Le Cogito Ergo Sum

utilise la métaphore du roseau pour qualifier la position de l’Homme, qui est le roseau le plus « faible de la Nature », mais qui est pensant. Cette conscience permet même aux plus misérables d’être grands par leur sensibilité, leurs sentiments. Le Cogito ergo sum (« je pense, donc je suis ») de Descartes suit cette même position, car le projet cartésien propose une nouvelle vision de la vie, dont le point d’ancrage serait justement cette conscience. La conscience. Pour ces philosophes, le corps et l’esprit

Dans Les Méditations métaphysiques, Descartes en quête de la vérité certaine, entreprend de soumettre tout son savoir à l'épreuve du doute car il est le seul moyen d'accéder au vrai. Et l'unique certitude qui résiste au doute est celle du "Cogito ergo sum" : Je pense donc je suis. Il cherche à déterminer le fondement même de la connaissance, quelque chose dont il ne puisse pas douter. En remettant tout en cause, il s'aperçoit qu'il ne trouve aucune certitude mise à part une seule : qu'il existe

l’interroger - la conscience au sens plein qui donne à l’existence toute sa richesse. Cogito cartésien Chez Descartes, la base de la connaissance → le doute : c’est donc le doute méthodique. En pensant et en se doutant de tout, on ne peut rien prouver. Même si je doute de tout, je ne peux pas douter que je suis en train de penser et donc que j’existe. « Je pense, donc je suis » Cogito ergo sum. Pascal « L’homme n’est qu’un roseau, mais un roseau pensif, conscient. » ⇨ c’est donc

Descartes en arrive à la certitude du « Cogito ergo sum » en mettant en œuvre un doute dit hyperbolique. Ce doute consiste à considérer tout ce qui est douteux comme faux. Alors tout devient faux : on se rend alors compte que les sens sont trompeurs, que l’on ne peut pas s’appuyer sur les conclusions de nos raisonnements ou démonstrations (risque de commettre des paralogismes) et qu’on peut même douter de la réalité de notre pensée. .Quelle est l’autre hypothèse que fait Descartes pour jeter le

appelle paralogismes mais aussi des pensées qui lui viennent quotidiennement à l’esprit. Quelle est alors la seule et unique certitude qui résiste à ce doute méthodique ? Il reste le « moi » comme Cs et comme capacité à penser : il dira donc « Cogito ergo sum ». Toute pensée est consciente car toujours accompagnée du savoir de celui qui pense. Cela implique que la Cs de soi est en même temps connaissance de soi : l’individu est transparent à lui-même parce que non seulement il pense, mais en plus il

entres deux choix qui départagent une décision. Plus la sensation que notre avenir est du à nos choix, plus notre conscience est vivace. Le doute est de toute évidence à l'origine de cette sensation. Descartes le confirme avec sa célèbre phrase « Cogito Ergo Sum » (« Si je doute c'est que je pense si je pense c'est que je suis donc je suis une chose pensante »). Bergson reprend donc un point déjà confirmé mais pousse le sujet plus loin en se posant la question de la vivacité du doute. Le philosophe

leurs opinions on peut voir les limites de chacune de leurs théories et se forger une opinion qui nous permettra d’apporter une réponse à la question: puis-je me connaître totalement et parfaitement, en toute transparence? Descartes a dit « cogito ergo sum » ; « je pense donc je suis » pour en arriver à cette conclusion il a appliqué la méthode du doute qui consiste à douter de tout pour arriver à une vérité absolue, indubitable. Il a donc commencé à douter de ses sens car ils pouvaient se révéler

- 1ère tirade : Ironie de Sganarelle sur l’athéisme de Dom Juan - Comique de geste qui donne le coté burlesque, Changement de registre - 2ème tirade : Au XVIIème le philosophe Descartes a énoncé le principe de supériorité humaine dans le « cogito ergo sum », principe qui est repris par Sganarelle. Dom Juan ne prête aucune attention a son discours. II. Dom Juan domine grâce à son manque de réponse et l’ironie. - Peut de réplique de Dom Juan dans la tirade, il a une attitude sarcastique. - De

conscience morale est la faculté de juger ou de se représenter la valeur morale de nos actes. La conscience suppose l’usage du « je » par lequel l’homme se découvre lui-même et agit volontairement sur le monde. L’homme pense et sait qu’il pense. Le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes est une certitude indubitable. La conscience surgit lorsque l’enfant dit et pense « je » pour la première fois, c’est un changement radical. Ce surgissement le sépare à jamais du monde mais cette rupture

vérité et empêchent ainsi la libération de l’esprit , qui est de plus impossible , l’étymologie du mot sujet nous le prouve , notre esprit doit être assujettis a un objet , doute ou doxa. Cependant, on peut ainsi se demander si l’on peut douter du cogito ergo sum ?