La Violence Antithèse

procès => condamné "pour outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs". (Amende)- Baudelaire doit alors supprimer certains poèmes : version définitive publiée en 1861. - Dans Les Fleurs du Mal, Baudelaire met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal... - 6 parties : « spleen et idéal » ; « tableau parisien » ; « le vin » ; « Les fleurs du mal » ; « la révolte » ; « la mort »L’EXTRAIT : - sonnet en alexandrin - extrait de la section « tableaux parisiens » ou il

suis parti, ils m’ont accompagné à la porte » : verbe de mouvement, mise en scène sociale mise en cause ; « Puis il m’a serré la main qu’il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer » : langage corporel et comédie sociable (antithèse).  La mise en cause des règles de bienséance : dénonciation de la comédie sociale : les paroles socialement correctes : « et Céleste m’a dit : « on n’a qu’une mère » » : discours rapporté, prise de distance ; « présenter ses condoléances ». Dénonciation

se faire tuer dans l’arène : « Je ne pensais pas qu’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe » (antithèse).La chanson est composé de 7 strophes de 8 vers sauf la dernière qui est en sizain. Ce sont le plus souvent des vers octosyllabiques avec en général des rimes croisées. Les champs lexicaux dominants sont : la fête (« s’amuse et qu’on chante »), le souvenir (« je me souviens »), la violence (« frappé fort, battre »), l’enfermement (« verrou, sans issue, refermé »). Dans toute la chanson, il

lexical du crime, notamment lorsque elle dit : «  sanglant ( v.37 ), « meurtres ( v.37 ) ou bien «  carnage ( v.37 ) ». Son désir de vengeance est accentué par le son « p » à partir du vers 12 jusqu'au vers 18, cela nous montre en quelque sorte la violence de sa parole, le fait d'appuyer sur la lettre « p » donnerai du sens à ses paroles et les rendraient plus violentes. Le vers 33 «  Tu t'abuses, Jason » nous montre bien qu'il s'agit de Jason dont elle veut se venger elle insiste sur son prénom ainsi

pas : «tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?» v.1 ↳ il ne jouent pas : «jamais on ne joue» v.11 ↳ ils ont perdu leur joie, leur insouciance ils ne sont pas à leur place ↳ «innocents dans un bagne, anges dans un enfer» v.9 : antithèse → injustice V. Hugo rejette le travail des enfants ↳ rejet : «Ils travaillent.» v.10 ponctuation forte, déplacement de la césure (trimètre romantique) b) disfonctionnement social lié à un mauvais usage du travail : déshumanisation

de la colère (vengeance, colère, sévère…) mais aussi des antithèse bonheur/malheur. Le locuteur est violent et se révolte face à l’injustice, il critique le fonctionnement de la vie à Rome et souffre pour son peuple (v50) sauraient en user sans inhumanité, (v66) laissons nos chères compagnes. *La fable dénonce l’impérialisme (étendre sa domination vers d’autre peuple) suite à de violente polémique. La fable est composée de violence verbal avec des verves de rejet « nous quittons » « nous

ANDROMAQUE – ACTE III, SCÈNE 8Réponse d’Andromaque au mot « exploit »Mouvement du passage :· 1ère tirade : tirade d’Andromaque, rappel mort Hector, tué par père de Pyrrhus : Achille. Elle s’implique dans le carnage et la mise à sac de Troie : elle refuse pour ces raisons d’épouser Pyrrhus, elle se refus et veut mourir s’il l’y oblige.· 2e tirade : indignation après réplique de Céphise et destruction de la grandeur héroïque de Pyrrhus, réfutation rhétorique· Multiplicité des enjeux d’une tirade chez

civilisés sont comparés à des envahisseurs, "brigands" - champ lexical fort pour souligner la violence : 1er mouvement: occidentaux font naître la jalousie autour de la sexualité. "se haïr" "teintes de votre sang" "fureur" "teinte de votre sang" "féroce" "folle" "égorger" 2ème mouvement : autour de la conquête coloniale. "esclave" "vole" "défendre" "brute" "asservir" "esclave" ---> Cruauté suivit de violence - mots appuyés / énumération et répétition "esclave" x3 - passé composé et présent ---> renforce

temps. B. Brutalité de la mort - Le changement brutal de situation Conjonction de coordination d’opposition « mais » = ton agressif Syllepse du verbe reposer = « se repose » / sommeil et « tu reposes » / mort - La mort et la violence Chp. Lexical de la mort et de la violence : « meurt », « t’a tuée », « corps », « cendres », « obsèques » et « reposes » Voix passive qui montre que la femme/rose subit : « t’a tuée » Répétition de la conj. de coordination « ou » (v.7) qui montre la fatalité - La

brisés énonciation : supplication, lamentations Figures de style : images qui amplifient l’émotion comparaisons, métaphores, allégories qui expriment la sensibilité. anaphores qui insistent sur la force des sentiments hyperboles qui montrent la violence des sentiments. Gradation : qui expriment la progression des impressions Notes personnelles : Le comique: Objectifs : faire rire ou sourire Diverses formes du comique : Le burlesque : provient du décalage entre le sujet et le style adopté