Le Discours d'un roi

s’inspire de l’ouvrage « Le Roman du Renart » pour crée ses personnages. Il y a donc des personnages tels le lion qui incarne la figure du roi : ici un roi féodal puisqu’il réunit un conseil pour solliciter son avis ( « Le Lion tint conseil » vers 15). Il prétend vouloir protéger ses vassaux face à l’épidémie de peste. Les premiers vers de son discours ( « Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous [..] » vers 16-18) sont des octosyllabes avec

Formosante • Combat victorieux contre les inquisiteurs • Arrivée du roi d'Espagne reconnaissant • Festivités en l'honneur des héros • Information sur la guerre qui ravage l'Asie Mineure depuis leur départ • Considérations sur l'origine de l'humanité et des civilisations • Départ des héros accompagnés de deux corps d'armée (Espagnols et Basques) • Arrivée à la future Carthage puis à l'embouchure du Nil • Accueil chaleureux du roi d'Ethiopie • Marche sur Babylone par un itinéraire fantaisiste

est-elle satirique ? - Expliquez pourquoi cette fable correspond parfaitement au principe "instruire en plaisant" si cher à La Fontaine. - Que nous montre la comparaison des discours de l’âne et du renard ? - Quelle est la fonction de l’alternance des différentes formes de discours (DD, DIL ? DI) ? - Pourquoi peut-on parler d’un théâtre social, d’une comédie sinistre ? Questions qui pourraient vous être posées pour la première partie de l’oral. - Cette fable est-elle morale ? - Comment s’exprime

Commentaire de texteVictor HUGO, Le Roi s’amuse, acte II, scène 4, 1832Vous ferez le commentaire littéraire de ce texte en vous aidant des pistes suivantes 1. L’aveu amoureux d’une fille naïve2. Les échanges entre Dame Bérarde et le personnage caché : une scène de comédie ?Introduction :« Dans le drame, on se débat parce qu'on espère en sortir. C'est ignoble, c'est utilitaire. »,déclarait Jean Anouilh dans Antigone en 1944. Le drame romantique marque la naissanced’une nouvelle esthétique théâtrale

«Discours prononcé par le chancelier de l’Hôpital devant le Parlement de Bordeaux, le 11 avril 1564, et la justification de la création de la Chambre de la justice par Louis XIII en 1631.» «Toute justice émane du roi» reflète l’idée du début du XVIIème siècle selon laquelle le roi est effectivement le «grand débiteur de justice». Ceci est le fruit d'une évolution laborieuse de plus de 5 siècles. En effet, à l'époque médiévale, l'exercice de la justice n'est pas encore une compétence exclusive

22 à 26) : « iroquois et topinambour » : langues des indiens d'Amérique, « à merveille » : discours indirect. Mauvaise foi des moins et absurdité des paroles prononcées. Les critiques : -Le clergé : lâche (cf. l.30 à 34) : le père Joseph « s'en tira sans bruit » et « Jésuites se dérobèrent » après avoir « flattés l'opinion » pour conserver le pouvoir. Le clergé ne veut pas se compromettre. - La Cour du roi (Louis XIII) : sentiment malsain de curiosité et de fascination : antithèse (l.29) « admirait

Le roi sait au moment de l'assassinat que ce geste est inutile et funeste. A la fin de la scène 7, il fait entrer toutes les personnes du palais en pleine lumière. En quoi avons nous à faire ici à un dénouement de tragédie? I. Un spectacle macabre 1. Scène spectaculaire * Esthétique du tableau L'auteur est très attaché à la mise en scène de ce passage: importance des didascalies. * Organisé en 2 temps: -Dialogue encadré par deux discours qui correspondent à l'agonie du roi. Puis

les obsèques de la lionne le fabuliste s’intéresse aux rapports entre roi et courtisans. Le lecteur est invité a constater que le milieu des courtisans joue une comédie pouvant s’avérer dangereuse si l’on ne maitrise pas son fonctionnement. Comment le fabuliste séduisant son lecteur par un récit dynamique l’amène-t’il à une réflexion sévère sur la cour et le roi ? I. Une fiction séduisante 1) Un récit vivant Le discours narratif constitue la trame du texte: emploi du passé simple, présence

sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. I. Un récit tragique A) Les ravages d’un fléau : la peste 1. La mort • Dès le début l’intrigue évoque la tragédie d"Œdipe roi" (Sophocle) : Thèbes ravagée par peste, on recherche le coupable de ce châtiment divin. Multiplications de termes négatifs qui soulignent bien la perte de la vie. Il y une généralisation des morts avec la présence d’un chiasme dans la phrase : « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés ». Ceci est accentué

méditation philosophique. Cette fable se définit comme une satire de la monarchie absolue et sa portée politique apparaît d’évidence. Elle met en cause le pouvoir, ses abus et son arbitraire mais aussi la servilité des courtisans. I/ Un discours politique Le roi évalue la situation et prend les mesures qui s’imposent d’après lui. On remarque que les mots essentiels sont repris pas deux fois : « infortune » est repris par le terme « accident » ; « sacrifice » par « dévouement ». D’abord, on remarque