Le Concordat De 1801

liberté, de justice et la présomption d'innocence (dreyfusards), soit la défense de l'honneur de l'armée (anti-dreyfusards). • La laïcité est difficile à affirmer jusqu'en 1905. La République doit trouver un compromis avec l’Église catholique. Le concordat de 1801 (accord passé entre les représentants de l’État et le pape) est encore de vigueur à la fin du XIXème siècle. Le 1er juillet 1901, la loi sur les associations est adoptée, permettant à toutes les congrégations religieuses d'exister à nouveau.

à la tête duquel ils nomment le général Bonaparte assisté de Ducos et de Sieyès. Le 15 décembre 1799, Napoléon proclame la Constitution autoritaire de l’an VIII, pour ensuite devenir 1er Consul muni d’un pouvoir considérable. En 1801, Napoléon signe le Concordat avec le pape Pie VII. Il obtient le droit de veto sur les nominations ecclésiastiques. Suite à ce rétablissement de l’Eglise et du culte catholique, Napoléon amnistie les émigrés le 26 avril 1802. Durant quatre ans, le 1er Consul pacifie

leur cause ds la mesure où il était noble, mais celui-ci écarte sans équivoque un retour à la monarchie, tt en poursuivant la politique de pacification engagée (liste des émigrés déclarée close à partir du 4 nivôse an VIII (25 déc. 1799), Concordat (15 juillet 1801…). La plupart des nobles finirent par se rallier au régime qui leur a permis de rentrer, tandis que les chefs contre-révol sombrèrent dans le terrorisme (attentat de la rue Nicaise en 1800) ou le complot (de Georges Cadoudal 1804) - Restauration

élues mails, 1 seul candidant désigné par 1er consul. Dictature. Français peuvent s'exprimer à travers des plébicites mais vote pas un bulletin secret. 2- Le compomis Napoléonien. Pour réconcillier français, Bonaparte signe avec pape le concordat de 1801. Prêtres nommés par évêques (église), payés par l'état : religion catholique, religion officielle de la France. Pour régler problèmes financiers, Bonaparte crée banque de France et nouvelle monnaie: franc qui reste stable jusqu'en 1914. Pour

Aperçu général sur le XIXe siècle Courants littéraires Le concordat et la laïcité, le libéralisme et le socialisme, l’industrie et l’agriculture intensive, la photographie, Champollion, Chopin, Buffalo Bill, Hachette, Nobel, la tour Eiffel, le Titanic… voici le pêle-mêle des mots qui vous viennent à l’esprit lorsqu’il s’agit d’évoquer le XIXe siècle. Ce siècle a été surtout marqué par 3 grandes tendances : L'industrialisation; La démocratisation; Le nationalisme. Le monde a aussi connu une

réponds aux questions correspondantes (au crayon à papier). B Le Consulat : Réconciliation nationale et fin de la Révolution française Exercice 8 Documents 8 : Une politique de réconciliation nationale Document 8-a : Le Concordat, signé entre la France et le pape Pie VII (15 juillet 1801) Le gouvernement de la République reconnaît que la religion catholique est la religion de la grande majorité des Français. Art. 1. La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son

particulier assurer aux curés et aux évêques un revenu régulier en compensation des biens dont ils étaient privés. C'est ainsi qu'un «comité ecclésiastique» rédige la Constitution civile du Clergé et la soumet à l'Assemblée. Le document qui confirme le concordat conclu en 1516 entre le roi François 1er et les représentants du pape sans en référer à ce dernier. La carte religieuse sera reproduite sur la carte administrative avec un diocèse par département (83 au total) au lieu de 135 précédemment, aux contours

(défilés,…) ne sont pas autorisées. L’Église et L’État ont trouvé un équilibre après les terribles épisodes qui se sont déroulés pendant la Terreur. En 1801, Napoléon Bonaparte, un général de l’armée française qui a pris le pouvoir à la suite d’un coup d’état le 18 brumaire de l’an VIII (soit le 9 Novembre 1799), signe un nouveau Concordat avec le Pape. Il est très peu clair, mais il redonne un peu d’autorité au Pape, qui a un droit de Veto sur les décisions des évêques républicains et les prêtres

religieuses pouvant fonctionner en interne, comme des institutions mais ne sont pas reconnues comme telles par la société. Enfin, la loi concernant la séparation des Églises et de l'État est une loi adoptée le 9 décembre 1905 qui dénonce le concordat de 1801 et qui institue en France un régime dans lequel l'État considérant la religion comme une manifestation individuelle d'ordre privé, lui laisse toute liberté sous le droit commun. L’article 1er : «la République assure la liberté de conscience.

les antidreyfusards (nationalistes catholiques, souvent antisémites). o 1905 : loi de séparation des Églises et de l’État L’État devient laïc en garantissant la liberté des cultes mais n’en finance aucun (contrairement au régime du concordat entre 1801 et 1905). L’État et la religion sont séparés. M. Haddak, collège Voltaire, Sarcelles, 95 200 REPÈRES DE GÉOGRAPHIE D’après le manuel Belin, 2012