La Voix d'un ange

Madame Bovary Emma Rouault, la fille d’un fermier de Tostes, petit village normand, a épousé Charles Bovary, un officier de santé. La jeune femme très vite s’ennuie. Elle trouve insupportable de médiocrité son mari, son milieu, la vie qui mène, qui ne correspondent en rien aux images de bonheur qu’elle s’est imaginés dans les livres et dans ses rêves. Pour casser cette routine, son mari décide de partir à Yon-ville- l’Abbaye. Mais, Emma retrouve l’ennui, en dépit de Léon Dupuis, jeune clerc

l'extrait étudié Acte V Scène IV - La reine, Ruy Blas. Ruy Blas fait quelques pas en chancelant vers la reine immobile et glacée, puis il tombe à deux genoux, l'œil fixé à terre, comme s'il n'osait lever les yeux jusqu'à elle. Ruy Blas, d'une voix grave et basse. Maintenant, madame, il faut que je vous dise. – Je n'approcherai pas. – Je parle avec franchise. Je ne suis point coupable autant que vous croyez. Je sens, ma trahison, comme vous la voyez, Doit vous paraître horrible. Oh ! Ce

Maroc à l’asile du Caire, entre les singes et les fous, revint en son pays par grande tempête, du affronter le diable, manqua d’être refondu dans la Cuiller universelle, finit dans le giron d’une femme qui l’avait toujours attendu… ». Récit picaresque d’un personnage solitaire, Peer Gynt se nourrit des grands mythes (Faust, Jacob…) qu’il articule autour du problème central de l’identité du héros : « être soi-même ». cf. Acte V scène l’oignon sur la dissolution du personnage dans une infinité d’identités

| 1816 | Il rencontre à Aix les bains, Julie Charles, épouse d'un grand physicien. La belle créole y soigne une maladie pulmonaire. C'est le coup de foudre. Dans les mois qui suivent, alterneront longues et fébriles attentes et brèves et fugitives retrouvailles. | 1817 | De Janvier à mai, Lamartine fréquente à Paris le salon de Julie Charles. D'août à septembre il l'attend en vain à Aix . Il écrit le Lac qui évoque l'angoisse d'un amour en danger et la tristesse occasionnée par la fuite du temps

une œuvre autobiographique ; Une œuvre introspective (non, pas vraiment) 1. Les mémoires d’une âme (poèmes autobiographiques)  Préface : annonce le contenu, insiste lourdement sur la réalisation au fil du temps « goûte à goûte » ; « les mémoires d’un homme »  Poèmes racontant l’adolescence (livre I), les amours d’Hugo (livre II) => voir la symbolique des titres donnés à ces deux livres. 2. Un tombeau poétique  Organisation du recueil liée à une tragédie personnelle : préface ; livre I

ps9561.r447c44 2005 Extrait de la publication À quoi allons-nous passer le reste de notre existence, désormais? Veux-tu me le dire? À regarder par la fenêtre passer les défilés? À faire joujou avec la ménagerie de verre? N’est-ce pas mon ange? TENNESSEE WILLIAMS Extrait de la publication Extrait de la publication PROLOGUE Les carnets d’Elsie Extrait de la publication Pourtant le début était prometteur. Tu marchais seule très lentement dans un sentier des Jardins

entendre ce mot dans ces trois sens : mémoires de sa carrière de poète, mémoires de sa fille décédé trop tôt Léopoldine, et mémoires d’un homme témoin de son temps, et dont l’engagement social lui a valu d’être exilé par le nouvel empereur Napoléon III. L’extrait que nous étudions est tiré d’un poème particulièrement long, et célèbre à plus d’un titre, puisqu’il s’étend sur plus de dix pages. Son début présente deux femmes toutes deux victimes d’une misère sociale différentes ; pour

Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! Tu feras bien, en train d'énergie, De rendre un peu la Rime assagie. Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ? Ô qui dira les torts de la Rime ? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime ? De la musique encore et toujours ! Que ton vers soit la chose envolée Qu'on sent qui fuit d'une âme en allée Vers d'autres cieux à d'autres amours. Que ton vers soit la bonne aventure Eparse au vent

cette nuit est très différente des autres, comme si elle allait radicalement changer ma vie. Et se fut le cas, pendant que mon chien vaquait à ses occupations, un homme vint, et me parla, il était un peu androgyne, vêtu d’une longue veste de cuir, d’un magnifique pantalon de velours côtelé noir avec de splendides reflets rouges sang et un t-shirt gris qui donnait l’illusion d’être une cote de maille. Le plus troublant chez cette homme, c’était son charisme, son corps, très pale, même dans la peine

1/Relations beaux parents /enfants «C’est une histoire très banale de temps qui passe. Nous nous sommes rencontrés tard, nous nous sommes aimés alors que mon horloge biologique battait déjà les coups de la quarantaine. Très vite, nous avons eu envie d’un enfant, parce que nous savions que les années nous étaient comptées. Les examens étaient rassurants, les médecins confiants. Vinrent alors, successivement, les stimulations hormonales, les inséminations artificielles, les FIV [fécondations in vitro