La Violence Antithèse

Hyperbole Allégorie / personnification Antithèse – Opposition de 2 termes contadiction de la même phrase Oxymore -> 1 seul mot qualifié de facon contradictoire, voire opposée La violence dans le sport de haut niveau La violence que subit d’un point de vue physique, l’athlète lui-même La violence psychologique que ressent l’athlète (passion, stress..) La violence physique qu’on inflige à son adversaire La violence psychologique ‘’ ‘’ ‘’ ‘’ ‘’ Toutes formes de violence subies par les spectateurs Les

incultes et abandonnées", "perte", "plaies profondes" tandis que la paix est décrite comme contribuant à la "bonne santé" de la nation, avec des termes pareil à "force nécessaire", "bonheur" et "guérir". La guerre est ici construite à partir de son antithèse, la paix. Tout deux sont personnifiés : "fais le désordre", "donne de la vigueur" afin que le lecteur s'en fasse une idée plus nette. Nous retrouvons dans "La guerre de Troie n'aura pas lieu" de Jean Giraudoux la même place accordée à la rhétorique

Les cinq dernières strophes esquissent l'autoportrait du poète, diamétralement opposé au portrait de la femme C'est le vers 16 — « Je te hais autant que je t'aime » — qui fait figure de pivot entre ces deux mouvements opposés, en résumant dans une antithèse l'ambivalence extrême des sentiments du poète.) Autoportrait du poète  en deux temps : - à travers l'expression d'un souvenir (st. 5-6) ; l'imparfait et le passé composé des strophes 5 et 6 permettent de relater un souvenir précis, qui est celui

sont dans un état de guerre, de chacun contre chacun. Ils ne sont pas forcément en conflit directe et Hobbes dit que ce n’est pas comme le mauvais temps, c’est une tension pesante comme lors de la guerre froide. Pour lui, l’état de nature est la violence parce que l’homme est un loup pour l’homme. Il n’est pas anthropologiquement mauvais ou méchant, c’est les autres qui vont le rendre ainsi car chaque homme est un ennemi pour l’autre du fait de l’absence de toutes contraintes. L’auteur ne pense pas

comme l’arbre par exemple dont les branches sont des « cheveux », l’aubier « un estomac » - Elle partage le désespoir de Thisbé comme le montre le lexique « pleurs »≠ « rosée », « pleurs », « désespoir », . + //sme v. 6, nég restrictive v. 8, antithèse à la rime entre « visible » et « insensible » 3.) La nature n’exprime pas encore assez la douleur de Thisbé. Elle en vient à souhaiter que la Nature dépérisse pour s’associer à son deuil comme le montrent son imploration « de grâce » et les impératifs

demande et que l’on pourvoit d’une certaine fonction sociale ». En 1840, lorsque George Sand écrit le compagnon du tour de France, elle partage cette conception sociale et politique de l’artiste. Roman politique pour ses personnages, ses thèmes et sa violence ; ce roman a fait scandale lors de sa parution. Scandaleuse est George Sand tant par ses mœurs que pour son œuvre contrastée. L’extrait ici est un discours exalté et violent qui vise à blâmer, on est bien loin des romans champêtres. I. Un tableau

Problématique : En quoi ce texte relève-t-il de l’épique ? Plan : I- Mise en valeur des héros a. Un courage mis en valeur b. Des héros aux forces surnaturelles II- Un combat intense et dramatisé a. Dramatisation de la scène b. Un combat d’une extrême violence Eléments : I- Mise en valeur des héros a. Un courage mis en valeur Mise en valeur du courage de Télémaque dans son combat Comparaison au lion de Numidie Courage de Mentor associé à la gorgone Méduse : « il pétrifie ses adversaires » Il est fait mention

romans de chevalerie + qq peu hyperboliques (puisque comparé  = «  bâton de la croix ») · « bâton de la croix » =  une lance, une arme · Antithèse ? puisque (voir note 1) : croix symbolise le Christ et volonté de paix · [ « quelques peu semé de fleurs de lys, presque toutes effacées. » (Voir note 1) · N’y perdez pas de temps·

choquant à l'époque d'utiliser la violence et la contrainte envers les religieux ( d'autant plus que le père supérieur représente ici le père spirituel de Des Grieux, le double de son vrais père avec qui il a rompus ). Il exerce sur lui une contrainte physique en le poussant dans le coin opposé à la porte et il est entré dans sa chambre par ruse en faisant croire qu'il était malade, trahissant amitiée et confiance du père. La douceur de se dernier contraste avec la violence de Des Grieux et ce dernier

autorité vient d’une autre origine que la nature. Qu’on examine bien et on la fera toujours remonter a l’une de ces deux sources : ou la force et la violence de celui qui s’en est emparé ; ou le consentement de ceux qui s’y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux et celui à qui ils on déféré l’autorité. La puissance qui s’acquiert par la violence n’est qu’une usurpation et ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent : en sorte que , si ces