Le Consommateur Irrationnel

Hiérarchiser ses besoins (Pyramide de Maslow) L’analyse de la pyramide de Maslow montre que les besoins du niveau 4 et 5 ne peuvent jamais être pleinement satisfait. II- Les motivations Se sont des pulsions, des souhaits qui guident les choix des consommateurs. Se sont les raisons qui poussent les individus à consommer. A l’inverse les freins sont des motivations négatives qui incitent à ne pas acheter le produit. A- Les types de motivation Les clients sont incités à acheter un produits/service parce

évolution au niveau des offres et des promotions ce qui peut contribue à la perte de repère de la part du consommateur. De plus nous sommes ici en présence d’un marché très concurrentiel avec des marque global ( ryanair, corsair, Virgin, …) Annexe p 6 * Les Tendances clés de la demande - Motivations : Avec le contexte de crise actuelle et la stagnation du pouvoir d’achat le consommateur recherche de plus en plus des produits et services bon marché en se recentrant quelque fois sur des services

des moyens de communication. Le développement du crédit a amené l’invisibilité de l’argent. En plus d’un salaire, le consommateur possède maintenant une tonne de cartes de crédits et une marge trop élevée selon ses capacités. Le total de ce qu’il possède est difficilement accessible. Le geste de consommer est perçu comme positif. Celui qui calcule est vu comme marginal et irrationnel. Les gens sont fiers de consommer et le statut social est conféré selon notre accès au crédit. En jouant sur le sentiment

Roland Barthes : posséder la DS 19 est finalement un rêve pour acquérir une ascension sociale. Dans le roman « Madame Bavary » fait en 1856, monsieur Flaubert analysait déjà l'achat d'objets souvent inutiles, mais qui subviendront aux pulsions des consommateurs. Néanmoins, le fétichisme de l'héroïne n'est pas seulement porté sur le sexe, Sigmund a mis en sous les projeteurs, la valeur érotique des objets, ils recouvrent aussi une dimension psychologique sociale. Selon Karl Marx, la valeur d'échange des

objectifs de communication (donc en terme de notoriété, de connaissance, de changement d'attitude, d'élimination des freins, d'idées de nouvelles situations d'usage, etc.), l'annonceur doit tenir compte de son produit, et de la perception qu'ont les consommateurs de ce produit. Afin de concevoir une stratégie de communication, on va distinguer 2 caractéristiques : Un niveau d'implication. - fort (comme la voiture ou la parfum) - faible (comme les petits pois ou les bonbons) La dominance du mode de

le maximum possible. Le comportement rationnel est inné, on ne l'apprend pas. Il fait intervenir le critère de cohérence: si a > b et b > c alors a > c. Si on constate des comportements irrationnels c'est que c'est juste une erreur. La sélection naturelle va éliminer progressivement les comportements irrationnels. Ainsi on est toujours plus riche si on adopte un comportement rationnel. Le concept de marché, la coordination. Les fins poursuivies par les individus rationnels sont identiques tel

espèrent trouver la recette miracle pour séduire cette cible de consommateurs. En effet un client d'une banque a tendance à rester client tout au long de sa vie, d'où l'importance pour une banque d'attirer le maximum de jeunes I. Les jeunes, un enjeu important pour les banques 1. Caractéristiques du segment des 12-25 ans Les choix de consommation des moins de 25 ans sont bien définis et se basent parfois sur des critères irrationnels. C’est aussi une cible sensible à l’innovation et influencée

« vache folle » et continue peut-être aujourd’hui à la payer ? Sont-ce les pouvoirs publics, les consommateurs, les éleveurs ou encore les distributeurs ? Tout tourne autour des mécanismes du marché, de son efficacité ou de son contraire. Dans la réalité le marché désigne le lieu réel ou fictif, où s’opèrent les transactions, le cadre dans lequel les agents économiques, les producteurs et les consommateurs vont effectuer des échanges selon un certain prix. Grâce à l’exemple de la « vache folle », le

* * L’analyse micro-économique à fait l’objet de deux développement * Théorie du producteur : repose sur la loi des rendements décroissant * Seule la productivité * Théorie du consommateur : montre que l’utilité marginale du consommateur est décroissante et que le consommateur consomme tant que sont utilité marginale est supérieur à la désutilité prix. * L’entreprise dont l’objectif essentiel est de maximiser son profit, embauche si la productivité du salarié est supérieure

des individus et des familles entraînent une forte augmentation des situations de surendettement dans les années 80 : On passe du surendettement actif au surendettement passif. Surendettement actif : insuffisance des revenus et comportement irrationnel de consommation. Surendettement passif : revenu insuffisant par rapport aux dépenses courantes, notamment lié aux accidents de la vie et à une diminution des ressources (chômage, emploi précaire, divorce, maladie….) Loi Neiertz en 1989 instaure