La Volonté de puissance

de juge, supposé indifférent aux parties, dans les conflits qui opposent ceux qui sont soumis à son pouvoir, cette indifférence ne saurait être de mise lorsque l’État lui-même est un des termes du conflit. Dans ceux-ci, il ne fait valoir que sa puissance, voire sa cruauté et sa fourberie ; il doit se faire craindre. La virtù dont fait preuve le Prince n’a rien de la vertu chrétienne en ce sens qu’elle se définit par la force, l’habileté, la capacité à s’adapter aux circonstances et à exploiter les

de juge, supposé indifférent aux parties, dans les conflits qui opposent ceux qui sont soumis à son pouvoir, cette indifférence ne saurait être de mise lorsque l’État lui-même est un des termes du conflit. Dans ceux-ci, il ne fait valoir que sa puissance, voire sa cruauté et sa fourberie ; il doit se faire craindre. La virtù dont fait preuve le Prince n’a rien de la vertu chrétienne en ce sens qu’elle se définit par la force, l’habileté, la capacité à s’adapter aux circonstances et à exploiter les

ce n'est que de la force déguisée : s'il y avait un droit du plus fort, alors un plus fort aurait légitimement le droit de renverser le régnant... « Or, qu'est-ce qu'un droit qui périt quand la force cesse ? » → « On n'est obligé d'obéir qu'aux puissances légitimes » (ex, on n'est pas obligé de céder devant le pistolet du brigand, si on a l'occasion d'y échapper) → la force ne résout pas la question de la légitimité. Chapitre 4 : de l'esclavage Réfutation des arguments type ''le peuple se

p.511. Aristote ajoute : « on passerait pour un buveur de sang accompli si, de ses propres amis on se faisait des ennemis en vue de susciter des batailles et des tueries ».2 des voisins) ou les efforts qu’elles exigent (nécessité d’un surcroît de volonté pour faire disparaître un mal supposé dans le cas de la guerre au surpoids ou à la vie chère ). Il n’y a pas de guerre sans confrontation directe, sans bataille, c’est-à-dire sans la décision d’assumer la possibilité pour le combat de s’achever par

alliances de la France avant de s’engager dans la guerre. Louis XIII cherche non pas a justifier la guerre, mais a en donner la responsabilité au Espagnol : en effet a ses yeux, la France ne ferait que se défendre. Il fait de la France une opposition au volonté hégémonique de l’Espagne, et balaye la justification de la religion que l’Espagne et l’Autriche rétorque quand au opération militaire contre les protestants. Nous allons nous demander quels sont les arguments choisis par Louis XIII et Richelieu pour

les Etats signent, des traités internationaux. Le fait de signer un traité est le symbole même de la souveraineté. De plus,un Etat qui agit en démocratie doit alors considérer le peuple comme souverain. Dans l’extrait de La Loi, expression de la volonté générale écrit par Raymond Carré de Malberg en 1931 dans le but de dénoncer le système parlementaire, explique le régime représentatif est limité par le régime parlementaire. Mais de quelles manières le régime représentatif est-il limité par le régime

........................................1 2. La tentation ....................................................................................4 3. Pécher délibérément .......................................................................7 4. La Volonté ....................................................................................10 5. Le pouvoir de la suggestion ..........................................................13 6. L’autosuggestion ...............................................

L’affirmation de la puissance de l’autorité monarchique par la plénitude du pouvoir législatif A. Promulgation et abrogation de la loi : une compétence exclusivement monarchique B. L’abrogation de la loi par le roi au regard de son imperfection et de son inapplicabilité par le juge II. La mise en œuvre de la loi par le juge A. Le pouvoir d’interprétation de la loi par le juge B. Les limites du pouvoir du juge au regard de la suprématie de la loi (expression de la volonté du souverain)

assumée par la volonté qui comme le premier est supposé être indépendant, impartial mais en même temps à l’écoute de la loi c'est-à-dire de la Raison. Enfin les accusés sont nos désirs. Nos désirs ne sont pas tous coupables pas plus que les accusés d’un procès, mais ils sont susceptibles de l’être, et le but du procès, c'est-à-dire de notre jugement, c’est de savoir si on peut leur donner libre cours ou s’il faut les condamner. C’est le juge qui le fera, c'est-à-dire notre volonté, en appliquant

Terminale L'Europe entre restauration et révolution (1814- 1848) FICHE DE COURS Introduction : Suite à l’effondrement de l’Empire napoléonien en 1814, les monarchies européennes souhaitent réorganiser l’Europe et rétablir l’ordre ancien. Ces grandes puissances se retrouvent lors du Congrès de Vienne, où elles aspirent à instaurer une nouvelle diplomatie garantissant une paix durable. Mais en quoi l’Europe se retrouve-t-elle