La Violence Antithèse

déchirement moral entre une expérience infinie du bien et une expérience infinie du mal renforcé par le rythme binaire. Cette idée se retrouve dans e les différentes antithèses « ciel »/ « abîme », « infernal »/divin, « bienfait / crime ». Mais ce qui est troublant est la progressive confusion entre le bien et le mal. La première antithèse qui éloigne le ciel et l’abîme se distingue du deuxième vers qui rapproche visuellement « infernal » et « divin ». Cette progression est renforcée par l’adverbe «

de chaque côté'==> Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantesb. Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar :• 'Canons' à la suite des instruments de musique : idée de mort• 'harmonie/enfer (antithèse) Voltaire marque son opinion ironique et amorce un subtil renversement• Derrière la brillante façade : le chaos et la terreurc. Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon• Le narrateur donne un bilan d'ensemble objectif, sinistre sans

discours narratif mais à valeur argumentatif, c'est donc un apologue. a) Voltaire critique la noblesse : Effectivement, il y a une stimulante sature de la noblesse, par exemple il y a une satyre onomastique dans le nom du Baron → Thunder = violence, Tranch = Arbre généalogique. Il y a une critique de la noblesse héréditaire. On remarque aussi une ironie envers Candide, celui ci possède 71 et pas 72 quartiers donc il n'est pas noble. En clair, Candide n'est pas noble à un quartier près. De

Un discours en apparait comme une confession Le lion va donner l’exemple de se qu’il préconisait : aveu des fautes et des formes de sa culpabilité.  Formes flexionnelles dérivées « nous » -> « je » ; « moi/m’ » ; « mes »  Le lion montre sa violence « dévorer/manger »  Nombre très conséquent « force moutons » ; « appétits gloutons » (pluriels de grossissement) – idée d’avidité.  « Que m’avait-ils fait ? » (rhétorique d’accusation)  « Mes chers amis » indice d’humilité (hypocorisme) – Il

Figaro : Antithèse et parallélisme opposent les manifestations extérieures de la relation conjugale (cadeaux…) à l'authenticité des sentiments. Figaro révèle l'écart entre la générosité, le luxe " superflu " et la réalité du délaissement de la femme par l'époux, le " nécessaire " étant l'amour vrai. Cette franche dénonciation se fait habilement par le biais de la généralisation (pronoms " on ", " qui "), et invite le comte à un examen de conscience. S'ensuit un crescendo de la violence verbale :

demandera si Claire et Solange arriverons à leurs fins, c’est à dire assassiner Madame. Car malgré la forte véhémence dans les paroles de Solange : anaphore de « je vous hais » dans la première réplique ; « la révolte des bonnes monte », et les violences de ses gestes que l’on voit dans les didascalies, « Elle crache sur la robe » ;« elle gifle Claire » ; « Elle tape sur les mains », On remarque dans ses discours une hésitations à franchir la ligne. Elle passe constamment du discours respectueux

est mystérieuse. - le caractère mystérieux de cette femme qui ne fait que passer est mis en évidence et soulève l’interrogation du lecteur - cette femme est mystérieuse (plaisir qui tue ; douceur qui fascine) = parallélisme de construction, antithèse. Donc ni le titre ni le poème ne donne d’indication précise sur son identité, Baudelaire utilise des articles indéfini (une passante, une femme) = une personne qu’on a jamais vu. -on a un portrait physique mais pas psychologique, Baudelaire ne

de Frère Jean, on s’attend à quelque chose de marquant, d'époustouflant, crée du suspens½ - “bâton de la croix" et “ long comme une lance”comparaison- évoque les tournois -> on s’attend à de la violence et de l’intensité, Rabelais préfigure les événements qui suivent1 - “bâton de la croix”antithèse, ironie- symbole de la paix religieuse et de de l’amour chrétien, mais désacralisé, frère Jean s’en sert pour se battre et tuer -> personnage qui sort de l’ordinaire1 - “en cœur de cormier” symbole

____d'habitude, il bafouille, s'interrompt... _____2)__Plus généralement, un personnage double. Tout d'abord, à travers les antithèses : il y a un jeu entre ce qu'il pense et ce qu'il fait. Par exemple, l.1637-1638, on trouve une opposition entre « ma bouche » et « mon cœur » → différence entre ce qu'il ressent et ce qu'il fait paraître (ce qu'il dit). Des antithèses sont reprises par S. (l.1644 : une statue ne bouge pas et ne parle pas ; l.1657-1658 : il est impie et il se fait passer pour

→ Nature 2ème quatrain → Le soldat (indignation) 3ème sizerin → Rupture « comme sourirais un enfant malade » Antithèse « chaudement ≠ froid » + chute B – Dernier vers, la chute Vers disloqué 3+9 Rejet de tranquille Opposition radicale par rapport au texte même si celle-ci est annoncé. Couleur rouge ≠ avec le reste des couleurs du poème. Symbole de sang, de violence de mort. Conclusion : Ce poème joue sur le ou les sens. En effet, Rimbaud évoque une nature accueillante