La Vérité Est Elle Immuable

La coutume constitutionnelle peut-elle être une Constitution? Dans la vie courante, on confond coutume constitutionnelle et Constitution à proprement parler. Mais la Constitution est elle un texte écrit, immuable si non transformé par de longs processus. Au contraire, la coutume constitutionnelle n'a pas de légalité propre mais elle fluctue au fil du temps en se calquant sur les époques. On peut alors s'interroger sur la concrétisation de la coutume constitutionnelle et plus précisément à savoir

rivalité entre le philosophie et la religion sur le plan des revendications de l'une et de l'autre à connaître la vérité. . Je voudrais, aujourd'hui, creuser un peu cet aspect. Ce n'est possible que superficiellement, car si l'on veut examiner exhaustivement la question de la vérité, c'est toute la philosophie qui y passe. . En revanche, si l'on aborde l'immense problème de la vérité, qui est celui de la connaissance, qui est celui du réel, en se plaçant uniquement du point de vue des prétentions

l’exercice de sa liberté, de sa volonté. ETRE JUSTE DANS SES ACTES. Justesse du choix, sa réflexion, sa prudence. Moral, c'est-à-dire capable de distinguer son choix, le « bon » du « mauvais ». PREMIERE PARTIE : Vérité et connaissance du réel. Hypothèse de définition de la vérité 1) La vérité : « opinion commune », est vrai ce que tout le monde pense. L’erreur : ce qui n’est pas conforme à l’opinion commune, est faux ce qui n’est pensé que par quelques uns. Exemple : Aristarque était seul a soutenir

la vérité à travers l'histoire : il permet une connaissance intuitive et immédiate lorsque la vérité n'est pas conçue – c'est-à-dire représentée par des concepts – mais manifestée par la réalité sensible. La forme sensible de l'œuvre d'art n'est donc qu'un moyen d'exprimer la vérité, ce que la philosophie signifiera parfaitement à travers des concepts et des explications.
Ainsi l'histoire de l'art ne peut-elle que supprimer progressivement la forme sensible pour représenter au mieux la vérité. Avec

contradictoires, comme une glace dure et froide, comme du liquide tiède et agréable, ou comme une vapeur brûlante . Platon pense que la raison saisit, comme cachée derriére ces apparences fluctuantes, la vraie réalité de l’eau, son essence, une et immuable : l’Idée abstraite, suprasensible ou métaphysique qui se trouve derrière cette chose . On ne peut voir cette vraie réalité qu’avec la raison, qui est comme l’œil de l’âme . On retrouve chez Descartes cette meme méfiance à l’égard du témoignage des

conséquence en conséquence à une vérité incontestable. » (VIÈTE, 1868 : 8) Dans un premier temps, le terme « concédé » est important car il explique qu'il faut avoir des connaissances préalables sur l'objet d'étude avant de pouvoir l'analyser. On peut partir de paradigmes, des postulats ou encore des préjugés... Cela suppose donc une volonté de réflexion intellectuelle chez l'analyste. Dans un second temps, le terme « incontestable » pose le problème de la valeur de la vérité, et de la différence entre

manifestations = immuable Référence : Descartes = « le bon sens est la chose la mieux partagée du monde » ▪ Une raison à éduquer et perfectionner : ← La raison est-elle naturellement parfaite, cad complète et mûre dès la naissance ? Raison = faculté qui s’éduque et se perfectionne = bonne utilisation + efficacité ( image de l’ardoise vierge de Locke à remplir d’apprentissage Référence : Malebranche, Recherche de la vérité, 10e éclaircissement (1674) Vérités subjectives =

ce qui leur permettaient de se consacrer à des activités libérales comme la politique, la science ou la philosophie. Celle-ci était considérée comme le plus haut degré du savoir, un savoir total c’est-àdire capable de conduire non seulement à la vérité mais aussi au bonheur par une vie de sagesse. Parmi ces novateurs, retenons surtout trois grandes figures : Socrate, Platon et Aristote. - Moyen-Âge La doctrine des grecs concernant les grandes questions de la philosophie : l’origine du monde, la

l’attitude philosophique. Pourtant selon le sens commun le doute remet en question la vérité et serait donc en opposition avec la vérité, et un aveu de l’homme sur son impuissance à parvenir à la vérité, voire un échec. On peut toutefois se demander si la raison nous offre les outils nécessaires de reconnaître la vérité parmi les connaissances dont on doute. Si cette raison peut mettre en question les vérités auxquelles on croyait ou est-ce un risque ne plus y croire ? Est-ce que cela fait du

qu’il fait appel à l’esprit critique de son lecteur (pour Descartes, tous les hommes ont une raison égale). Descartes affirme être « contraint d’en parler » pour cette raison. En réalité, derrière cette modestie affichée, et quête désintéressée de la vérité, nous pouvons penser que Descartes est persuadé d’avoir raison : c’est ce qui le pousse à exposer sa théorie. Une nouvelle méthode, le doute radical : Or, dans le domaine métaphysique, il faut opter pour une méthode radicalement différente : alors