Le Créancier Face Au Régime Matrimonial

statut legal des personnes mariées. Chapitre préliminaire : Les fiançailles Fiançailles: promesse réciproque entre deux personnes de se prendre ultérieurement pour époux. Pour ne pas constituer un obstacle à la liberté matrimoniale, ces fiançailles sont dépourvues de valeur juridique. Cependant elles sont susceptibles de produire des effets qui eux sont juridiquement reglementés. Les fiancés demeurent libre de consentir ou non au mariage. (pas obliger de se marier).

des sortes de contrats mutuels. Mais ce sont des contrats qui n’ont pas lieu d’être en droit => Aucune solution juridique pour des litiges entre concubins. Les concubins s’organisent selon leur simple volonté. On n’applique pas les règles matrimoniales au concubinage. Mais : * Le droit peut accepter des contrats entre deux célibataires étrangers (concubins) : testaments réciproques. * Ces concubins peuvent souscrire à des assurances vie envers l’un l’autre. * La close tontine fait

qui y ont souscrit. C’est ce caractère qui distingue la servitude de l’obligation qui est un engagement personnel. Les servitudes ont en principe chacune leur affectation c'est-à-dire qu’il s’agit de servitude nommées ce qui permet d’adapter leur régime juridique à leur utilité tel que les servitudes de passage, de puisage ou d’écoulement. Enfin, la servitude peut faire l’objet d’un abandon spécialement lorsque le propriétaire du fonds servant veut s’en affranchir grâce au déguerpissement (article

personne cautionnée", pour le cas où cette dernière faillirait à ses engagements (définition tirée du dictionnaire juridique de Serge Braudo en ligne). Ainsi l’article 2288 dispose que « celui qui se rend caution d’une obligation, se soumet envers le créancier à satisfaire à cette obligation si le débiteur n’y satisfait pas lui-même ». Le cautionnement peut avoir différentes sources : légale, ainsi l'étranger qui veut plaider en France et qui est demandeur doit fournir la caution judicatum solvi ; judiciaire

rapports parents-enfants Chapitre III- la dissolution du mariage La dissolution du mariage par le divorce La dissolution du mariage parle décès Sous-titre II- les rapports patrimoniaux dans la famille Chapitre I- Les régimes matrimoniaux Chapitre II- Les libéralités Chapitre III- Les successions TITRE IV- La femme dans le monde des affaires Chapitre I- La femme commerçante Chapitre II- La femme associée TITRE V- La femme et l’emploi

souhaitent son abrogation. Partie 1. Le couple Titre 1. Le couple marié Traditionnellement, tout le droit de la famille était ordonné autour du mariage. Dans le CC il y a des règles très abondantes qui concernent le mariage. Le droit des régimes matrimoniaux sont les règles patrimoniales applicables aux couples mariés. Portalis définissait le mariage comme la société de l’homme et de la femme qui s’unissent pour perpétuer leur espèce, pour s’aider par des secours mutuels à porter le poids de

réglementation et qu’elle peut faire l’objet d’un traitement judiciaire. Depuis une loi du 8 janvier 1993 on a confirmé l’existence d’un juge spécialisé en matière familiale dénommé le juge aux affaires familiales (JAF) à la place du juge aux affaires matrimoniales. C’est l’article L 213-3 du code de l’organisation judiciaire : il est issu du TGI (tribunal de grande instance) et il connait tout le contentieux du divorce, de séparation de corps, il est compétant en matière de l’obligation alimentaire,

du droit comme régulateur social, à la multiplication à côté des Sources nationales : étatiques et professionnelles instances traditionnelles de nouveaux lieux de fabrication du droit et au développement à côté du « droit dur » d’un « droit mou ». Face à ce foisonnement il est nécessaire d’ordonner les sources du droit et donc de les présenter dans leur hiérarchie. L’étude de la preuve doit être guidée par la recherche de ses finalités. En amont du procès la preuve a un rôle de prévention. La partie

rattachement traditionnel en France serait le domicile. La notion de nationalité émerge qu’au 19ème – avt pas de différence conceptuelle entre domicile et nationalité. Ac l’article 3 on trouve une règle de conflit bilatérale et fait basculer le régime français qui fait primer la nationalité. A – Hésitation classique entre nationalité et domicile La notion de domicile Nationalité = lien juridique qui unit 1 personne à 1 Etat – un lien compris différemment selon les Etats même

protection à la femme, la femme obéissance à son mari. Le divorce est prévu par le C.C mais sera supprimé par la restauration en 1816. Le droit de la famille a subit de très nombreuses modifications. Le 13 Juillet 1965 il y a eu la réforme des régimes matrimoniaux. Le 11 juillet 1966 la réforme de l'adoption, le 3 janvier 1968 la réforme des incapables majeurs, le 11 juillet 1972 égalité des enfants naturels et légitimes, le 5 juillet 1974 la majorité est de 18 ans, le 11 juillet 1975 la réforme du