Le Chagrin Et La Pitié

5) Analyse du texte 1-Un meurtrier fragile Dans cet extrait, Emmanuel Carrère donne une image de son personnage pathétique. Jean-Claude Romand passe pour un meurtrier fragile, ébranlé. Il émane du personnage de Jean-Claude Romand de la pitié, de la compassion. la fragilité du personnage se traduit à travers diverses expressions et passage fort en émotions: « Je les ai câlinés. j’ai du leur dire des mots tendres (…) savait écrire: « je t’aime » » (lignes 25-29). Nous avons vu, que dans

d’une réalité trop dure à accepter. Son cœur est « chagrin » mais il paraît prostré dans l’ « émerveillement ». Et il semble que même sa mort ne trouble pas sa position immobile. Ensuite, il faut remarquer que le décor tient une place capitale dans les différentes connotations de cette scène. Flaubert nous décrit précisément cette tonnelle où Charles vient se recueillir, et où la beauté du « jasmin » et des « lis en fleur » s’oppose à son « cœur chagrin ». Ce décor bucolique n’est pas sans rappeler le

tous les parfums du jour : Aussi calme, aussi pur, de mon âme attendrie Sort mon ancien amour. Que sont-ils devenus, les chagrins de ma vie ? Tout ce qui m'a fait vieux est bien loin maintenant ; Et rien qu'en regardant cette vallée amie Je redeviens enfant. O puissance du temps ! ô légères années ! Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon coeur te bénit, bonté consolatrice ! Je n'aurais

repartir, ou encore Mme de Merteuil ou Mr Valmont qui sont tous deux des personnages manipulateurs, qui ne peuvent qu’attirer du mépris de la part du lecteur. Cependant, dans certains cas, il peut aussi éprouver des sentiments moins durs, comme la pitié par exemple lorsque Milady parle de son passé, se plaint de ne pas avoir fait ce qu’il faut de sa vie, dans Les trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas ou Javert dans les misérables, qui a pour seul but d’arrêter Jean Val jean, sans se préoccuper du

sentiments personnels tels que l’amour, la colère, la joie, la douleur, le chagrin, les regrets. Ce registre est utilisé dans l’expression des émotions grâce à la ponctuation, des métaphores. La poésie est le mode d’expression privilégié sur lyrisme. Ex : Les regrets, par Joakim du Bellay Le registre pathétique : Issu du mot grec pathos, qui désigne la souffrance. Le registre pathétique est caractérisé par sa nature à susciter la pitié. Le lecteur peut ressentir de la compassion parfois accompagnée de larmes

un peu romanesque de Mme de Rênal eut d’abord l’idée que ce pouvait être une jeune fille déguisée, qui venait demander quelque grâce à M. le maire. Elle eut pitié de cette pauvre créature, arrêtée à la porte d’entrée, et qui évidemment n’osait pas lever la main jusqu’à la sonnette. Mme de Rênal s’approcha, distraite un instant de l’amer chagrin que lui donnait l’arrivée du précepteur. Julien, tourné vers la porte, ne la voyait pas s’avancer. Il tressaillit quand une voix douce dit tout près de son

des morts dans une tragédie : il suffit que l’action, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait le plaisir de la tragédie. Elle doit s’achever dans le chagrin et le deuil. • Une structure classique : l’exposition, le nœud accompagné de quiproquos, de péripéties, et le dénouement qui voit souvent la mort d’un personnage. • Des thèmes récurrents : l’amour, la haine, la jalousie, le sens de l’honneur et

d’opinion : L 9 « vouloir » ; L 47 « pouvoir » ; L 59, 66 et 75 « croire » ; L 11 « s’envisager » ; L 14 « confirmer ». Un aveu précurseur d’une fin tragique En effet, après cette annonce, Monsieur de Clèves ne va pas s’en remettre et mourra de chagrin. On peut le présager aux lignes : L 33 « Monsieur de Clèves était demeuré, pendant tout ce discours, la tête appuyée sur ses mains, hors de lui-même ». L 61 à 63 « Vous me rendez malheureux …». L 37-38 « Il pensa mourir de douleur… ».Il s’agit

meurent-elles ? Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement les oubliés ? On rit tout du long du film et pourtant à la fin quelque chose nous dérange lorsqu’ Alvy et Annie se retrouvent chacun accompagnés, sous l'affiche symbolique du film Le Chagrin et la Pitié. Andy reste désespérément figé dans son quotidien, incapable de changer quoi que ce soit à lui-même ou à son monde. IV.1. La seéquence dans l'ensemble du film La séquence débute à 08:31 à l’arrivée d’Annie en voiture lorsqu’Alvy s’écrie

accoudé) (vers3) l’ame mutiné -immobile alors que la fuite du temps est évoqué (vers1) (assis sur un fagot) -il espère un meilleur future (vers 7) (me venant promettre une autre destinée) -mais est tout de même résigné à vivre sa vie avec son chagrin (vers 13-14) (à vivre d’espérance … l’autre n’est que du vent) Voltaire le nègre de Surinam (début :En approchant de la ville, il rencontrèrent un nègre étendu. Fin : et en pleurant, il entra dans Surinam Intro :Voltaire