Le Chômage Selon Les Néoclassiques Et Keynes

La valeur et répartition  Pour les classiques : Valeur : Les Classiques n’ont pas lié la problématique de la valeur à celle de la répartition. Selon Adam Smith la division du travail est la base de la réalisation de la production, c’est la spécialisation de la production, l’homme va échanger tous ce qui excède sa production avec ce qu’il ne produit pas, à ce niveau les Classiques vont poser des questions : Pour quelle base on va faire l’échange ? Comment mesurer la valeur ? Pour les Classiques

ces analyses semblent concorder avec les théories néoclassiques. Dans ce livre Laurent Cordonnier nous expose son opinion du chômage. Son oeuvre est une analyse qui consiste à essayer de comprendre comment se sont forgés certains mythes et représentations dans l’économie du travail, il va nous exprimer pour lui quelles sont les causes du chômage, leurs conséquences, et qui sont les responsables de se chômage. Il va nous montrer son opinion du chômage. Comme nous le montre le titre du livre (pas de

budget • La politique de relance C’est avant tout pour Keynes, un moyen de mettre les nations en concurrence entre elles. Il faut combiner croissance et équilibre extérieur (il faut une organisation monétaire international chargé de construire un système de change fixe). L’analyse de Keynes et le multiplicateur budgétaire originel : graphique : w/p offre, n demande. Le chômage est dû à un salaire réel trop élevé. Pour réduire le chômage il faut introduire une politique de réduction des salaires

classique anglaise: David Ricardo: auteur de "les principes de l'éco politique et l'impôt" parue en 1917. Il s'oppose à l'intervention de l'Etat surtout fans le secteur sociale et même contre les mesures qui ont pour but de relever les salaires car selon lui celà va provoquer l'augmentation de chômeurs --> déséquilibre dans la répartition de la richesse sociale (mondial). Il encourage le libre échange, l'ouverture des barrières = la théorie "des avantages comparés." Il encourage aussi la spécialisation

des nations » (1776). - La division du travail est un concept fondamental de la pensée classique. Adam Smith montre, a partir d'une industrie d'épingles, que la productivité permet d'accroitre la richesse des nations et du bien être économique.- Selon le principe de la « main invisible » lorsque chacun recherche son intérêt personnel, il contribue à la prospérité générale. Les lois naturelles de l'économie, dans un système concurrentiel où les prix jouent un rôle régulateur, orientent les décisions

passent pas par le marché. autrement dit, cette marchandisation de l'économie n'est pas naturelle. I/Les mécanismes de marché Lorsque l’on analyse les mécanismes de marché, on est obligé de faire référence à la théorie économique classique et néoclassique. En effet, cette école de pensée a démontré que le marché était la meilleure forme d’organisation économique possible à condition que la concurrence pure et parfaite soit vérifiée. Dans ce paragraphe, on examinera cette analyse économique en considérant

c’est lorsqu’un paradigme remplace un autre. Les néoclassiques, disent que le chômage est volontaire liés à la hausse de travail. Pour Keynes, cela est faux, car il constate dans les années 30 qu’il Ya des chômeurs qui réclament un travail. Donc pour lui, le chômage n’est pas volontaire, il Ya une rigidité du salaire nominal, une flexibilité du salaire réel W/P. Il va proposer une nouvelle analyse du chômage. La vraie cause du chômage selon Keynes : La logique de l’offre : réduire le coût du travail

Les néoclassiques et les keynésiens… Intro : La théorie néo-classique précède la théorie keynésienne dans l’histoire de l’économie. Mais depuis, elles coexistent et s’affrontent sur tousles points. La théorie néo-classique est apparue à partir du 19ème siècle ; quant à la théorie keynésienne, celle-ci est beaucoup plus récente, puisqu’elle ne date que du 20è siècle. Lesdifférences les plus flagrantes entre keynésiens et néoclassiques se concentrent sur l’analyse du marché du travail selon

touchent le corps social. Ex : il n’y’a qu’une solution face au chômage, la monnaie, etc.… Le but est de faire se rencontrer les approches économiques et les approches qui ont tendance à s’appuyer sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques

courant élaboré au cours des 16ème et 17ème siècles, est favorable à l’intervention de l’état. Ces auteurs vont établir des règles de politique économique visant à attirer et à conserver sur le territoire national les métaux précieux constituant selon ces auteurs la richesse indispensable au développement de l’activité économique. L’Etat doit ainsi réduire les importations par une politique protectionniste, favoriser les exportations au moyen de subventions et favoriser l’essor des manufactures