Le Courant Liberale Classique

C – L’EQUILIBRE MACROECONOMIQUE KEYNESIEN 1. Les « économistes classiques » libéraux (Adam Smith, David Ricardo, Jean-Baptiste Say…) partent de la production (l’offre) pour analyser le circuit macroéconomique. En 1803, Jean-Baptiste Say élabore sa « Théorie de l'offre » selon laquelle « l'offre crée sa propre demande » ou encore « les produits s'échangent contre des produits ». Autrement dit, la production engendre un montant de revenus égal à la valeur de la production et les revenus engendrent

religion Chrétienne. Il pose le problème de la valeur des biens. Sans avoir d'explication sur le salaire et le prix, il propose une explication sur "le juste prix" et le "juste salaire" pour permettre aux salariés de vivre dignement. PARTIE 3 Le courant préscientifique dit "mercantilistes" 15è-16è-17ème siècles. Le mercantilisme apparait lorsque les découvertes maritimes montrent qu'il est possible de s'enrichirir par le grand commerce. "la richesse est la quantité des métaux précieux dont le souverain

associés minimum - 100 maximum | | |(personnes physiques ou morales) | |SA (forme classique) |7 associés minimum - pas de maximum | | |(personnes physiques ou morales)

cherchent à savoir comment satisfaire au mieux s leurs besoins. La science économique est une science relativement jeune puisqu’elle ne compte que deux siècles et demi d’existence. Qu’est-ce que le keynésianisme ? Ce terme regroupe les différents courants de pensée de sensibilité keynésienne c'est-àdire suivant les enseignements de Keynes principalement. Quelle que soit leur diversité, ils se retrouvent au moins sur 4 points : 1. La macroéconomie comme méthode d’analyse de l’économie 2. L’approche

l’analyse économique I- Les mercantilistes : Le mercantilisme est apparu entre le 16e siècle et le 18e et marque une période de transition entre le moyen âge et le capitalisme industriel, Adam Smith est le premier à avoir utilisé ce mot. Ce courant n’a porté ses fruits qu’entre le 19e et 20e siècle. 1) L’Europe du Moyen âge : Chute de l’empire romain et de l’économie marchande entre le 5e et 10e siècle ce qui va engendrer des transformations à partir du 11e siècle qui se renforceront au

------------------------------------------------- FICHE AUTEUR sur : Max Weber (1864-1920) Réalisée par Tatiana MANZINALI COURANT DE PENSEE Individualisme méthodologique | | PRINCIPAUX OUVRAGES * Ethique Protestante & Esprit du Capitalisme (1905) * Economie & Société (1922, posthume) | | THEMES & CHAPITRES DU PROGRAMME * Les grands courants * La rationalisation des activités (E.D.S.) * Croissance, développement & changement social (T.C.) * Mondialisation

dominants-dominés. IV. évolution de la pensée économique Les courants de pensée économiques ont fortement influé sur leur époque et inversement sont nés d’un contexte particulier. A.Les Classiques Pensée mercantiliste : Richesse=quantité d’or. « Enrichissement du prince passe par l’appauvrissement de ses sujets » Machiavel. Economie stagnante post take-off : Economie à somme nulle : ne dégageant pas de surplus. Pensée libérale : Fin du XVIII-mi XIX. En rupture avec la pensée mercantiliste

Théories Economiques Comparées Quels sont les déterminants de la croissance ? Quels sont les principaux courants ? Première partie : les classiques ; quelle est l’analyse de la croissance et des crises selon les classiques ? Deuxième partie : analyse marxiste de la croissance et des crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives

Lafayette l'a beaucoup influencé. Elle écrivit en 1672 une œuvre qui domine tous les romans parus à cette époque : «La princesse de Clèves » qui est considéré comme un roman classique. Ainsi, même s'il peut d'abord paraître comme un roman historique, il est en réalité un roman moderne dans l'étude des personnages ; u roman classique par son organisation ; un roman précieux par son style. Ce roman analyse, voire dissèque les sentiments et les passions, insiste sur l'incompatibilité voire l'antagonisme

l’Etat ! On observe un relatif recul de l’Etat dans les années 80 qui résulte du développement d’un courant libéral (diffusion des idées importantes keynésiennes qui orientent la politique), remise en cause des politiques conjoncturelles (Friedman qui impose sa politique monétaire). Les années 90 traduisent un renouveau théorique. Les auteurs se regroupent dans une nouvelle macroéconomie classique. Certaines dépenses de l’Etat ont une influence positive sur la croissance, justifient l’intervention