La Vie Spirituelle Bergson

le piège de l’opinion, c’est avant tout conserver l’esprit scientifique ; ce dernier consiste en un questionnement perpétuel, matière première dont il se nourrit : « Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on en dise, dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique. Pour un esprit scientifique, toute connaissance est une réponse à une question

Nature chez Bergson « Quel est l’objet de l’art ? » Enjeux ambitieux : L'art nous met face à la réalité même. Voile qui s'interpose entre Art et Nature Le monde n'est pas qu’a contemple il faut agir. Le langage nous impose une simplification du monde, nous sélectionnons généralement. L'art nous pousse caractère désintéressé. L'intelligence n'est pas une faculté de connaître. Caractère ; Est-ce qu'il suffit qu'un regard soit désintéressé pour qu'il soit vrai ? Selon Bergson et spécifiquement

ciel) et Gaia (déesse de la terre) serait le dieu du temps qui en tranchant les testicules de son père provoqua la séparation de ciel et de la terre. Les religions monothéistes considèrent le temps comme étant le propre des hommes et de la vie sur terre car la vie d’après la mort est sans fin. Qu’il s’agisse de l’enfer ou du paradis. Rappelons-nous de la célèbre parabole de Jésus « rendez à césar, ce qui est à César et à Dieu, ce qui est à Dieu ». Dieu étant considéré comme l’Eternité donc atemporel

vaisseau sans boussole.   Napoléon Bonaparte Aujourd’hui, nous assistons à des luttes entre religions et celles ci n’ont jamais été aussi virulentes et aussi nocives ! Mais depuis leur apparition, ces systèmes de croyances ont conditionné, la vie, les mœurs et les opinions de l’homme qui y adhère et ses systèmes sont encore aujourd’hui de très important marqueur dans l’identité de chacun. Mais depuis les mouvements humanistes du XVII siècle jusqu'à encore aujourd’hui, nous constatons un essor

peuple Delacroix ; l’enterrement du Christ Le Caravage. C. Utilité spirituelle. La beauté nous rappel à notre vraie nature selon Platon : La vraie nature de l’âme humaine est selon Platon, spirituelle, son vrai monde est celui des idées. C’est propre à l’essence humaine que d’aimer ce qui est accompli, donc le bien qui se manifeste par la Justice, la vérité et la beauté. Il arrive à l’homme de se perdre dans une vie matériel où il se trouve enchaîner à des objets illusoires. Ainsi l’homme

verrons que la religion est une réelle nécessité pour la vie en collectivité ainsi que pour l’épanouissement individuel de l’homme, mais qu’une fois la Société stable et l’individu équilibré sont là, il faut savoir la dépasser et rendre cette illusion accessoire, inutile. La religion a toujours été étroitement liée à la société, car les hommes, en se rassemblant, ont donné naissance à une force physique collective mais aussi une force spirituelle : la religion. Pour Emile Durkheim, philosophe du XXème

LES DEUX SOURCES Consciente et inconsciente DE LA VIE MORALE Dr.Charles Odier AVANT-PROPOS : Le but de ce livre était d’opposer les deux systèmes conscients « déterminisme fermé »et inconscients « motivation ouverte »de l’esprit. Démontrant ainsi que la source décrit par Freud puise leur racine de la source décrit par Bergson . Par la suit ce livre clarifie le point de vue freudien. INTRODUCTION : L’angoisse pousse l’auteur de se livre

Déjouer le piège de l’opinion, c’est avant tout conserver l’esprit scientifique ; ce dernier consiste en un questionnement perpétuel, matière première dont il se nourrit : « Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on en dise, dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique. Pour un esprit scientifique, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de

qu’il y a de la vie en soi. Or la vie est elle-même une puissance. Donc le désir est puissance (Spinoza). Si l’on comprend un désir négatif adéquatement, alors il devient un désir joyeux, un désir conforme à son essence de désir (Spinoza). c) La condamnation chrétienne du désir et l’amor fati Le christianisme condamne les désirs sensuels (péchés capitaux) et valorise des désirs spirituels (foi, espérance, charité). De la sorte, le christianisme valorise un arrière-monde, une après-vie, et dévalorise

La conscience « La conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir. » Bergson, L'Energie spirituelle, 1919. La seule façon d'exister pour la conscience c'est d'avoir conscience qu'elle existe. » Sartre, L'Imagination, 1936 L'hypothèse de l'inconscient est nécessaire [...], parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires. » Freud, Métapsychologie, 1952 (posth.) « L'imagination [...], c'est la conscience tout entière