Le Chômage Selon Les Néoclassiques Et Keynes

commerciale agressive, visant à promouvoir les exportations et à limiter les importations. L'Etat y joue donc un rôle primordial en adoptant des politiques protectionnistes qui établissent notamment des barrières tarifaires et encouragent les exportations. Selon les mercantilistes, la richesse des Etats se mesure par le stock d’or et d’argent qu’ils accumulent. Le mercantilisme n'est cependant pas un courant de pensée à proprement parler, car ce n'est pas une théorie économique unifiée. Aucun auteur mercantiliste

technique. Il propose une explication du cycle de Kondratiev. Ainsi innovation et progrès technique seraient au coeur de la dynamique des cycles dans le cadre du phénomène de destruction créatrice. Grappes d’innovations autour d’une innovation majeure. Selon Minc les technologies de l’information et de la communication nous font rentrer dans un cycle authentique de Kondratiev. Pour Schumpeter les entrepreneurs sont le moteur du capitalisme. Il y a diffusion en tâche d’huile des innovations qui s’étendent

IV – Les explications du chômage 1 – Explications classiques et néoclassiques Pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du début du XIXème siècle, la régulation du marché du travail se faisait par l’élimination physique des travailleurs les plus pauvres. On distribue en effet à ceux qui font les travaux « simples et grossiers » un salaire de «subsistance» dira par exemple J.B. SAY au début des années 1800. Puis, quand le besoin de ces travaux diminue, les salaires « tombent au

première véritable école : contrairement aux mercantilistes, ils présentent une certaine homogénéité • Contrairement aux mercantilistes, selon eux, la richesse est réelle. • L'agriculture est la seule source de création de richesses (le produit net) • La richesse se diffuse entre les classes de la société (agriculteurs, propriétaires, classe stérile) selon un ordre naturel décrit par le tableau économique • Apports de cette école : ✓ C'est le point de départ d’une analyse scientifique

I] La flexibilité du travail, facteur d’emploiA) L’approche théorique (classiques/ néoclassiques/ libéraux)- Pour les libéraux, le marché du travail est un marché comme les autres qui doit s’autoréguler par flexibilitésalariale. Toute entrave extérieure est source de déséquilibre.- En de chômage, l’offre de travail est > à la demande de travail d’où nécessité de réduire le salaire…- Libre fonctionnement du marché du travail càd pas d’intervention abusive de l’Etat par des lois« contraignantes » (de

de réalisé le minimum vital qui doit assurer la survie et la reproduction. Le minimum vital depant d’une société à l’autre et d’une époque a l’autre Salaire Courant : C’est celui qui est déterminé selon la loi de l’offre est de la demande dans le marché de travail. Quand on est en situation de chômage et que l’offre de main d’œuvre est abondante le salaire va baisser, quand on est en période de croissance et que les entreprises cherchent des travailleurs le salaire va augmenter donc le montant des

économiques §2. Calcul de l’épargne nationale SECTION 2. L’écart entre l’Investissement et l’Epargne §1. Calcul de l’écart entre l’Investissement et l’Epargne §2. Interprétation et signification de l’écart CHAPITRE III. L’approche classique et néoclassique de l’équilibre macro économique SECTION1. L’approche classique ou le plein emploi § 1 Les hypothèses de base sur le fonctionnement du système économique § 2. Le libéralisme ou le mode de régulation par le marché A. La main invisible d’Adam Smith

(des employeurs). Cette confrontation fait émerger un point d’équilibre qui détermine deux variables : Le salaire (le prix du travail) et le niveau d’emploi (la quantité de facteur travail engagé dans le processus de production). Selon ce modèle défendu par les Néoclassiques, le marché du travail est un marché comme les autres où la flexibilité des salaires permet de rester en situation d’équilibre et de plein emploi. Dès lors, il semble surprenant d’associer cette notion à priori unique au terme «

de l’emploi càd le lien avec le chômage, que de l’aspect qualitatif à savoir les formes d’emplois. - Cadre spatio- temporel : les PDEM depuis une 30aine d’années. Plan : I] La flexibilité du travail, facteur d’emploi A) L’approche théorique (classiques/ néoclassiques/ libéraux) - Pour les libéraux, le marché du travail est un marché comme les autres qui doit s’autoréguler par flexibilité salariale. Toute entrave extérieure est source de déséquilibre. - En de chômage, l’offre de travail est > à la

satisfaire au mieux à leurs besoins. 1- Relativité des besoins et rareté des biens A) Le besoin, une notion difficile à classer Les besoins sont relatifs. Leurs mode de satisfaction diffèrent d’une société à l’autre, et au sein de chaque société selon la position sociale occupé par l’individu. Néanmoins, on peut distinguer : Les besoins primaires (ou physiologique) : boire, manger, se loger, s’habiller... Les besoins secondaires (ou de civilisation) : loisirs On distingue aussi les besoins