La Vertu Selon Aristote

social est ici assuré non pas par l’intervention d’une autorité supérieure qui dominerait la collectivité mais par un système de solidarité entre des individus ayant des ancêtres communs. On y retrouve une sorte de stratification de la population selon les classes d’âge, les groupes professionnels : On construit ainsi une hiérarchie. Tous les individus observent spontanément un ensemble de coutumes plus ou moins rigide dont le caractère obligatoire est assuré par une croyance religieuse très forte

l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte égalité ? • Aristote. distingue la justice distributive et la justice corrective. La justice corrective concerne les transactions privées volontaires (vente, achat, etc.) et involontaires (crimes et délits). Elle obéit à une égalité arithmétique stricte : que l'homme

les Primae veritates, le principe de l’identité semble s’appliquer aux choses réelles, dans la Dissertation métaphysique ce principe est associé aux substances individuelles. Ainsi, le philosophe de Hanovre a généralisé le principe de Saint Thomas, selon lequel chaque classe des anges a un seul membre, pour toutes les substances individuelles.             Dans un petit écrit de 1696 (intitulé par Louis Couturat Le principe des indiscernables) Leibniz réunit ses théories présentées auparavant dans

sorte de don ostentatoire qui n’a pas d’autre fin que d’illustrer la puissance et le prestige. L’illustration la plus étonnante étant le potlatch. Ainsi, l’échange n’est pas revêtu d’une simple dimension utilitaire, mais quasi-religieuse. Pour Aristote, l’origine du travail repose sur la complémentarité des besoins. Mais pour Nietzsche, l’échange s’explique avant tout sur la crainte de ne pas pouvoir parvenir à ses fins par la force. De toutes façons, l’échange implique raison et sociabilité.

cela paraît aussi par trop insensé et par trop puéril. Selon Anachar- sis1, il faut s’amuser pour s’appliquer ensuite sérieusement, et il a entièrement raison. L’amusement est une sorte de repos ; et comme on ne saurait travailler sans relâche, le repos est un besoin. Mais le repos n’est certes pas le but de la vie ; car il n’a jamais lieu qu’en vue de l’acte qu’on veut accomplir plus tard. La vie heureuse est la vie conforme à la vertu ; et cette vie est sérieuse et appliquée ; elle ne se compose

à la question suivante : Comment conserver le pouvoir* ? Sur quoi Machiavel base-t-il ses réponses ? Les historiens grecs et latins (exemple : Tite Live) pour étudier les différents régimes durant l’Antiquité. Les philosophes (surtout Platon et Aristote) L’église (différence entre la morale qu’elle impose et ses actions) Exemple contemporain ou récent (ex : Laurent le Magnifique, les Médicis, César Borgia) Sa propre expérience (Savonarole, Soderini). Il tire ses réponses du passé et du présent.

cadre de la théorie des représentations sociales. L’objectif était également d’étudier les interactions entre la pensée historienne et le langage écrit, conduisant à l’apprentissage et à la production de concepts historiques, en vertu de la théorie de Vygotski selon laquelle la pensée se réalise dans le langage. Enfin, comme l’apprentissage de l’histoire suppose la mobilisation par les élèves des modes de pensée de l’histoire - la périodisation, la conceptualisation, l’explication notamment

philosophie est encore débattue. Plusieurs personnes les perçoivent comme des personnes progressistes et d’autres comme la rhétorique. Pour le philosophe Platon, la rhétorique est un savoir-faire motivé davantage par l’éloge que par la vérité. Et pour Aristote, ce n’est pas à la recherche de vérité, mais bien c’est d’argumenter et d’argumenter pour parvenir à leur motivation fondamentale de pensée. Ça la permit de pensé librement et de permettre d’avoir des doutes absolus dans tout ce qui est métaphysique

que le lecteur se mette à la place des personnages et qu'ainsi il comprenne mieux la pièce. Elle a donc pour but de rendre plus réalistes les actions des récits. Pour certains auteurs, le vraisemblable est encore plus exigeant que le vrai, puisque selon Boileau : « le vrai peut quelque fois n'être point vraisemblable ». III- La comédie au XVIIe siècle Le comédie classique est fortement dominée par Molière bien qu'il y ait beaucoup d'autres auteurs de comédie. Celle-ci est considérée comme

Le politique et la politique «Il faut donc poser, que c'est en vue de belles actions, qu'existe le politique.» Aristote (Les politiques L.3 Ch.3) bibliographie: Les Politiques, Aristote La République, Platon «Texte pédagogique» (2/09/1811), Friedrich Hegel Second Traité du Gouvernement Civil, John Locke Le liberté des modernes comparée à celle des anciens, Hannah Arendt Le totalitarisme, Hannah Arendt I. Genèse de la Cité (polis) et constitution du politique a) Le choix d'Aristote