La Violence Est Elle Une Fatalité

le deuil. • Une structure classique : l’exposition, le nœud accompagné de quiproquos, de péripéties, et le dénouement qui voit souvent la mort d’un personnage. • Des thèmes récurrents : l’amour, la haine, la jalousie, le sens de l’honneur et la fatalité contre laquelle l’homme tragique ne peut rien. • Le dynamisme du héros : le héros tragique est héroïque. • Des procédés rhétoriques particuliers : l’alexandrin reste le vers tragique par excellence. On trouve de nombreux procédés d’amplification

par des bandits, élevé dans leurs mœurs » (l.12). On voit que le personnage cherche a mener une vie honnête « courir une carrière honnête », cependant il se trouve souvent rejeté par une société figée « partout je suis repoussé » (l.13). Ainsi la fatalité sociale pèse sur cet homme du peuple désabusé qui cherche à affirmer sa supériorité. 2) Schéma récurent de l’expérience Le coté combatif se perçoit amplement lorsque Figaro, dans son monologue évoque les études scientifiques auxquelles

I- L’auteur dénonce la guerre dans ces deux premiers quatrins. 1) La Violence de la guerre. - Métaphore péjorative, dévalorisante, négative : « Les crachats rouges » (v1).  Elle désigne le sang des soldats et « crachats » est un mot aux sonorités dures, terme très vulgaire et trivial, qui évoque le désagréable. De plus, la figure de style est placée au milieu du vers, à l’hémistiche, ce qui donne l’impression que l’auteur insiste. - Périphrase dévalorisante sur la guerre : « Folie épouvantable

visage Front, visage, yeux. Le front est cité 3x l29... l10 – 24 sourcil, l25 paupière l32 cils • Lumière très forte, métaphore filée « glaive étincelante, épée brûlante » « lumière a giclé », « jaillir du couteau » => participes connotent la violence de la lumière Elle n’est pas liée à un geste de l’Arabe. Le narrateur semble que la lumière vient à son front. • La vue est diminuée, l26-27 métaphore d’un rideau « aveuglés » son jugement aussi est obscurci. 3) La douleur auditive « cymbales

est existentiel au physique comme au moral. Il y a une aliénation absolue. Le spleen a partie liée avec le temps, la durée corruptrice, dévastatrice. Le temps étire le malaise, « j’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans ». Le temps est la violence du spleen. Le poème « l’ennemi » est fondé sur cette dualité du spleen et de l’idéal, le temps spleenétique et celui de l’idéal. Le premier est supplice d’abondance néfaste, l’autre est par essence périssable donc torture, privation et frustration

irraisonnée pour Hippolyte oxymore : ma raison égarée hyperbole : implorait 285/ adorais H 286 j’offrais tout à ce dieu 288 : indéfini = totalité. Hyperbole comble des horreurs 260Champ lexical de la violence et hyperboles dans son attitude : arrachèrent, idolâtre, injuste marâtre, cris éternels, ennemi ( voc guerrier)hyperbole : j’ai pris la vie en haine, flamme en horreur, de l’amour j’ai toutes les fureurs 259métaphore blessure saignaitgradation pour

éprouve pour Hyppolite. En effet elle accepte son amour, et n'a en aucun cas cherché à le combattre ---> "Ma lâche complaisance ai nourri le poison". Mais elle justifie aussi cette passion par une vengeance des Dieux*, on trouve ici la notion de fatalité, ce qui renforce la tragédie de la scène ---> "Objet infortuné des vengeances célestes". Elle lui explique par la suite, que les raisons de son inimitié à son égard n'étaient uniquement dut à ses sentiments. Elle imaginais qu'en le fuyant,

succès au box-office à l’époque. Le réalisateur, cependant conscient de l’aspect quelque peu choquant de ses personnages à caractère plutôt violent, explique ses choix dans un entretien avec Charles Birch pour les Cahiers du Cinéma : il y a de la violence en eux, il y en a en chacun de nous […] Voilà pourquoi j’aime les non-conformistes : le non-conformiste est bien plus sain que celui qui, toute sa vie, mène son petit train-train, car c’est celui-ci qui est le plus apte, au moment le moins prévisible

tire, par effraction), attaques à main armée, et même, au pire, crime ou meurtre, destructions, incendies volontaires, vols de voitures…). Cause Il n’y a pas de causes préétablies poussant un mineur vers la délinquance. Mais s’il n’y a aucune fatalité sociale, on reconnaît toutefois certains facteurs déclenchant :  -Le trouble de l’adolescence : Les changements physiques et psychologiques liés à la puberté peuvent être très perturbants et accentuer la fragilité psychologique déjà présente chez

les sentiments. ANDROMAQUE inspire grandeur et noblesse par le décor, les personnages et le langage. Elle l’imprime aussi par la force des sentiments, la violence des passions et la fatalité qui s’acharne sur les héros et alimente l’essence même du tragique racinien puisque cette fatalité rend inutile le combat de l’homme contre sa passion et son destin. Cette peinture, en révélant les contradictions et faiblesses des héros, expose au regard de tous les fragilités de