Le Discours d'un roi

sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. dans cette fable, LF notamment du fabuliste Esope ainsi que de Phèdre, Pilpey ou Abstimius. Cette fable met en scène, sous forme animale la cour de Louis XIV(représenté par le lion), lors d’un évènement important : les obsèques de la lionne/reine. dans ses fable, LF ne craint pas la cour et peut donc faire un critique implicite. On pourra donc observer, comment cette fable adopte une forme plaisante pour accrocher, l’attention du lecteur

Texte A : Alfred JARRY, Ubu Roi, acte Ill, scènes 3 et 4, 1888. À la fin du texte A, l’élève fait le point sur les figures de roi qu’il propose. Il serait souhaitable qu’il emploie des termes précis et techniques sur la royauté. On cherche à faire produire une récapitulation claire et exhaustive, sans indiquer les preuves dans l’immédiat. Il s’agit pour l’instant d’un simple exercice de synthèse sur le texte. Quatre rois : • Ubu : c’est le nouveau roi de Pologne, un usurpateur, un

paratexte est donc bien utile. Je commence ici par un rappel qui valorise mes connaissances sur l’objet d’étude et l’histoire littéraire). Ainsi la deuxième fable du livre I des Fables de La Fontaine, « Le corbeau et le renard » est une réécriture d’un thème traité par le fabuliste grec Esope au IVème siècle avant J.C et déjà repris par le fabuliste latin Phèdre. Qui ne connaît pas la ruse du renard qui, par la flatterie, réussit à obtenir le fromage du corbeau ? Cette fable, connue de tous les

la question : « Quelles figures de roi ces quatre extraits proposent-ils ? Justifiez votre réponse. » Support : Sujet d’annales de l’EAF « Par objet d’étude » http://www.site-magister.com/sujets7.htm#ESB Sujet n°3 Séries ES / S Texte A : Alfred JARRY, Ubu Roi, acte Ill, scènes 3 et 4, 1888. Texte B : Jean-Paul SARTRE, Les Mouches, acte II, scènes 3 et 4, 1943. Texte C : Albert CAMUS, Caligula, acte II, scène 5, 1944. Texte D : Eugène IONESCO, Le Roi se meurt, 1962. La classe a pour

Peint notamment des portraits de marchands organisés en corporations à Amsterdam (objectif de faire régner l’ordre dans la ville) donc le célèbre tableau « La ronde de nuit ». Caractéristiques du tableau : · Origine : objet d’une commande d’un riche marchand qui souhaite un tableau d’illustres de l’Antiquité · Conception de la peinture comme objet commercial · Représentation d’Aristote dans un costume anachronique (costume du 17ème siècle) qui contemple et pose la main sur le buste d’Homère 

sans âme agissant de manière mécanique • humanisation : « femme du lion » au lieu de la Lionne  périphrase • Le Prince pour désigner le Roi, prévôts sont des officiers  il s’agit de dénominations • Ambiguïté voulue : le fabuliste multiplie et varie les procédés pour rapprocher les animaux des hommes. • Animaux personnifiés  dotés de la parole, ont des discours argumentés et pleins de rhétorique. • Il intervient sous forme d’incise (courte proposition insérée dans une phrase l 17-23) pour expliquer

négligent, époux et père indifférent. Protégé par Fouquet (1658-1661), la duchesse douairière d’Orléans (1664-1672), Mme de La Sablière (1673-1693) et Mme d’Hervart (1693-1695) , il mène une vie loisirs et publie : Elégie aux nymphes de Vaux (1661), Ode au roi pour M. Fouquet (1663), poèmes de circonstance ; Contes et nouvelles en vers (1665 à 1674), récits licencieux en vers irréguliers ; les Amours de Psyché et de Cupidon (1669), roman en prose et en vers. Ses Fables (12 livres parus de 1668 à 1694) ont

- Créon : Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes. Et Dieu sait si j’aimais autre chose dans la vie que d’être puissant… - Antigone : Il fallait dire non, alors ! - Créon : Je le pouvais. Seulement, je me suis senti tout d’un coup comme un ouvrier qui refusait un ouvrage. Cela ne m’a pas paru honnête

François Marie Arouet), il est lui aussi une lumière. Sa longévité ajoutée à la diversité de son œuvre (Poésie, théâtre, Essais...) fait de lui un symbole de son siècle. Son œuvre est dédiée à la manifestation d’une pensée philosophique, la pensée d’un homme s’interrogeant sur la destinée et la société. Il s’est toujours battu pour défendre ses idées. L’écriture fut pour lui une « arme » lui permettant de défendre et diffuser ses idées. Il était d’ailleurs le plus grand rival et opposant à Rousseau

Problématique : Comment Montherlant met-il en scène le thème de la paternité déçue ? Qu'est ce qui fait du roi Ferrante un personnage tragique ?Confronter Perspectives : Inscrire le thème de la paternité blasée dans la vie et l’œuvre de Montherlant. Confronter les termes de la relation père /fils dans la Reine Morte et dans Fils de Personne : un statut différent dans un contexte spatio-temporel différent. Explorer les enjeux pathétiques et tragiques de cette relation Analyser les traits