La Violence Antithèse

balancement, le rythme du v4 (3/3/3/3)Détail vestimentaire « le feston » : broderieElle « savait » qu’on l’observait et qu’elle produisait de l’effet :v14Importance du regard v8 et 104/ La bizarrerieFemme en grand deuil et pourtant coquetteOxymores et antithèses pour marquer l’ambiguïté « le plaisir qui tue »et hyperbole (mourir de plaisir)Douleur v2 et douceur v 8Deuil et plaisirTristesse et beautéMouvement et immobilité de la statueFroideur de la statue et feu du regard « où germe l’ouragan »Ella a l’air

-Vers 6 « Moi » exprime la fascination du poète en voyant la passante - Vers 5 « Agile/ statue » sont des antithèses - Vers 6 « Moi je buvais crispé comme un extravagant » qui est sous l’effet de la fascination, et « extravagant » comme un sentiment de folie

civilisés sont comparés à des envahisseurs, "brigands" - champ lexical fort pour souligner la violence : 1er mouvement: occidentaux font naître la jalousie autour de la sexualité. "se haïr" "teintes de votre sang" "fureur" "teinte de votre sang" "féroce" "folle" "égorger" 2ème mouvement : autour de la conquête coloniale. "Esclave" "vole" "défendre" "brute" "asservir" "esclave" ---> Cruauté suivit de violence - mots appuyés / énumération et répétition "esclave" x3 - passé composé et présent ---> renforce

passion fatale. Enfin, la haine est un autre visage de l’amour dans le cœur de Phèdre. - Racine emploie le champ lexical de la violence Le passage commence avec une apostrophe «Ah ! cruel » . La poésie change au niveau de l’énonciation, elle tutoie Hippolyte, alors qu’avant elle le vouvoyait. « tu m’as trop entendue ». L’idée de cruauté qui évoque la violence, revient au v12 « gloire cruelle ». A partir de là, elle va faire un aveu libérateur. elle se laisse emporter par sa passion, elle a

amplification ) . « Je le vis , je rougis, je pâlis » : L ‘antithèse entre rougir et pâlir souligne l’absence de contrôle par Phèdre de ses émotions et de son corps. L’emploi du « je » répété crée une juxtaposition , figure d’insistance qui accentue le ressenti physique de Phèdre. L’assonance soulignée par l’emploi répété des passés simples « vis, rougis, pâlis » renforce l’intensité de cette tirade. Les organes des sens sont évoqués avec violence car ils sont interdits « Je ne pouvais plus parler,

’ orgueil de l ’ un des frères. Cela induit à une terrible violence. De plus, cette guerre est très violente selon sa description dans le poème et cela accompagne le chaos présent ici. Cette violence est introduite par l ’ allitération des rimes, comme dans « colère » et « mère » (v.13-14). La force des sons des consonnes montre en même temps la force de lutte et donc la violence du texte. En outre, le lexique du sang : « sanglants » (v.23)

portrait de la femme, à travers l'expression d'un souvenir (st. 5-6), puis d'un fantasme d'agression (st. 7-9). C'est le vers 16 — « Je te hais autant que je t'aime » — qui fait figure de pivot entre ces deux mouvements opposés, en résumant dans une antithèse l'ambivalence extrême des sentiments du poète.)   • Les temps   - Relevez les différents temps et modes employés dans le poème. Quelles sont leurs valeurs? - En quoi l'emploi de ces temps et modes correspond-il à la progression générale du poème

l'aide de plusieurs opposition physique, spatial, intellectuel, opposition aussi de la violence et de la sensibilité mais aussi avec des antithèses et des portraits antithétiques . Pour le père de Julien la lecture est une perte de temps mais au contraire pour Julien la lecture est une échappatoire. Dans cet extrait l'avis du père importe peu car il est considéré comme une personne antipathique par sa violence donc nous nous sommes davantage attiré par Julien et l'image valorisante qu'il fait ressortir

julien lit. Elle raconte comment le père attire l'attention de son fils. Et une deuxième partie descriptive. Le portrait lui même est préparé dans la première partie, ou on apprend que c'est un passioné de lecture,qu'il est reveur et qu'il subit la violence de son père et qu'il n'est pas intéressé par le travail à la scierie. Julien quitte sa position en hauteur, ce déplacement va permettre au narrateur de faire son portrait physique. Une phrase ammorce la description "il avait les joues pourpres et

dû 2. Un Roi qui concentre tous les défauts (absence de légitimité morale) Un Roi guerrier – « pilleries » sans justifications/raisons La Guerre est associée à la mort et la violence (lexiques) Horreur, violence et inutilité (métaphore) Un roi immoral  luxure (lexique, antithèse) Le Roi est le seul Ennemi (pronoms personnels) Insistance argumentative sur l’ennemi III. Solution pour sortir de cette « servitude volontaire » - humanisme