Le Concordat De 1801

être forcé de contribuer aux dépenses d’un culte. La République n’en salarie aucun ». Malheureusement ce texte n’apaisa pas les tensions entre le peuple et l’Église catholique. Cette tentative laïcisation pris fin avec le concordat signé entre Napoléon Ier et le Vatican en 1801, en rétablissant le catholicisme comme religion officielle de l’Empire. b) Le rôle de la IIIème République Tout au long du XIXème siècle les rapports entre le clergé furent tendus, et le fait que la République s’impose

: l'attentat royaliste de décembre 1800 fait 22 morts et sert de prétexte à Bonaparte pour déporter en Guyane une centaine de ses adversaires républicains. Pour apaiser les esprits, il tente de se rapprocher des catholiques et signe le Concordat le 15 juillet 1801.

historique spécifique. Des faits précis sont énoncés, lieux et dates : « 1802 et 1803 » annoncés directement dans l’entête du récit, « Calais », « la première année du siècle » qui est une périphrase désignant en fait l’année 1801. L’entrevue se déroule « après l’adoption du Concordat par le Corps législatif en 1802 », introduit par la préposition « après ». « Lucien, ministre de l’intérieur » est cité, ce qui donne au lecteur une précision sur un détail politique et donne une réalité plus concrète au

Brumaire (novembre 1799), puis Empereur des français sous le nom de Napoléon Ier (1804-1815) s’emploie à stabiliser la Révolution et à réconcilier la tradition révolutionnaire et celle de l’Ancien Régime. Il négocie avec Rome et signe le Concordat du 15 juillet 1801, où chaque partie est censée trouver son avantage : financement public pour l’Église et neutralisation politique de celle-ci pour l’État. En résumé, le bilan de cette politique religieuse à deux aspects : la paix avec Rome et que la religion

inamovibilité des juges) Le Concordat Liberté religieuse et neutraliste de l’Etat face à la religion (Etat laïc) pour autant cela ne vas pas mener à la séparation de l’Eglise et de l’Etat mise à part une brève séparation sous le directoire il faudra attendre 1905 pour avoir une véritable séparation, les révolutionnaires de 1789 vont plutôt tente d’instaurer un contrôle étroit de l’Etat sur l’Eglise catholique, ce que Napoléon va mieux réussir avec le concordat. De la constituante au directoire

religion ou une croyance. Son article 1 stipule que « la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public. » Elle met fin au Concordat napoléonien de 1801 (créant des relations officielles entre l’État français et la papauté) qui régissait les rapports entre le gouvernement français et l'Église catholique. []Inventant la laïcité à la française, elle proclame la liberté de conscience et garantit

décider un point de conscience » (Discours préliminaire, p. 26). Portalis soulève-cette question lors de la présentation du Discours préliminaire en 1801, dans un contexte politique et juridique particulier. Lequel ? Expliquez. Quel était le droit en vigueur en matière de divorce avant l’introduction du Code civil? Contexte politique et juridique : En 1801, il y a une nécessité de reconstruire la stabilité française. La Révolution a amené une succession de régime instable, ces derniers se succèdent

magistrat ne s’achètent plus. Les magistrats sont élus. La justice est la même pour tous. C. Un héritage religieux : sécularisation et laïcisation de la société La Révolution française a mis fin aux privilèges du clergé catholique. Le Concordat de 1801 est un texte qui organise les rapports entre les différentes religions et l’Etat. Comme l’Etat se laïcisent, elle se sépare de l’Eglise. L’Eglise perd ses privilèges au sein de la justice et ses privilèges fiscaux (prélevait la dîme).   III)

n'accordait aux femmes que des droits limités. c)lien entre l'empire avec la religion Tout comme Voltaire, Bonaparte estimait que le peuple avait besoin de religion. Après dix mois de négociations avec le pape Pie VII, la signature du Concordat de 1801 réconcilia l'Église et la Révolution. Les curés reçoivent un salaire de l'état et le catholicisme devient la religion de la majorité des français, et non plus une religion d'état, en effet il pense aux protestants et aux juifs. Transition :

plus autoritaire Bonaparte mène une politique de réconciliation nationale pour rétablir la paix en France : - Pour satisfaire les royalistes, il accepte, sous conditions, le retour des nobles émigrés pendant la Révolution et signe un concordat avec le pape en 1801 ; - Pour les révolutionnaires, il rétablit le suffrage universel. - Il réorganise l'État et l'administration : crée la Banque de France, les préfets ; réforme les impôts ; instaure le Code civil en 1804. Ce texte est d'essence plutôt