Le Citoyen Peut Il Désobéir Aux Lois

ne peut pas dire que les autres règles de conduite n’ont-elles aucunes finalité sociales. En effet, la règle morale, par exemple, c’est de tendre au perfectionnement intérieur de l’individu, à l’épanouissement de sa conscience. Sa finalité première n’est pas une finalité sociale, c’est d’être en accord avec soi-même. La règle religieuse a pour finalité première le salut de l’âme. Parfois même pour suivre une règle morale on n’hésite pas à aller à l’encontre de l’intérêt de la société. Il peut y avoir

des agresseurs pour qu'ils rendent des comptes et qu'ils réparent le crime qu'ils ont commis ou pour les empêcher de nuire à nouveau. Si la cause semble juste, la façon de mener la guerre n'est pas du tout la même. Une guerre peut être "juste" mais la façon de la mener peut ne pas l'être. Mais est-ce qu'une cause juste s'arrête uniquement à la destruction de biens ou au vol d'un territoire ? Si la notion de bien s'élargit à des biens non tangibles comme l'honneur, le sentiment d'être menacé, le sentiment

et Sociale 1996 š› š› SERIE ECONOMIQUE ET SOCIALE : Groupement 1 – Session Juin 1996 Peut-on être plus ou moins libre ? A quelles conditions une démarche est-elle scientifique ? Dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant à son étude ordonnée : Chacun a pu remarquer, au sujet des opinions communes, que chacun les subit et que personne ne les forme. Un citoyen, même avisé et énergique quand il n’a à conduire que son propre destin, en vient naturellement et par

d’idée, les tendances naturelles du peuple. Un autre auteur décrit par platon, Calices. On le connait dans le récit «  le Gorgias ». Il prône également la loi du plus fort. Selon lui les lois sont également une convention imposée par un groupe d’hommes qui sont les plus faibles dans la cité qui essaient d’imposer leurs lois aux plus forts. Sans la contrainte de la loi les plus forts pourraient s’imposer aux plus faibles, les dominer. Calices en appelle à la révolte des plus forts, emprisonnés des leur

COMMENTAIRE DE TEXTE Qu’est-ce qu’une bonne loi ? Par bonne loi, je n’entends pas une loi juste, car aucune loi ne peut être injuste. La loi est faite par le pouvoir souverain, et tout ce qui est fait par ce pouvoir est sûr, et approuvé par tout un chacun parmi le peuple. Et ce que tout homme veut, nul ne saurait le dire injuste. Il en est des lois de la communauté politique comme des lois du jeu : ce sur quoi les joueurs se sont mis d’accord ne saurait être une injustice pour aucun d’eux. Une bonne

le respect est assuré par l’autorité publique. Il n’est pas seulement fait d’interdit sociaux il peut s’agir de permissions. Certaines aspirations individuelles sont reconnues par le droit objectif (vie privée, droit de propriété…) elles font l’objet d’un droit subjectif. Droit subjectif : prérogatives individuelles reconnues par le droit objectif. 1ère Partie : Présentation du droit Le droit peut être pris dans deux sens, objectivement (droit objectif) cela veut dire qu’on l’appréhende de manière

Mais le droit n'existe pas comme on le connaît aujourd'hui. Il faut revendiquer quelque chose pour se voir attribuer un droit. Les pontifes vont expliciter le droit. Ils déterminent le droit. Les pontifes déterminent les jours « fastes » (ou l'on peut plaider) et les jours « néfastes » (où il ne fait pas bon plaider). JUS . Le Jus n'a pas de caractère religieux, c'est le droit « laïc ». Sa source : la coutume. De 753 → 450 ~ 800 textes de loi (ce qui se révèle être très peu). Le droit privé est

et qui par ailleurs n’est pas spécifique de l’humain. On peut en effet parler de population d’insecte ou de tout autres animaux. La population comptabilise le nombre d’individus à un moment et en un lieu donné. Ce n’est qu’un pur dénombrement. II le peuple : C’est à l’inverse une notion floue, contenant plusieurs sens possibles, pouvant conserver un caractère très neutre ou au contraire parfois idéologiquement marqué. Le peuple peut en effet désigner l’ensemble des individus vivant dans un

au troisième et dernier chapitre nous l’intitulons l’appréciation critique. 0.7. Délimitation du sujet Le problème des fondements et/ou des principes rationnels du pouvoir civil s’inscrit dans la philosophie politique moderne. Cette dernière peut être étudiée sous plusieurs perspectives notamment anthropologique, juridique politique et théologique. C’est pourquoi, nous avons jugé bon de porter notre réflexion sur le Léviathan, l’ouvrage principal, en vue de réaliser notre projet de recherche

il existait des principes coutumiers que l'on appelait les lois fondamentales du royaume, qui régissait le fonctionnement des institutions. Et au 18ème siècle, un nouveau type de constitution qui émerge à la suite de la déclaration d’indépendance de 1776, les 13 colonies britanniques déclarent leur indépendance et elles se dotent chacune d'une constitution écrite, elle sont toutes composer par, déclarations des droit et liberté des citoyens et une description très précise de l'organisation et des pouvoirs