Le Cogito Ergo Sum

« quelque chose » pense ; une idée, une notion, une conscience ne saurait exister par elle-même, ne saurait être le produit d’une autre idée immatérielle elle aussi. Ce qui poserait alors la question de ce qu’est l’existence et nous revenons au cogito Ergo sum qui est une expression du philosophe Descartes qui signifie « je pense, donc je suis ». Je parie donc pour la réalité de mon être et la réalité de la matière. La réalité serait donc la prise de conscience de la matière par elle-même, et comme

l'espace. Nous pouvons parler d'une personne pour la décrire, nous pouvons lui donné des qualités, des défauts mais aussi des droits. Un droit essentiel celui de vivre par exemple mais aussi celui de penser. En citant Descartes et sa phrase latine « Cogito, ergo sum » autrement dit « Je pense donc je suis », cela confirme que un sujet peux penser. Nous donnons aussi des devoirs, ceux de respecter la loi et la morale par exemple. Si une personne possède ses caractéristiques un sujet les possède aussi. De

détailler ! 2. Le doute est-il une méthode de recherche de la vérité ? A. Doute hyperbolique cartésien (à détailler !) : méthode de recherche d'une certitude résistant au doute = vérité sûre d'elle-même par les seules ressources de l'esprit - cogito ergo sum - intuition rationnelle. Le doute n'est pas voué à perdurer, la science peut établir des vérités de façon autonomes par rapport à la religion. Descartes rompt avec la scolastique. B. Mais ces vérités ne sont pas incontestables ! Les vérités de

déchiré entre une aspiration à se découvrir davantage et une envie de surpasser son individualité ? Lorsque Descartes postula l’existence de la conscience à l’aide de sa célèbre maxime, se suffisant à elle-même, « cogito ergo sum » - « je pense donc je suis » - il aurait pu dire « puto ergo sum », « je parle donc je suis ». En effet, tout le monde peut s’accorder à dire qu’une telle remarque est irréfutable, même par le plus sceptique des Pyrrhoniens. En fait, cette phrase se conçoit d’elle- même. Une

un doute » Faire porter le doute sur la racine de nos connaissances Nos connaissances s’appuient sur nos sens « Quand un ami nous a déjà trompé, on ne peut plus lui faire confiance » : il fait référence à ses cinq sens « Je suis, j’existe » « Cogito ergo sum » : J’existe donc je suis Je pense et je suis conscient de ce que je pense, donc j’existe. DESCARTES pense que le malin-génie ne peut pas lui faire croire qu’il existe, il peut lui souffler des idées fausses mais lui, il sent des idées en lui

cette espèce, il est possible d’être soi, en tant qu’être humain. De plus, apparaît dès à présent la notion de pensée, qui appartient à l’Homme. La pensée est abordée par Descartes comme celle qui prouve l’existence de la conscience de soi : cogito ergo sum, je pense donc je suis, je perçois que j’existe en pensant, autrement dit le soi existe dès que la pensée existe. Il est donc possible d’être soi, d’exister en tant que soi, un soi pensant, que l’on ressent. Cependant ce phénomène s’applique

pleinement. Enfin, n'est-ce pas grâce aux mots que l'on peut se libérer d'un traumatisme enfoui ? I – Une distance originelle des choses A ) Ainsi, avec le philosophe Descartes s'opère la recherche d'une certitude absolue et qui sera « cogito ergo sum », qui conduit ce même philosophe à pratiquer le doute, ce qui aboutit à mettre entre parenthèse l'existence de toute réalité extérieure. Nos sens sont-ils fiables ? Ils sont parfois pourvoyeurs d'illusions; notre raison l'est-elle ? Nous remarquons

sciences. Dans nos études, nous n’avons donc pas toujours le choix, et cela peut parfois procurer un sentiment de tristesse, de déception. Le doute entraîne la pensée, et trop de pensée entraîne le malheur. « Je pense donc je suis » (cogito ergo sum) est pour Descartes la première vérité absolument certaine. On ne peut en effet en douter sans la prouver, car si l’on doute, on pense et si on pense, on est. C’est à partir de cette vérité première que l’on peut, dit Descartes, reconstruire toutes

pouvons nous définir physiquement, notre taille, notre poids, la couleur de nos yeux ou de nos cheveux… Autant de choses qui font que nous sommes des personnes dites « normales ». Descartes à dis « je pense donc je suis » et sa version latine « cogito ergo sum », comme nous sommes des créatures capable de penser, nous sommes donc des êtres. Mais nous ne sommes pas sûr de bien nous connaître. Selon Augustin, il y a deux sortes de connaissances, celle par intuition et celle par réflexion. La connaissance

solution apparaît : un malin génie peut bien s'amuser à me tromper, s'il essaie de tromper ma pensée c'est bien que cette pensée doit être quelque chose. Je peux douter de tout, mais le fait même que je sois en train de douter prouve que je pense. « Cogito ergo sum : je pense donc je suis. » => DESCARTES a donc prouvé que l'homme pense. II. Le Moi Aliéné Argument = Cette capacité à penser démontrée par Descartes ne serait pas actualisée mais resterait en puissance. HEIDEGGER, Être et