Le Champ Lexical Du Massacre

considrable pour l'poque trentaine de mille . ( ligne 9 ). Les victimes sont par ailleurs femmes, enfants et vieillards . C'est donc un massacre d'innocents, des victimes avant tout vulnrables. A noter aussi le champ lexical de l'horreur et notamment les dtails anatomiques : cribls de coups , gorgs , sanglantes , ventres . Voir aussi le champ lexical du corps cervelles, bras, jambes, mamelles . Enfin le substantif Enfer insiste sur le caractre particulirement meurtrier et violent de

crachez-lui vos boulets à la face ! | Situation du passage : Nox : première partie Première partie construite en deux temps vers 1-16 : le réveil de Louis Napoléon , appelé en pleine nuit pour réaliser son forfait vers 17-46 : le coup d'Etat et le massacre. Une tonalité très différente dans les deux temps , marquée par la construction particulière de chacune de ces parties, par la ponctuation , par le vocabulaire et par les images. Première partie : Une mise en scène mélodramatique Un discours

malheur/ joie. Ici pas même un pleur pour donner signe de vie. Ces anaphores et négations traduisent le vide et l’absence : désormais on ne peut plus évoquer Oradour que par le manque et l’absence. Ainsi la mort de toute vie est annoncée par le massacre de toute une population. Les hommes, les femmes, les vieillards, les enfants sont tous exterminés sans scrupules. La première strophe du poème énumère ces vies fauchées : « Oradour n’a plus de femmes Oradour n’a plus un homme […] Oradour

fascismes qui sont directement responsable des massacres qui se voient à Madrid et qui font des centaines de morts, jeunes ou enfants, matérialisés par les « petits corbillards » (l. 9). Il se bat pour son objectif jusqu’au bout : « Mort ou vivant, il ne lâchait pas la lance prise entre les deux barreaux. » (l. 13) et cela se voit jusque dans son action. L’opposition entre la mort et la vie ne valant plus rien, seule la volonté de stopper le massacre persistant. Le frigidaire qui matérialise enfin

chante une rivière », « la montagne fière » « la lumière pleut » et plusieurs autres. Cela nous donne une ambiance agréable et nous donne l’impression que la nature est vivante. Mort : La vue (couleurs : vert, bleu, rouge), le toucher (frais) Champ lexical Sommeil Dort, étendue, somme, lit Indices de mort : «Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,» (v.5) Double rôle de la nature Elle se caractérise par une impression de vie et de bonheur et elle joue le rôle d’une mère. Comparaison «Souriant

« contre » : il juxtapose et oppose. 2. Champ lexical de la famille + anaphore « contre ». 3. 4. Parallélismes de constructions. 5. = mise en évidence des batailles entre les membres d'une même famille → DESTRUCTION DES LIENS. 6. Rythme rapide du aux enjambements → désordre. 7. « ont sens dessus dessous » : « sens » = le sens de la famille, de la vie → souligne le renversement de l'ordre social. Les classes socioprofessionnelles. 1. Plusieurs champs lexicaux : métiers, armes, violence. 2. Vers

sont des noms qui englobent toute la population et restent neutre. Elle est en quelque sorte une longue antiphrase. En effet, deux champs lexicaux s’opposent comme le montre les mots « paisibles »; « vie »; « respire » qui incarne le bien-être, divergeant du vocabulaire suivant « ruines »;  « souffre »; « massacres » et « sanglant ». La bruyère veut souligner le dépaysement provoqué par la guerre qui enlève la tranquillité et la placidité des

mieux rétorquer. B. Une indignation croissante  De nombreuse phrase exclamative ; l.10, 14 qui marque l’exaspération de Voltaire.  Champs lexical de la colère : l.15, 16 « intolérable », « abus », « indigne » Et vocabulaire très péjoratif pour désigner les actions des abbés : « abus » l.16 et 26-27 : « profiter », « dépouiller ». Champs lexical du cri, souligne l’indignation : -insistance sur le verbe « dire » 15-16 -Réclament l.16 -Indigne l.16 -Pousse des cris l.17 Les cris

peintre parviennent à | | |susciter l’indignation, l’aversion chez le lecteur et chez le spectateur. | | |Par des expressions et un champ lexical autour de la guerre, de la mort, et une description très détaillée | | |dans Candide par exemple « femmes égorgées, vieillard criblés de coups, filles éventrées… » le lecteur est |

évoquer ses destructions il emploie le présent de vérité générale ou de répétition.‭ ‬Exploits présentés comme permanant.‭ ‬L'importance de ces victoires est‭ ‬amplifiée par le rythme ternaire.‭ ‬L'exagération s'exprime également par l'énumération‭ "‬massacre,‭ ‬détruit,‭ ‬brise,‭ ‬brûle‭" ‬avec des allitérations en‭ "‬r‭" ‬et le sens de ces vers est employés de façon absolue sans complément ce qui accentue leur sens.‭ ‬Enfin la mégalomanie de Matamore l'assimile aussi à une divinité.‭ ‬Le lexique lui