Lâcheté

qu’Emma veut vivre une réelle histoire d’amour avec lui alors qu’en réalité, il ne veut lui offrir que des étreintes cachées. Toujours à la partie 2, peu de temps après avoir consommée leur amour, il décide de lui écrire une lettre pour rompre. Sa lâcheté est exprimée ici par l’utilisation de l’épistolaire qui lui évite une confrontation en face à face et les pleurs d’Emma. Dans cette lettre, il essaie de se convaincre qu’il ne lui fait pas de mal, pour soulager sa conscience. « Après tout, c’est

vue adopté) ; cet homme au double visage (opposition marquée par « tandis que » et par des antithèses : «souriant [...] paisibles » / « hautaine et cruelle) paraît d’autant plus dangereux, Orschwir devient une allégorie de la compromission et de la lâcheté, la violence de Dorcha (déjà pressentie pendant la scène du marché) est également révélée, ... Aucune de ces figures ne semble échapper à la dénonciation indirecte des tableaux ; les villageois sont vus comme des monstres, chacun illustrant une tare

tout en s’exclamant à haute voix. L’auteur le souligne dès la première didascalie du texte, « il tourne sur lui-même, hagard … » et fait remarquer son errance à la ligne 1-6 : « Caligula ! Toi aussi, toi aussi tu es coupable … de se sentir la même lâcheté dans l’âme. ». Tout cela se remarque car l’amplification er l’insistance dans l’utilisation du point d’exclamation est remarquée dans tout le discours de Caligula. La prise de conscience de l’échec est non seulement évidente dans la mesure où il utilise

celui-ci prend des distances et décide d’abandonner sa maitresse. Pour Rodolphe, la plus simple solution de mettre fin aux relations avec sa maitresse, est de lui envoyer une lettre afin de ne pas l’affronter en face, telle est sa lâcheté. Dans cette lettre, sa lâcheté est mise en valeur car il n’est pas dur, il n’a pas le courage de dire clairement la vérité, il le montre avec cet euphémisme « Mais un jour tôt ou tard, cette ardeur se fut diminuée, sans doute » Il n’est pas précis comparé à une

age qu’il faut dire, la vérité est une bonne chose. Mais il y a certaines vérités qui peuvent nuire a autrui il faut donc de préférence se taire pour protéger la personne, dans certaines circonstances se taire peut être considère comme un acte de lâcheté. Nous nous interrogerons si cela est normal et malhonnête de taire la vérité ? Nous verrons que dans un premier temps la vérité n’est pas toujours bonne a dire et dans une seconde partie que moralement la vérité est exigé. Dans une premiére

la réponse à la question : « qu’est-ce que les Lumières ? » écrit par Emmanuel Kant. Kant parle ici de minorité et de majorité selon une dépendance ou une indépendance intellectuelle des individus. L’auteur soutient la thèse que la paresse et la lâcheté ont pour cause la facilité avec laquelle la plupart des hommes acceptent de se laisser diriger et la facilité avec laquelle quelques hommes profitent de cette paresse des autres pour exercer sur eux une tutelle. Ce texte pose le problème de savoir

toute entreprise qui participe à sa marginalisation offre à la vindicte populaire les moyens d'un terrain commode et extrêmement lâche d'expression de ce racisme ordinaire. Or ce racisme ordinaire est produit et entretenu par la somme de toutes les lâchetés de la République Française dans son refus obstiné d'admettre et de vouloir corriger en profondeur les représentations collectives racistes et discriminantes qu'elle s'est efforcée de construire dans le passé afin d'asseoir et de rassembler largement

Sganarelle le décrit, nous ressentons qu'il occupe une place importante dans la pièce, en effet c'est le « héros » si on peut se permettre de l'appeler ainsi. Sganarelle le critique mais lui aussi à de nombreux défauts comme la prétention ou encore la lâcheté : « c'est qu'il est encore, et qu'il n'a pas le courage... » : il montre sa soi disant superiorité a Sganarelle, «  Eh oui sa qualité ! » : il exprime encore son opinion, il pense que malgrés tout il est de qualité supérieure, «  eh mon pauvre Gusman

grande rapidité, ce que montrent les didascalies et notamment les locutions adverbiales indiquant la simultanéité: « pendant que » (l.21), « À ce moment » (l.30) ou encore l'importance des verbes conjugués au présent (par exemple, « quelle est cette lâcheté ? Tu rends Hélène ? Troyens, aux armes ! On nous trahit... » (l. 32-33). 2. Les jeux de scène semblent illustrer la dimension tragique de l'extrait. Le javelot d’Hector tout comme le rideau de scène sont successivement baissés, puis se relèvent

dernière nous les civils. On était faits, comme des rats.» (Céline, 2004, p.10) Bardamu n’est donc pas un héros patriotique, puisque ce n’est donc pas par bravoure qu’il s’engage comme soldat. Deuxièmement, le personnage principal fait preuve de lâcheté jusque dans ses relations amoureuses. Afin de ne pas décevoir sa compagne, une infirmière américaine pour l’armée qui a développé une forme de respect pour la France, il tait son peu de patriotisme envers la France. Pour Bardamu, la France évoque