Le Business Model Sncf

Publicité  La différence entre le marketing direct et la publicité classique repose sur l’objectif, FAIRE AGIR, et donc, sur l’existence d’un média de récupération permettant au destinataire de réagir (numéro de téléphone, adresse électronique…)  Le modèle (Cognitif- Affectif- Conatif) Communication Stade Stade Stade cognitif affectif conatif Effets intermédiaires  la matrice FCB APPREHENSION I M P L I C A T I O N + - INTELLECTUELLE EMOTIONNELLE APPRENTISSAGE (1) AFFECTIVITE (2) learn>feel>do

les processus Au début des années 90 une déferlante de changement radical des structures organisationnelles est apparue aux Etats-Unis sous le terme générique de reengineering. 1993 et 1994 se sont avérées être, aux Etats Unis, les années du Business Process Reengineering (BPR). Les américains ont été ainsi très actifs à remettre en cause les concepts de base de leurs organisations. Quelques années plus tard la vague atteignait l'Europe occidentale, et donc la France, où le terme de reconfiguration

capitaux: SA, SARL; société de personne: SNC, SCS) (société civile (SCI,SCP) (entreprise de l’économie sociale (société coopérative, société mutualiste, association) => très importante * Entreprises Publiques: - EPIC (documentation française, SNCF) - Société d’Economie Mixte: gaz électricité Grenoble - Société Anonyme: France Télécom, Edf/Gdf * La diversité des tailles: - Effectifs: * Très petite entreprise: O à 9 salariés (93% en France) * Petite et moyenne entreprise:

pratiques de GRH ? Face à la complexité croissante, au recentrage de la fonction RH sur ses activités à plus forte valeur ajoutée, et la recherche de gain de productivité, quelles formes d’externalisation sont proposées ? Existe-t-il un consensus sur le modèle et dans la mise en œuvre ? Dans ce mémoire, nous ne nous intéressons pas aux aspects de la mise en place d’un SIRH : choix d’un logiciel/éditeur, gestion de projet, … Notre questionnement porte sur l’apport du SIRH dans l’optimisation de la GRH au

INSTITUT SUPERIEUR EUROPEEN DE GESTION LILLE Professional Business Report : Mission Professionnelle réalisée chez (nom de l’entreprise d’accueil) Fonction occupée ou Mission confiée : Chargé de produits Rédigé par Pouillaude Simon Assisté(e) par M. P. KATAWANDJA, Responsable pédagogique, 2ème cycle. 4ème Année ISEG Programme EXECUTIVE, Option Opérationnel Année Universitaire 2010-2011. Remerciements Dans un premier temps, je tenais à remercier chaleureusement toute

__________________________________12 Modèles synchrones et asynchrones _______________________________________________12 Transactions__________________________________________________________________13 2.3 2.3.1 2.3.2 2.3.3 Présentation d’un logiciel d’EAI : WebLogic Application Integration _____________ 14 Application Integration _________________________________________________________14 Data Integration _______________________________________________________________15 Business Process Management ___

Produits Roche | Olivier Mimaud | SNCF | Pierre Poujol | Crédit Lyonnais | Patricia Rieger | Générale des Eaux | Marc Rocher | Mairie de Paris | Marie-Françoise Rotenberg | Société Générale | François Tincelin | Groupe Bolloré | Jean-Luc Waurzyczka | Axa | Cette étude a été rédigée en collaboration avec Philippe Baumard, professeur agrégé des universités à l'université de Versailles, Visiting Professor à la New York University, Stern School of Business et coauteur du rapport Intelligence

tirer de la rédaction de tels documents ? En d'autres termes, les outils mis en place actuellement constituent- ils une bonne réponse à une vraie question ? 1 Cité par Saul W. GELLERMAN : "Why "good" managers make bad ethical choices", Harvard Business Review, July-August 1986, p. 9. 3 A ce propos, on peut considérer que le débat sur la formalisation de l’éthique en entreprise est le domaine d'application par excellence de l'hypothèse de la relativité culturelle des pratiques organisationnelles

......................................... 44 Aix-en-Provence, avril 2001 2 1. LES CONTOURS DU E-COMMERCE OU COMMERCE ÉLECTRONIQUE Avant toute chose, il convient de définir le "e-commerce". Il peut être considéré comme la fraction du "e-business" qui regroupe l’ensemble des opérations et pratiques commerciales mettant en oeuvre les technologies de l’information et de la communication, dont, mais pas seulement Internet qui est un réseau ouvrant sur le monde (World Wide Web). D’autres formes

client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .114 La présentation des concepts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .114 La segmentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .116 Les modèles prédictifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .123 Le data mining . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .128 Le point mort du one to one . . . . . . . . . . . . . . .