Le Concordat De Bologne

seulement les relations entre Eglise et pouvoirs laics, mais a aussi des incidences ecclésiologiques  la science de l’eglise.elle va renouveller les relations entre clers/laics et dans le monde des clers entre eveques/pape. Les années 1120 : concordat de Worms  equivalent d’un accord quand un des protagoniste est la papauté. On l’appelle aussi Querelle des investitures. En 1123 : Calixte II réunit un concile à Rome. l’empereur ne désigne plus l’eveque par le spetre, mais seulement par la

plus nombreux dans le Midi où certains sièges épiscopaux ne sont que de gros bourgs. De façon moins répandue qu’en Allemagne, certains prélats sont également seigneurs temporels : par exemple l’évêque de Mende est comte du Gévaudan. Depuis le concordat de Bologne, obtenu par François Ier en 1516, c'est le roi qui nomme les évêques. Des personnalités de l'église accèdent au poste de premier ministre, c'est en particulier le cas d'Armand Jean du Plessis de Richelieu (1624-1642) et de André Hercule de

expression qui désigne désormais l’ensemble de la compilation justinienne. Bologne en est le centre. Quant au droit canonique, stimulé par le réveil du droit civil et par le rapide déploiement institutionnel de l’Église, il connaît dès le milieu du xiie siècle un essor sans précédent. Les « deux droits », étroitement associés l’un à l’autre, apparaîtront bientôt comme « droit commun » de l’Europe occidentale. 1. Bologne La « découverte » du droit de Justinien a été longtemps entourée de légendes

tout des hommes temporels, vénaux plutôt que d’humbles pasteurs. Ils vivent fastueusement, pratiquent le mécénat, ne résident que peu dans leur diocèse. Les évêques sont souvent des hommes du roi. En 1516, le roi de F et le Pape signent le Concordat de Bologne  accord qui régit les rapports entre l’Eglise de F et le Pape. Cet accord prévoit que le roi de F est celui qui nomme tous les évêques et abbés de sont roy. Les critères qui prévalent ne sont pas religieux=> ecclésiastiques  hommes de pouv

du champ d'action de l'administration de l'Etat L'Eglise : sous l'AR : roi mais elle était autogérée, sous la révolution on a la constitution civile du clergé mais comme c'est un domaine trop important Napoléon veut contrôler. Il conclu le Concordat avec le Pape en 1801 et les cultes vont être intégrés dans l'administration publique. Les membres du clergé deviennent fonctionnaires. La carte ecclésiastique change on fait la même chose que pour les circonscriptions, CAD les départements. C'est

début du XIIème, est apparu à Bologne un enseignement régulier qui devait donner naissance à la première université de droit. Le développement de ce centre, sa croissance, son rayonnement jusqu'en Allemagne, sont attestés pour le milieu du XIIème siècle par une constitution de l'Empereur Frédéric Barberousse ; le prince y prenait, sous sa protection spéciale, les maîtres et étudiants qui faisaient route pour se rendre aux écoles. Les étudiants venus de l'étranger à Bologne étaient jugés par leur maître

à la bataille d'Agnadel 1511 : Jules II fondre avec Venise, la Suisse et l'Espagne la Sainte Ligue1512 : Les Médicis sont rétablis à Florence1515 : Victoire de Marignan sur les Suisses. François Ier (1515-1547) reconquiert le duché 1516 : Concordat de Bologne : reconnaissance de l'Eglise gallicane par Léon X1521 : Reprise des hostilités. La France est chassée de Milan 1524 : L'armée française assiège Pavie mais le 24 février 1525 François Ier est fait prisonnier. Libéré, il reprend la guerre. La

membres, repartis de la manière suivante : - 70 000 séculiers - 60 000 réguliers (dont 40 000 religieuses). Dans le Clergé, s'opposent le Haut Clergé et le Bas Clergé. Le Haut Clergé est un prolongement de la noblesse. En effet, depuis le Concordat de Bologne (1516), le roi nomme les évêquess qu'il choisit bien sur dans sa noblesse (de Rohan, de la Rochefoucauld, de Talleyrand...). Le Bas Clergé et issu de la petite bourgeoisie rurale ou citadine, et critique le train de vie des hauts prélats étant

Résistance au changement et crise intérieur 1. La résistance du parlement Elle se manifeste à 2 occasions, face à cette volonté du roi d’affirmer son autorité : -Concordat de Bologne (1516) : François 1er avait obtenu le droit de nommer les évêques de France. Or ces parlementaires sont jaloux et vont bloquer l’enregistrement de ce concordat, qui se fera finalement en 1518. Ces parlementaires sont imprégnés d’un courant idéologique : le gallicanisme (prône l’indépendance de l’Eglise de France par rapport

eux d’une perte considérable. Le premier pape réformateur est Léon IX (pape de 1049 à 1054). La période de la réforme grégorienne se clôt au moment où l’empereur germanique reconnait l’autonomie de l’investiture des évêques par le Pape lors d’un Concordat passé à Worms en 1122. L’onde réformatrice va être beaucoup plus longue. Trois points qui caractérisent cette grande réforme du XIème siècle. Le premier est la révolution pontificale au terme de laquelle l’évêque de Rome prend le pouvoir de l’Eglise