Le Champ Lexical Du Massacre

romaine (Bérénice), Racine puise dans la Bible pour ses dernières tragédies. C’est le cas d’Athalie, pièce où l’héroïne éponyme a fait périr tous les descendants de la famille du roi David. Mais l’un d’eux, un enfant nommé Joas, a échappé au massacre. Troublée par un rêve obsédant dans lequel un jeune garçon la poignarde, elle se confie à Mathan, pontife de Baal. En quoi ce récit est-il utile pour comprendre ce qu’est une tragédie ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons

de la ville de Derry organisa son autodéfense face a la police de l’état d’Irlande du nord aux paramilitaires loyalistes (fidele à la couronne) et a l’armée britannique. Période durant laquelle se déroula le 30 janvier 1972 le tristement célèbre massacre du Bloody Sunday. Qui écrit : U2 Bono (chant), The edge (guitare), Adam (basse), Larry Maillen Jr (batterie) Le rythme du début fait penser à une marche militaire U2 est un groupe irlandais de rock formé en 1976 à Dublin. Il est composé de Bono

allégorie, feu ligne 6 , l'eau ligne 13, air ligne 9, monts ligne 15, les arbres même ligne 17, chacun des éléments prend la parole successivement. • Discours directe montre le poids de l’autorité. • Perception forte, vocabulaire de l’oppression (champ lexical) ligne 8 « bourreaux », ligne 13 « meurtris », ligne 18 « gibets », ligne 15 « supplices », ligne 8 « tyrannie ». • La dévastation et la persécution sont partout, antithèse :  « arbre délicieux/exécrables gibets » ligne 18. • Le poème appuis

contraire des actes rituels indiens, en France les sauvageries étaient commises gratuitement, ou alors « sous prétexte de piété et de religions » (l.27 doc2). De plus, le rapport victime-meurtrier rendait ces actes d’autant plus effrayants car lors du massacre de la Saint-Barthélemy le 24 août 1572, ils étaient commis « entre des voisins et des concitoyens » (l.27 doc2) et non entre prisonniers et bourreaux comme en Amérique du Sud. Aussi on peut observer que ce n’est plus une guerre entre deux religions

universelle   de   Paris   de   1937   (dédiée   au   progrès   et   à   la   paix),   l’oeuvre   de   Picasso  «  Guernica  »  est  la  représentation  d’une  scène  de  ce  massacre.     Au  premier  plan:     De  gauche  à  droite  :     une  femme  avec  un  enfant  dans  ses  bras,  un  taureau,  un  homme  allongé  avec  une  épée  dans

aussi, de part ses paroles, à raisonner Electre en vain : « Cela va coûter des milliers d'yeux glacés, de prunelles éteintes. » ligne 2736/2737, en tentant de réveiller chez elle l'amour pour son peuple. Egisthe est tendu car si le peuple d'Argos est massacré il sera tenu pour responsable en sa qualité de régent il vas même jusqu'à supplier Electre :  « Il me faut cette journée. Donne-la-moi » ligne 2739 et « Je t'en supplie. Attend demain. » ligne 2743. Dans cet extrait on observe une oppositions

clientèle elle-même. A ce sujet, le personnage d’Octave Mouret est le plus illustrateur. En effet, il ne s’agit là que d’un simple commerçant. Pourtant, l’auteur en fait un homme victorieux, courageux et en quête de conquêtes et de batailles. Tout un champ lexical de la luxure et de la religion rend compte de cette idée. Octave Mouret devient alors une figure supérieure, qui surplombe les autres personnages du grand magasin. En outre, la scène décrite par le biais du grand magasin devient subitement

personnage accumulant les pires vices et défauts humains, l'auteur représente ainsi le mal. Tout au long de l'histoire, par les commentaires de « Mère Ubu », ses vices apparaissent. Il sera tour à tour, bête et méchant jusqu'à l'absurdité cruelle (il massacre tout ceux qui l'entoure comme les nobles pour récupérer leurs biens), lâche ( face à l'ours dans la grotte, il court se cacher au lieu de l'affronter), goinfre, obscène... Ce personnage représente le déchaînement des instincts, le désir de satisfaire

bataille. L’accent est mis sur l’aspect héroïque et sur la vision philosophique qui permettent la justification de la « boucherie ». 1.L’aspect esthétique de la guerre Le combat se présente comme une fête, un spectacle, de par l’utilisation du champ lexical de la musique : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours » ligne 1 et 2. Le vocabulaire utilisé est très valorisant « beau », « leste », « brillant ». De plus tous ces adjectifs sont intensifiés par l’adverbe d’intensité « si »

tranquille, normale. Une vie entourée de calme, d’arbres… Dans la 2 e et 3 e strophe Le poète se souvient du bonheur qui l’entourait et dans lequel il vivait. Tout d’abord, cet « océan de cuir » qu’il apercevait et qui faisait référence aux champs de Castille. Ensuite, sa maison (« la maison des fleurs ») était le reflet de la vie et de la beauté du Madrid de cette époque. La nature est très présente et souligne ce bonheur idyllique : « arbres », « océan », « fleurs »… Sa maison respirait