Le Champ Lexical Du Massacre

du givre à la fin février pour vos derniers moments », évoque un hiver dur, mais aussi la violence de l’époque, le poème est aussi composé de mots tel que  « agonisants, mort, tache de sang, derniers moments, mourir .. . » est un champ lexical qui nous rappel les massacres de la guerre. Avec son poème, Louis Aragon tente de raviver le souvenir d’hommes qui ont donné leur vie pour la liberté, des résistants, afin qu'ils ne tombent pas dans l’oubli, et de nous remémorer cette guerre.

Zola : hyperbole « massacre » appartenant au registre épique. Métaphores qui rendent compte de l’univers de la consommation sous forme de sauvagerie : animalisation de l’homme. - Dans l’œuvre d’Annie Ernaux la description est très précise, très réaliste -légitimité de l’œuvre d’Annie Ernaux qui poursuit l’œuvre de Zola -évocation de la quantité des objets de consommation. Comparaison à des « banquises de serviettes ». Pluriels pour désigner les objets de consommation. -champ lexical de la nature froide

cette conversation a un but bien précis…  En effet, Voltaire dénonce la guerre grâce à de nombreux procédés dans le texte. Il traite notamment de l’atrocité et de la barbarie de l’humanité. le champ lexical du mal est présent, aux lignes X « méchant », X « malheureux », X « mal » ; X « massacrer » ; X « horribles querelles » ; et « égorge » aux lignes X et Y. Les hommes sont comparés à des « fous » à la ligne X, et Voltaire utilise même le terme « d’animaux » pour désigner les belligérants qui

sauve l'honneur d'Hector. Andromaque, désorientée, ne sait plus quoi faire, et décide finalement de ne pas épouser Pyrrhus, le tueur de toute sa patrie. La guerre de Troyes et la peinture du massacre: Scène dans la scène. Pyrrhus fait son entrée en scène alors que Troyes est en flemme ( champs lexical de la chaleur). Tableau auditif. Ironie pour mette en valeur les tueries faites par Pyrrhus.Cephise souhaite qu Andromaque accepte d'epouserpyrrhus pour qu'elle puisse sauver son fils des grecs

l'Itunes store jusqu'au 13 octobre. Cet album a été mis à disposition de plus de 500 millions d'utilisateurs d'Apple. Le thème qui est abordé est le Bloody Sunday, il est abordé de manière à nous sensibiliser sur ce massacre. Les mots employés font partie du champ lexical du massacre (sanglant, cris, déchirés, larmes, … ) , les images envoyés sont sanglantes ( essuie tes yeux injectés de sang, des bouteilles brisées sous des pieds d'enfants, …). Le groupe utilise quelques métaphores comme : il met

une guerre qui n’est autre que salutaire ; « Ensuite la mousqueterie ôta du meilleures des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface » cela nous laisse penser que la guerre serait donc un remède, un bienfait et que ce massacre est moralement justifier. De plus les victimes sont présentées comme des parasites dont la disparition est une bonne chose. Puis, pour finir de valoriser la guerre, l’auteur nous montre au travers de cette guerre une harmonie, mais qu’apparente «

demander par quels procédés ces textes dénoncent la guerre. Nous verrons donc en premier lieu l’utilisation du champ lexical de la guerre; puis nous nous intéresserons à l’emploi de la personnification de la guerre en opposition au « bien », et enfin nous étudierons le ton utilisé dans certains de ces textes pour la dénoncer. Tout d’abord, les trois textes utilisent le champ lexical de la guerre et de la violence. Les mots employés montrent la guerre comme un ravage, et nous décrivent les « effets

désaccord avec les citoyens, sous l'influence de mauvaises lois. Il cherche a sensibiliser le lecteurs de par ses thermes violents, de manière a le convaincre. Pour cela il utilise un raisonnement direct. Entre les lignes 5 et 8 nous pouvons voir le champ lexicale de la guerre:« persécution », « acharnées », « déchire », « commande », « le fer et la flamme à la main » Cela laisse un sentiment de dispersion et d’éparpillement. Nous comprenons donc dès les première lignes qu'il est contre le fanatisme

guerre : cette œuvre illustre l’horreur omniprésente sur les champs de batailles et sur lesquels règnent le chaos. Cette idée de chaos est marquée par les vers 5 & 6, qui traduisent la guerre franco-prusienne comme étant une folie meutrière, qui réduit en cendres « cent milliers d’hommes ». A ce moment on peut parler du fait que Rimbaud acuse la royauté de mépriser ces défunts soldats et même de moquerie de la part du Roi face à ce massacre : cette accusation est marquée par les vers 4&5. Ce jugement

conduisent à son expulsion. Il vit actuellement dans le sud de la France. 2. Analyse du texte : Le poème « Minerai Noir » est un extrait du recueil du même nom paru en 1956 après la Seconde Guerre Mondiale, René Depestre aborde le sujet du massacre de l’Afrique lors de sa colonisation. Dans cette œuvre, l’auteur évoque le déplacement de la colonisation des Indiens vers celle des Africains et dénonce la cupidité des colonisateurs. Dans son texte , René Depestre exprime un sentiment de fraternité