Le Créancier Face Au Régime Matrimonial

famille qui organisent leurs droits, le droit de la famille, et le juge n doivent intervenir que lorsqu‘il y a conflit. Le droit doit donc s‘adapter aux problèmes familiaux. C‘est pour cela que le législateur à créer en 1875, le juge aux affaires matrimoniales, devenu le JFA compétence spécifique au TGI. L’application de la règle de droit est toujours délicate dans ce domaine car elle touche aux rapports personnels des individus. Le droit a essayé de s’adapter à ces spécificités des affaires familiales

distinction entre droit civil et droit commercial et on suppose que le d civil romain suffisait à résoudre les litiges qui naissaient à l’occasion de relations commerciales et donc à l’époque le d cial était inutile. B. Le Moyen-âge et l’ancien régime. 1. Le Moyen-âge C’est au moyen âge que vont naitre les institutions fondamentales du droit commercial dans les grandes foires. Par exemple, les banques, les sociétés, la lettre de change, ainsi que les juridictions commerciales. Le commerce maritime

Section 1 : Le droit de gage général du créancier chirographaire La sûreté ( crédit Le créancier accorde à son débiteur un délai pour exécuter son obligation. La condition du crédit est que le créancier ai des chances que l’obligation soit exécuté à l’échéance (au terme du crédit). Le débiteur dispose d’un droit de créance qui peut être inefficace si il ne rembourse pas. Droit de gage général : il n’offre au créancier qu’une sécurité limitée. Le créancier à un droit personnel sur l’ensemble des

paraît caractériser la personne morale c'est qu'elle a un patrimoine , un patrimoine qui n'est qu'à elle et qui ne se confond pas avec le patrimoine personnel pouvant appartenir à chacun des individus dont elle est composée, cela veut dire que les créanciers de l'un de ces individus ne pourront pas saisir les biens appartenant à la personne morale . L'existence d'un patrimoine autonome semble tellement essentiel que l'on a parfois présenté la personnalité morale comme un concept relevant du droit des

mode d'acquisition (usucapion), par opposition à la prescription extinctive. Actif: ensemble des biens et droits évaluables en argent qui constituent les éléments positifs du patrimoine d'une personne physique ou morale et forment le gage de ses créanciers par opposition au passif. Action immobilière: personnelle ou réelle par laquelle s'exerce un droit portant sur un immeuble, ex: action en revendication d'un immeuble. Action estimatoire: action par laquelle l'acheteur, qui découvre des vices cachés

Section I : le courtage matrimonial 9 Section II : les fiançailles 9 Chapitre I la formation du mariage 11 Section I quels sont les conditions 11 Section II la sanction des conditions du mariage 17 Chapitre II Les effets du mariage 20 Section I les effets extrapatrimoniaux 20 Section II Les effets patrimoniaux du mariage 24 Titre II : Le couple hors mariage 25 Chapitre I le concubinage 25 Section I l’existence du concubinage 25 Section II le régime du concubinage 26 Chapitre

d’assistance et d’aide matériel entre les signataires. Ce qui signifie que comme dans le cas du mariage, les deux contractuels se doivent de s’aider mutuellement tant que leur contrat existera. Les partenaires peuvent choisir et établir un régime matrimonial. A défaut, il s’agira de la séparation des biens et les biens communs leur appartiennent pour moitié. Mais, la communauté des biens est bien plus facile, étant donné que le but final est de tout partager, comme en mariage. De plus, ils peuvent

rubrique sont visés l'absence et la disparition, la différence entre les deux est la plus ou moins grande probabilité quant au décès de la personne. Cette plus ou moins grande incertitude relativement au décès explique non seulement les différences de régimes des deux institutions mais également leurs ressemblances. 1-L'absence L'absent est un individu dont on ne sait plus s'il est vivant ou mort parce que depuis longtemps cet individu a quitté son domicile ou sa résidence sans jamais donner de

prémunir le créancier contre l'insolvabilité de son débiteur. Plus simplement, cela assure au créancier qu'il sera payé à échéance. Pour comprendre l'intérêt pratique des sûretés, il faut se rappeler la situation du créancier chirographaire. Il s'agit du créancier qui ne bénéficie d'aucune sureté, ni garantie. D'après les articles 2284 et 2285, le créancier chirographaire dispose d'un gage général sur le patrimoine de son débiteur. Cela signifie que lorsque la dette sera exigible, le créancier insatisfait

rendre service au débiteur, ce n'est pas juridiquement une contrepartie, car le débiteur principal n'est qu'un tiers au contrat : la nature des relations entre la caution et le débiteur n'exerce aucune influence sur le cautionnement. Toutefois, le créancier doit aussi remplir certaines obligations envers la caution (obligation d'information, devoir de ne pas compromettre les sûretés profitantes à la caution,…), Mais ces obligations ne constituent pas juridiquement la contrepartie de l'engagement de