Le Caravage

décors prennent la forme d’intérieurs sombres et simplifiés, composés d’une simple chaise, d’une table ou parfois seulement d’un mur. Le travail de la lumière se tourne vers ce que l’on nomme le « clair-obscur », notion bien connue par les œuvres de Caravage: les personnages sont éclairés par une faible lumière qui ne provient plus de l’extérieur mais de la scène elle-même, souvent par la lumière de bougies. Cette technique donne une impression d’intimité provoquée par des couleurs sombres et chaudes

exubérantes, des couleurs flamboyantes , des lignes courbes , des colonnes torsadées , une décoration somptueuse et surchargée. 2)la chasse au tigre Rubens : 1577-1640 peintre baroque flamand, séjour en italie autour de 1600 ou il etudie le caravage et surtout Titien. collaborateur de Jordaens. La Chasse au Tigre: groosse influence de la fresque inachevée de leonard de Vinci la , sur l’entassement des corps, l’enchevetrement de l’homme et de l’animal et la composition avec l’enorme cheval central

le marron va en se dégradant et finit par se confondre dans le noir. Les cartes à l’inverse sont blanches, très claires. Les couleurs assez claires des personnages les mettent en valeur. Cette technique est celle du clair obscur déjà utilisé par Caravage ou La Tour par exemple... Dans cette toile, les mutilations corporelles mises en évidence par Dix renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi à l’impuissance des médecins à réparer les corps. Les prothèses multiples s’apparentent

ans lorsqu'il arrive à Paris pour s'inscrire à la faculté de droit. Le jeune homme se détourne bien vite de cette voie et préfère fréquenter les ateliers de Steuben et du père Suisse. Il copie les maîtres du Louvre comme Rembrandt, Hals, Rubens, Caravage ou Titien. Dans la "galerie espagnole" de Louis-Philippe, il découvre Vélasquez ou Zurbaran qu'affectionnera également Manet. Parmi ses concitoyens, Courbet admire Géricault et Delacroix, deux maîtres romantiques qui utilisèrent les grands formats

que l’on ne doit pas faire. Enfin, la nature morte est au bas de la pyramide des systèmes de genre. La représentation est plus valorisée que le talent du peintres, seuls certains peintres peuvent peindre des scènes religieuses. Neanmoins, Le Caravage se monte contre ce système, est annonce qu’il s’applique autant pour chaque type de tableau. De meme, Courbet veut peindre sur de grands formats des scènes de la vie, des personnes (il ne parvenait pas a le faire accepter auprès de l’académie). Courbet

sommet, cette diagonale va de gauche à droite : composition en contre-plongée avec une triangulation avec le mât du bateau. On sent l’influence de son professeur Pierre Narcisse Guérin, mais aussi et surtout du Rubens (mouvement important) et de Caravage (baroque, maître dans le clair-obscur). Cette peinture résulte de l’évocation d’une tragédie moderne : en 1810 la frégate de la Méduse vogue au large du Sénégal. Une tempête fait rage et la frégate fait naufrage le 2 juillet 1816 et laisse 149 passagers

1960) Style Post moderne (1970-1980, starck) Peinture Gothique religieuse : Duccio, Sienne, Maesta, 1308 / Giotto 1265-1337 / Masaccio 1401-1428 / Raphael / Michel Ange Le grand style vénitien 16ème La prééminence artistique italienne 17ème (Caravage : une réalité parfois brutale, Les Carrache : le classicisme) La naissance de la peinture genre 17ème (supériorité et crise de la peinture d’histoire, arrivée de la nature morte, portrait, paysage : la revanche) Le baroque : fastes d’une église

ornementation, multiplicité… Montaigne, Les Essais (1580), Corneille, Le Cid (1636), L’illusion comique (1635), en peinture, Rubens, La Tour, Le Caravage, Poussin… Classicisme : ordre, mesure, symétrie, rigueur, harmonie, vraisemblance, perfection morale et esthétique, unité, sobriété, brièveté … Corneille après 1640, Racine, Molière, Boileau, La Fontaine, La Bruyère,

preuve, comme nous l’expliquerons plus en détail plus bas. Son style de peinture est très riche et permet de retranscrire de la manière la plus fidèle possible la vision populaire du mythe d’Icare. Carlo Saraceni (1576-1620) a été formé par le peintre Caravage, c’est pourquoi il est appelé « caravagien » comme de nombreux élèves de ce peintre. Son style est qualifié de sensible et poétique. Ici, La chute d’Icare représente effectivement le goût de Saraceni pour les couleurs, puisqu’on y trouve aussi bien

poli comme un miroir ! « Être médusé » signifie rester pétrifié, sans voix, en perdant une faction de seconde toutes ses facultés. Expression du mythe dans l'art : Méduse est une peinture à l'huile su cuir marouflé du peintre italien dit le Caravage ( 29/09/1571 au 18/07/1610) exécutée en 1597-1598, sur un bouclier de parade en bois de peuplier , œuvre conservée à la Galerie des Offices à Florence Littérature : La gorgone méduse Livre de Sylvain Détoc Editions du Rocher, 2006 -317