Le Chagrin Et La Pitié

dédramatisation, privilège de la liberté humaine qui refuse de s'incliner devant le respect que telle ou telle circonstance prétend imposer. Ce rire ne signifie nullement l'insensibilité ou la dureté du coeur : bien au contraire, les plus grands chagrins sont susceptibles de s'allier à ce rire crispé. L'humour noir entre, bien sûr, dans cette catégorie, mais nous prétendons que c'est aussi le cas des histoires sexuelles, où l'homme manifeste un recul amusé devant ses propres pulsions, comme s'il

mort injuste et cruelle ne peu que susciter compassion et pitié comme nous le verrons dans le deuxième temps. Il est évident que Jean Racine a voulut faire de ce récit un moment épique mémorable afin de positionner Hippolyte comme un héro à la suite de son père. Aussi, le confronte-t-il a un monstre redoutable. Alors qu’Hippolyte et son armée quittaient Trézène pour avoir était bannit par Thésée, alors que la tristesse et le chagrin pesait sur les uns et les autres, surgit un monstre marin

légendaires de condition élevée (rois, héros mythologiques) une action simple et grande. Obéissant aux règles des trois unités, de la vraisemblance et de la bienséance, l'action tragique doit : servir une intrigue centrale unique ; s'achever dans le chagrin ou le deuil ;  une structure stricte. Une tragédie doit : se développer en trois phases - l'exposition, le noeud accompagné de péripéties et le dénoue­ment ou catastrophe (concrétisée le plus souvent par la mort d'un personnage) ; se structurer

Sur }e moyeu' ; toutes ses émOtiOns, quelles qu'elles fussent, augmentaient cette étrange figure de joie, disons mieux, faggravaient. (Jn étonnement qu'il aurait eu, une souffrance qu'il aurait resrS seniie, une colère qui lui serait survenüe, une pitié qu'il aurait éprouvée, n'eussent fait qu'accroître cette hilarité des muscles ; s'il eût pleuré, il eût et, quoi quefft Gwynplaine, quoi qu'il voulût, quoi qu'il pensât, dès qu'il levait la tête, la foule, si la foule était là, avait devant les yeux

feuilles de vigne dessinaient leurs ombres sur le sable, le jasmin embaumait, le ciel était bleu, des cantharides bourdonnaient autour des lis en fleur, et Charles suffoquait comme un adolescent sous les vagues effluves amoureux qui gonflaient son cœur chagrin. A sept heures, la petite Berthe, qui ne l'avait pas vu de toute l'après-midi, vint le chercher pour dîner. Il avait la tête renversée contre le mur, les yeux clos, la bouche ouverte, et tenait dans ses mains une longue mèche de cheveux noirs._____________________________________

Pirandello, le fils du couple ou encore ceux d’un voyageur sont « content de mourir » « pour la patri » « la défendre », cet état d’esprit des personnages n’inspire pas de grande pitié chez le lecteur mais plutôt de la compassion et de l’attendrissement pour un personnage vivant une situation douloureuse, ici pour la femme « chagriné » et « souffrante », c’est donc un registre pathétique. Ainsi les deux textes étudiés révèlent de nombreuses différences de procédés, registres ou encore de types de texte

sentiments, des inclinations, des attirances, des amours. C’est le cœur qui choisit plutôt le comique en non pas le tragique. Rappel : la tonalité comique a pour effet de provoquer le rire.La tonalité tragique, au contraire, suscite la terreur, la pitié, les larmes, la tristesse. Rabelais nous explique que sa tendance naturelle, ses goûts, son « cœur » le portent naturellement vers le comique, le rire, l’amusement, la joie. Cela vient en contradiction avec le début de l’avertissement dans lequel

extrait, Stendhal nous présente la première rencontre entre Julien Sorel et Mme de Rénal, mariée et plus âgée. Questions → Plan : Comment se manifeste le sentiment amoureux ? I – Sentiment des personnages Mme de Rénal : Soulagement + Pitié qui succède Julien Sorel : Vision de Mme de Rénal II – Admiration commune Admiration de Mme de Rénal face à Julien Admiration de Julien face à Mme de Rénal III – Situation de gêne Malaise entre les deux personnages Stratégie amoureuse : Dilemme

MARIE Français Tiffany 1ère L Résumé : L'homme de qualité rencontre un jeune homme qui accompagne un convoi de fille de joie prête a être déporté en Amérique, puis parmi ses douze filles une lui inspira du respect et de la pitié. Touché par le malheur du jeune homme, l'homme de qualité lui donne de l'argent. Puis quelques temps après l'homme de qualité rencontre pour la deuxième fois le jeune homme en bien mauvaise état qui commence par se présentait il s'agit de M Des Grieux qui exprime

« ne puis-je savoir si j’aime, ou si je hais ? », cette antithèse montre, par l’utilisation des verbes opposés « aimer » et « haïr », les sentiments contradictoires d’Hermione. Elle est la proie de son chagrin et sa « rage » (v.17) comme l’illustre le vers 2 : « Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ? ». Le pronom « me » est en complément d’objet indirect : elle est donc l’objet de ses sentiments contradictoires. Elle n’est finalement plus maîtresse de ses sentiments : « Mon cœur, mon lâche