Le Concordat De 1801

cette façon que fut anéanti le clergé, les prêtres furent emprisonnés, laïcisé ou bien abattu, en représailles à la période de l'Ancien régime, pour avoir conspirer avec le roi. Démarra donc la séparation de L'État et de l'Eglise à travers le concordat (1801). La séparation des pouvoirs naquit durant la révolution, même si le parlement nommait les juges, et possédait a la fois le pouvoir législatif et exécutif. La liberté de la presse comme évoqué précédemment fut aussi inventer pendant cette période

Article 10 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 26 août 1789 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi » En outre, en 1801, le concordat crée le mariage civil par opposition au mariage religieux. La médecine et l'enseignement deviennent des institutions d'État et s'émancipent alors de l'influence de l'Église. La religion garde cependant son importance au sein de la société grâce

armée qui donne des nouvelles sur l'avancée des troupes et se vente des victoires. Dans un premier temps, il réussit à faire consensus autour de lui dans le cadre du Consulat grâce à un retour à la paix intérieure (paix avec le pape avec le Concordat en 1801) et à l’ordre extérieur (paix d’Amiens en 1802 avec l’Angleterre). 2) Première étape : Le Consulat 1799-1804 Grâce à cela, il devient empereur et construit un empire héréditaire, approuvé par le peuple. Il revient à la guerre et surveille

laïque 1-La laïcité, valeur phare des Républicains *Contexte ds les années 1870’1880’s 1870 : retour de la Rép ms royalistes au pvr 1879 : les Rép st totalement au pvr La place de l’Eglise catho reste importante ds la société : Concordat de 1801 = le catholicisme est reconnu comme « religion de la majorité des Français », le clergé est fonctionnaire + Forte présence du clergé ds l’enseignement Une force réactionnaire, pro-monarchiste, antidreyfusardes, obscurantiste == hostilité

choisi. Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d’un culte. La République n’en salarie aucun. Cet état de choses est remplacé en 1801 par le système dit concordataire que, dans son livre La laïcité (PUF, coll. « Que sais-je ? », Paris, 1996), Guy Haarscher présente ainsi (op. cit., pp. 14-15) : En 1801, Napoléon conclut donc avec le Vatican un Concordat. Celui-ci, complété par des « articles organiques », fut promulgué en 1802. Le régime concordataire concernait en premier lieu la religion

est considérer comme le précurseur de la laïcité, Pour lui, "c'est l'Etat qui doit s'imposer contre la religion". La Constitution Civile du Clergé du 12 juillet 1790 qui nationalise des biens de l’Eglise introduit une première rupture. Le Concordat de 1801 se charge d’apporter un premier règlement de ce conflit avec par exemple la création du mariage civil et de l’état civil. Il y a trois autres éléments fondamentaux de ce premier seuil: la fragmentation institutionnelle où la religion est concurrencée

tribunaux, refonte des droits par la publication d'une série de codes. L'Etat napoléonienne s'attribue le monopole en matière d'enseignement. En 1809, le baccalauréat est crée. Pour se rallier les catholiques et contrôler l'Eglise, il signe en 1801 un concordat ave le pape Pie VII. L'Eglise reconnait le régime républicain et la vente des biens de l'Eglise. La rivalité économique avec l'Angleterre et les coalitions successives des monarchies aristocratiques contre la France amènent Napoléon à se lancer

connaît la disgrâce en 1810. Napoléon Ier, qui impose au pape sous le Consulat la signature du Concordat de 1801, contrôle avec un soin particulier la fidélité du clergé ; lorsque le pape veut s’opposer à l’empereur au sujet de son divorce ou au sujet de la réforme du Concordat, Napoléon le fait arrêter (1809) puis exiler à Fontainebleau (1811) ; le pape finit par capituler, acceptant le nouveau Concordat le 25 janvier 1813 — quitte à le dénoncer le 24 mars suivant. Napoléon défend une conception gallicane

code du commerce en 1807 et au Code pénal en 1810. Par ailleurs, Napoléon Bonaparte garantit la liberté de conscience en reconnaissant la liberté des cultes qui avait été abolie par les Montagnards au temps de l’anticléricalisme virulent. Le Concordat de 1801, signé avec le Pape Pie VII, reconnait que le catholicisme est « la religion de la majorité des Français », mais les cultes protestants et juifs sont aussi autorisés. Par la création des lycées en 1802 et de la Légion d’Honneur, il entérine

aux dialectes, aux patois locaux considérés comme des outils de la contre-révolution. En 1794, 6 millions de français sur 28 millions ne parlent pas du tout la langue nationale. → Le Concordat : compromis entre la France révolutionnaire et l'Eglise Bonaparte a besoin de l'appui de la religion. Concordat de 1801 entre Rome et Napoléon qui devait régir pour plus d'un siècle les relations entre la France et l'Eglise catholique. La religion catholique est désormais reconnue comme celle de En 1814