La Violence Antithèse

forme de la mûre= celle d’un cerveau = il appelle à une vision commune « avez-vous déjà vu… » =question oratoire qui vise à établir une comparaison visuelle. La mûre ne saigne pas mais coule donc = référence au sang humain + « bois qui se fend » = violence du lexique ⇨ « d’autres »= massacre d’innocents = façon de provoquer la révolte du lecteur ⇨ « logis propre, humble, paisible, honnête »= idée de totale innocence de cette famille =contraste qui crée un sentiment d’incompréhension, donc

« invita »2ème mouvement (v. 15-32) : un récit satirique, qui dénonce la violence de la cour (a) Une atmosphère macabre (v. 15-6) · La phrase exclamative (déterminant exclamatif « quel » et !) et le lexique péjoratif (choix du mot « charnier ») v. 15 ne sont pas neutres : loin d’admirer la puissance du Lion, le narrateur intervient indirectement pour blâmer la cruauté et la violence du Lion · La mort est évoquée par ses effets : « l'odeur

d'une voiture, on a besoin d'une Toyota" - "au lieu d'acheter une voiture, achetez une SAAB" - "quand on regarde Canal +, au moins on n'est pas devant la télé" - "achetez un portable - pas un jetable" (Nokia) - "un portable — un Siemens" 5. Antithèse -"La passion a toujours de bonnes raisons" (Moreno) -"Le plus grand des petits déjeuners" (Kellogs) 6. Allitération -"Cracotte :

figées: « Le même cérémonial s'est répété» jeu des questions/ réponses: Champs lexicaux, réglé 2. Les acteurs de la justice: de vrais comédiens l'avocat général: expressions violente ( « avec violence», « atroce ») Discours direct: - Théâtre (hyperbole, exclamations) - Antithèse: («étranger» / « fils ») (« refuser » / « proposer» - Périphrases: « le corps de celle qui lui avait donné le jour » => dramatisation de la situation avec rappel de la dette du fils à sa mère. l'avocat

syntaxique est le point (''.''). Le XX° siècle est séparé du reste. Le constat général est suivi par ''Notre XXème siècle'' (adjectif possessif), vise le lecteur. De même, le ''on me dira'' montre que l'auteur s'engage avec le ''me''. Il s'oppose à cette antithèse. Il cherche à justifier pourquoi, pour lui, le XXème siècle est celui de la peur. Il utilise, pour se justifier, des connecteur logiques: ''mais d'abord'', ''puisque'', ''de plus'', ''cependant''. -Deuxième paragraphe : Camus utilise le connecteur

Rousseau en la montrant de façon violente et désordonner. Au moment où il désigne l’opinion de cet auteur voltaire utilise un champ lexical de la violence, illustré par des termes comme « crimes » (l.6) « meurtres » (l.6) ou « horreurs » (l.6).Cela provoque un impact dans le lecteur qui lui aussi va finalement être contre la thèse de Rousseau à cause de sa violence. Cela est en plus renforcer par l’accumulation des ses termes, « que des crimes, de guerres, de meurtres, … » (l.6). D’autre part, voltaire

RACINE : PHEDRE : ACTE II SCENE 2 : VERS 524 - 552 L'AVEU AMOUREUX D'HIPPOLYTE A ARICIE Texte HIPPOLYTE Je me suis engagé trop avant. Je vois que la raison cède à la violence. Puisque j'ai commencé de rompre le silence, Madame, il faut poursuivre : il faut vous informer D'un secret que mon cœur ne peut plus renfermer. Vous voyez devant vous un prince déplorable, D'un téméraire orgueil exemple mémorable. Moi qui, contre l'amour fièrement révolté, Aux fers de ses captifs ai longtemps insulté ; Qui

Religion, qui sont des guerres civiles entre 1560 et 1598. La population est confrontée à la mort et à l'horreur. En effet, les guerres de religion opposent catholiques et protestants. Issu de la crise religieuse du XVIème siècle, du déchaînement de violence des guerres civiles, le baroque est une réponse multiforme à l'angoisse de cette période. Le baroque est à la base une notion artistique, appliquée aux arts plastiques qui fut transposée ensuite à la littérature. Quand ? entre 1580 et 1660 Où

pensée publique vous élève au-dessus du commun des hommes, que l'autre vous abaisse et vous tienne dans une parfaite égalité avec tous les hommes ; car c'est votre état naturel ». Dans le second discours, l'auteur nous présente sa thèse via une antithèse : les qualités des grands doivent faire l’objet d’un respect extérieur (donner un signe de soumission ou de respect), mais qu’elles ne sont pas toujours accompagnées de qualités d’esprit et de vertu, nécessaires pour recevoir l’estime de la population

chaque côté » ; Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantes. b) Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar « Canon » à la suite des instruments de musique : idée de mort « harmonie/enfer » : antithèse, Voltaire ironise et amorce un subtil renversement Derrière la brillante façade, le chaos et la terreur. c) Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon * le narrateur donne un bilan d’ensemble objectif, sinistre sans marque d’indignation :