La Vénalité Des Offices

le nord et le sud, la province et Paris,.. c. les privilèges de la noblesse et du clergé résistent à l'autorité royale. d. la gestion de l'administration locale et régionale s'enlise dans des conflits de compétence. e. la vénalité et l'hérédité de certains offices publics. II. La nouvelle monarchie : le cas de l’Angleterre 1. La modernisation de la société anglaise. a. Au XVIIe s. la population anglaise augmente. Dès lors les besoins alimentaires doivent s'adapter à la demande ce qui

augmenter les impôts. La solution qui va être trouvée par la royauté va être de vendre des emplois publics, c’est le système de la vénalité des charges. Ce système fonctionne bien à l’époque, les italiens disaient que chaque fois que le roi de France crée un office, Dieu crée un imbécile pour l’acheter. Le pouvoir royal a crée de plus en plus d’offices jusqu’aux offices judiciaires. François premier le fait en 1522. Les juges sont propriétaires de leurs charges et deviennent dans les faits juges à

répandue, la Révolution n’est que le couronnement d’une évolution commencée sous l’Ancien Régime, avec l’avènement d’une monarchie absolue, centralisatrice et bureaucratique qui conduisait à l’érosion des privilèges et au nivellement social (vénalité des offices...). C’est le maintien d’un cadre archaïque, en contradiction avec ces mutations, qui a provoqué 1789. Néanmoins, la Révolution permet l’épanouissement d’une idée nouvelle chère à Tocqueville : celle de liberté. Pour lui, quoi qu’il se passe

pouvoir exécutif §3 – Le pouvoir judiciaire Section II – La subordination de la société I. La noblesse et la cour II. Le clergé A. Le Concordat de Bologne de 1516 B. Le Gallicanisme C. L’appel comme d’abus III. La bourgeoisie et les offices Chapitre II. Les fondements de l’absolutisme Section I – Le fondement dynastique I. Etablissement du principe héréditaire II. Corolaires du principe héréditaire A. La primogéniture B. La masculinité Section II – Le fondement doctrinal

circonscriptions avec au sein de chacune un Conseil supérieur, nouvelle juridiction souveraine, le Parlement de Paris subsistant mais à la tête d’une circonscription plus réduite (édit du 23 février 1771). Pour ces nouvelles juridictions, la vénalité des offices est abolie, les magistrats étant désignés par le Roi, mais inamovibles, et rétribués par l’État. La réforme fut vivement combattue par l’ancienne magistrature ainsi que par la noblesse – dont les Parlements avaient toujours défendu les privilèges

c’est un chancelier chargé de la justice sous Louis XV et en 1771, le chancelier Maupeou, supprime les parlements et créer à leur place des conseils supérieurs : ils ne sont chargé que de la justice. La réforme met également fin à la vénalité des charges : les offices : on ne peut plus acheter la charge de conseiller au parlement. On ne peut plus également la transmettre de père en fils. Et contre tout attente, cette réforme qui n’est que la réaffirmation des prérogatives du roi, elle va être vécu

et au 18ème siècle, les magistrats étaient des professionnels propriétaires d’un office de justice, d’une charge judiciaire qui entrait dans leur patrimoine. Comme les pharmaciens et les notaires sont des professionnels qui ont le titre de docteur et d’officier ministériel, ils possèdent à la fois un diplôme et aussi la propriété d’une structure, l’office de pharmacie ou l’office notarial étaient titulaires d’un office judiciaire. Dans l’ancien régime, le métier de juge était prestigieux, politiquement

étranger C’est volontairement que Zola adresse J’accuse au président On peut dire ce qu’on veut dans les journaux Pas de loi sur la diffamation (arrivent après 45) Âge d’or des journaux, publicité des journaux commerciaux Un des problèmes est la vénalité de la presse (service secret de zaristes qui payent les journaux 2millions de francs en 1905, 3 millions en 1913 en Russie (?)) 3 strates ; - presse de qualité (à droite le Figaro, le Temps (comité des forges), à gauche l’Humanité crée en 1904

des cerfs en France. En abolissant, le Fort mariage, la corvée, on libère les hommes et les rend égaux. On met en place une démocratie sociale. Dans la société tout le monde peut accéder aux emplois. On abolit ainsi la fonction publique, la vénalité des offices, on ne peut plus acheter son poste de fonctionnaire, de juges. On n’achète plus sa fonction de fermier général ( qui concédait l’impôt). Ainsi, on a l’accès de tous à égalité aux emplois publics. Tout ce qui vient du droit de ban est supprimé

à des travaux engagés plus tôt, avec l’apparition des formes culturelles liées à l’industrialisation. Richard Hoggart, en publiant en 1957, The Uses of Litteracy, traduit des années plus tard en français sous le titre La culture du pauvre18, fait office de pionnier et ouvre la voie vers de nouvelles enquêtes et de nouvelles méthodologies. En effet, immergé en observateur dans la vie des classes populaires, dont il est issu, il dresse une monographie détaillée des pratiques culturelles populaires