Le Bonheur Selon Epictete

De la même manière, pour ceux qui ont une certaine culture, l’exemple des grands hommes fournit des modèles de rectitude du comportement à l’égard de ce qui est bien ou mal. Nous avons dans notre histoire des héros de la morale, de Socrate, à Epictète, de Gandhi à Martin Luther King. Chaque culture possède aussi ses autorités morales. Nous pouvons nous tourner vers ces hommes illustres pour nous demander ce qu’ils auraient fait à notre place. Nous pouvons repenser un problème d’aujourd’hui à travers

Jansen ou Jansénius, brillant théologien hollandais, entreprit de redécouvrir et de suivre à la lettre les doctrines de St-Augustin, un des pères les plus influents et importants de l’Eglise. Il est, dès lors, question de la vanité et de la grâce. Selon une version très pessimiste de la condition humaine, ce courant religieux, ayant des ramifications politiques, défendait l’idée que l’homme, en vile créature corrompue, ne peut pas se sauver par lui-même, Dieu seul a ce pouvoir de décision. Il y

b) De la même manière, pour ceux qui ont une certaine culture, l’exemple des grands hommes fournit des modèles de rectitude du comportement à l’égard de ce qui est bien ou mal. Nous avons dans notre histoire des héros de la morale, de Socrate, à Epictète, de Gandhi à Martin Luther King. Chaque culture possède aussi ses autorités morales. Nous pouvons nous tourner vers ces hommes illustres pour nous demander ce qu’ils auraient fait à notre place. Nous pouvons repenser un problème d’aujourd’hui à travers

divin, axé donc sur la foi, et la « religion extérieure » c’est-à-dire l’ensemble des institutions ayant pour fonction de régler les rapports des croyants avec Dieu ou la sacré par des rites, des cérémonies et une liturgie spécifique, et variables selon les époques et les civilisations. Le Dieu de la religion naturelle (Hume, Rousseau) ne nécessite ni Eglise ni culte particulier et ne constitue qu’une référence et un guide pour l’exigence morale. Les trois critiques La religion a été attaquée

Diogène à travers sa consciencieuse volonté de rapporter sans exception ce qu’il savait à propos de tous les philosophes sur lesquels il écrit. 1 Kl sis – Revue philosophique Comme avant-goût de la richesse de ce texte, pourtant bien pauvre selon les critères ordinaires du lecteur philosophe, voici quelques éléments tirés de ma lecture des pages consacrées à Zénon, fondateur du stoïcisme∗. Diogène Laërce donne trois versions de la conversion de Zénon à la philosophie. Néanmoins, de mon point

Commerce de Paris parfait. C’est dire que la représentation, l’imagination, peuvent impliquer une opinion fausse, mais qu’elles participent également à la connaissance. Par l’exercice de la « grimace », elle est mise au rang des « puissances trompeuses » selon Pascal ; elle sert parfaitement le pouvoir par le consentement de ceux qui lui sont soumis, comme l’explique La Boétie dans le Discours de la servitude volontaire (1553). Mais l’imagination permet aussi à l’esprit de juger et de connaître ; l’image

nécessités physiologiques ne sont plus la norme et qu'elles peuvent même être transgressées au point d'être mises en péril. Platon compare en ce sens la partie de l'âme qui éprouve des désirs aux cinquante filles de Danaos, les Danaïdes, qui furent selon le mythe condamnées à verser éternellement de l'eau dans un tonneau sans fond. Gorgias 494b. B/ Le désir est aliénation 1. Dépendance à la nature On peut remettre en question l'opposition désir / besoin comme on avait pu remettre en question l'opposition

supérieur. On a du mal à expliquer son origine car le plus souvent il est d’essence divine ou religieuse. Rome et l’influence du stoïcisme. Dernière décennie de l’Empire Romain où on a une remise en cause de l’esclavage par certains auteurs (Epictete, Ciceron, Seneque, Marc Orel). Ces stoïciens considèrent que même chez l’esclave il y a une part de liberté. La pensée est présente dans chaque Homme y compris l’esclave. ce qui est nouveau c’est que l’esclave est considéré comme un Homme dont l’esprit

exemple, la distinction cause/fin peut être impliquée dans l’examen des notions de vérité, d’histoire, de liberté, d’interprétation, de vivant, ou la distinction idéal/réel peut intervenir dans celui des notions d’art, de religion, de liberté, de bonheur, etc. C’est aussi pourquoi ces repères ne feront en aucun cas l’objet d’un enseignement séparé ni ne constitueront des parties de cours ; le professeur déterminera à quelles occasions et dans quels contextes il en fera le mieux acquérir par les élèves

exemple, la distinction cause/fin peut être impliquée dans l’examen des notions de vérité, d’histoire, de liberté, d’interprétation, de vivant, ou la distinction idéal/réel peut intervenir dans celui des notions d’art, de religion, de liberté, de bonheur, etc. C’est aussi pourquoi ces repères ne feront en aucun cas l’objet d’un enseignement séparé ni ne constitueront des parties de cours ; le professeur déterminera à quelles occasions et dans quels contextes il en fera le mieux acquérir par les élèves