’a les manger » (modernisation par Christine Bénévent). Le barbare peut se trouver partout et ce n’est pas une question de religion (notamment le chrétien). Le barbare se montre aussi très cruel. MONTAIGNE (1533-1592) Essai (1580-posth

problématique essentielle de la justice dans ses rapports avec le droit : celui-ci est-il issu d'une norme universelle, produit de Dieu ou de la Raison ? est-il au contraire installé dans la précarité, la variabilité des sociétés humaines, comme Montaigne a pu le soutenir ? Léo Strauss se prononce clairement pour la première position, c'est-à-dire pour le droit naturel, et plutôt donc contre une vision moderne installée, elle, dans le relativisme juridique. - Notre sujet nous convie à examiner cette

l'essor des sciences, il faut se spécialiser. * RABELAIS avait la soif de savoir. * ARISTOTE a une pensée encyclopédique. * PHILOSOPHIE QUI DOUTE (fin de la renaissance) : * philosophie qui relativise tout et qui est représenté par MONTAIGNE. 4. ARISTOTE (100 ans après Platon) Aristote avait un esprit encyclopédique. Au-dessus du monde, il y a les idées. * Catharsis est un terme utilisé par Aristote pour décrire l'effet purificateur, sur l'auditoire, d'une représentation

de Bordeaux (fonctions de conseil et juridictionnelles), il se lie d’amitié avec Michel de Montaigne qui dira de La Boétie dans Les Essais « parce que c’était lui, parce que c’était moi ». La Boétie meurt à 33 ans sans avoir publié ses écrits. Le Discours de la servitude volontaire est l’œuvre la plus importante de la Boétie, qui a également rédigé un « mémoire » exposant ses conceptions politiques. Montaigne publie une partie de ses œuvres, en faisant preuve d’une prudence certaine puisqu’il considérait

capable d’abstraire c) La découverte de la Renaissance : Chez Saint Augustin = l’homme intérieur à la foi -> après sa conversion -> il a dis « avant je n’aimais pas, j’aimais aimer »-> soif d’absolu comblé par Dieu Chez Montaigne -> la reconnaissance de l’individu -> Montaigne comme saint Augustin va développer un récit autour de soi -> un nouveau genre littéraire -> l’écriture de soi -> autobiographie -> devient la matière même du livre « Je suis moi-même la matière de mon livre » -> la peinture

parfaite de l’existence (le bonheur n’est jamais un moyen pour une autre fin : on cherche à être heureux pour être heureux. A l’inverse, on gagne de l’argent pour autre chose que l’argent). C’est un hédonisme mais aussi un éloge de la tempérance ( vertu morale de modération : il s’agit d’éviter les excès. Boire, mais au pas au point de s’en rendre malade, manger mais sans s’empiffrer. ) Le maître mot en est l’ataraxie : paix de l’âme, sérénité, absence de trouble de l’âme. ■ Contexte :

projettent, tel un Icare, vers l’empyrée, plus que les auteurs d’autres pays où la pastorale et les rêves d’une Arcadie enjolivée ont eu plus forte prise sur les imaginations, il semble que les classiques de France aient assidûment recherché cette vertu intellectuelle qu’ils dénomment, du mot peut être le plus typique de la langue française, la lucidité. 2-la pudeur, la vérité et la recherche de perfection Tout en sondant impitoyablement les replis de leur cœur, les écrivains du classicisme n’ont

elle devient ennemie toute puissante de la raison : celle-ci ne pouvant que se soumettre, la pertinence de l’esprit humain se trouve inexorablement compromise par les aspects subjectifs que l’imagination et la sensibilité imposent. Inspiré par Montaigne, dont il ne rejoint cependant ni la tentation du scepticisme, ni la confiance humaniste, Pascal s’oppose surtout ici au rationalisme de Descartes, selon lequel la raison, égale en tout homme, est la seule puissance de « bien juger et distinguer le

bon sens paysan? Comment l’homme se situe par rapport à notre terre. D’un côté on l’oublie et de l’autre on l’extase, trop. Alors qu’elle est la responsabilité de l’homme face à la terre ? Quelle est sa place ? Il faudra donc s’interroger sur les vertus de l’homme à développer pour pouvoir la gérer. Pour enfin voir que cette terre est finalement signe d’autre chose, d’une cause première. « L’éternel est ici[…].L’absolu se rencontre dès à présent, sur le coin de terre où il vous a mis ». Nous verrons