Le Champ Lexical Du Massacre

oeuvre tragique , raconte la triste mais réelle époque de Chio. AXE1: DESCRIPTION DE CHIO ET LE PORTRAIT DE L'ENFANT Il y a une idée de désastre dans les Sizains 1 & 2 . Allusion aux yeux bleus de l'enfant comparé au fleur (lys, aubépine ) Champ lexical de la nature , qui décrit l'enfant . AXE2:LE PORTRAIT SE DESSINE EN FILIGRAMME Le poète est touché par l'enfant sa sensibilité ressort . Phrases exclamative pour exprimer la compassion du poète. V.Hugo invite l'enfant a voyager dans l'imaginaire

été chassé du château de T.T.T. et à connu l'enrôlement forcé dans l'armée bulgare et se trouve en plein milieu du champ de bataille. On suppose que ce chapitre a été inspiré par les horreurs de la guerre de 7 ans entre la Prusse, la France, l'Autriche, l'Espagne et l'Angleterre. Cette guerre (1756-1763) est contemporaine à l'écriture de Candide (1759). Pendant, cette guerre les massacres de population civile sont nombreux. Ce texte est l'occasion pour Voltaire de confronter son héro à la guerre.

fait aménager dans son château une tour où il installe sa bibliothèque qu’il nomme sa « librairie ». Il se met au travail et entreprend, dès l’année 1572 la rédaction de ses Essais. C’est en cette même année 1572 qu’a lieu le 14 août au matin le massacre de la Saint Barthélémy. Montaigne en est profondément affecté et il remet en cause les illusions de sa jeunesse sur la force de la raison. Dans cette quête de sagesse intérieure, il livre au lecteur le fruit de ses réflexions sur sa vie, sur ses

s’ inquiète pour l’ avenir de l’ homme. La montée en puissance du poème est amplifiée par l’absence de ponctuation et sa structure moins conventionnelle que dans les poèmes classiques qui sont organisés en strophes bien distinctes. Les champs lexicaux de « la mort » et les figures de style associées renvoient un aspect sombre et morbide, et ouvrent sur les conséquences de la guerre. II EVOCATION DES HORREURS DE LA GUERRE A travers ce poème lyrique, Pierre REVERDY critique la guerre

forme de rébellion du jeune poète, qui s’exprime par la violence infligée aux « haleurs » : « Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles - les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs ». La couleur rouge, faisant référence au sang et au massacre, ainsi que les allitérations en « r », renforcent la dureté de la scène. Nous nous intéresserons ensuite, à la rupture du bateau/poète avec ce monde de contraintes, lui rendant sa liberté. La fin de l’ennui et de la monotonie est symbolisée

s'adresse au lectorat que l'on retrouve à la fin de conte ou de fable. Les ressemblances entre le poème et le conte se retrouvent aussi au niveau des thèmes qui sont abordés. Nous retrouvons un côté féerique dans le poème qui s'affirme par son champ lexical, de plus le Prince et le Génie sont des personnages qui appartiennent au conte de fées, d’ailleurs le Génie est celui qui exauce les vœux et si nous nous référons aux contes des Mille et une nuit, il est souvent représenté sortant d'une lampe magique

textes, qui contribuent en elles-mêmes à donner de la force aux engagements des auteurs. Nous nous intéresserons ensuite aux images présentes dans ces extraits qui illustrent les engagements. Enfin, nous étudierons les figures de style et les champs lexicaux choisis pour renforcer leurs propos. La nature de ces textes contribue déjà à donner de la force aux engagements des auteurs. En effet, certaines natures de texte, ont des portées plus argumentatives que d'autres par exemple. Dans Les

spectacle du champ de bataille 1) L’aspect esthétique 2) Le spectacle du combat II) Le spectacle de l’horreur 1) La diversité des victimes 2) La violence 3) La réciprocité des actions III) Un texte critique 1) La guerre, un fléau sans justification 2) La responsabilité des rois et de la religion 3) La critique de l’optimisme Introduction : Situation : Candide a été chassé du château de T.T.T. et à connu l’enrôlement forcé dans l’armée bulgare et se trouve en plein milieu du champ de bataille

de son regard de poète sur ces merveilles. De surcroît, les merveilles sont personnifiées, le poète en fait des êtres à part entière « émerveillées elles-mêmes […] » (v.20), « et qui n’osent se l’avouer » (v.21). Qui plus est, en utilisant le champ lexical de la simplicité, banalité « simplement » (v.17), « offertes à tout le monde » (v.18), « éparpillées », il montre que tout ce qui nous entoure et de notre quotidien sont des preuves de beautés qui ne sont pas l’oeuvre de Dieu. Le poète avec

perception - comparaison avec guerre VS plaisir - champ lexical du feu - enfer - universalité face à la mort Problématique : Quelle représentation de la guerre Céline nous livre-t-il par rapport à un narrateur antihéros ? Plan : I. Bardamu : antihéros et témoin principal A) Les mésaventures d’un narrateur interne B) Un antihéros faible mais humain C) Un langage hétéroclyte II. La dénonciation célinienne de la guerre A) un massacre incompréhensible B) une guerre déshumanisante C)