Le Droit Coutumier

LE DROIT ET LE FAIT DANS LA SOCIE~ COMPOSITE ESSAI D'INTRODUCTION AU SYSTEME JURIDIQUE MAROCAIN - par Negib BOUDERBALA et Paul PAseON 1. - POSITION DU PROBLEME Ce texte n'a pas l'ambition de proposer une théorie du droit ,marocain. TI veut suggérer une approche du droit fondé non sur la seu~e logique interne des différents « droits » appliqués au Maroc (coutumier, musulman, français, etc...), ce qui aurait pour conséquence de les distinguer, mais sur une articulation en. "':ln système

Histoire du droit privé : la propriété Auteur(s) : Jacques POUMAREDE Présentation(s) : Professeur agrégé de droit (Histoire du droit et des institutions)Université des Sciences sociales - Toulouse IDirecteur du DEA-Master 2 d'histoire du droit et des institutions. Leçon 1 : Antiquité et Moyen Age : les fondements de la propriété Introduction Section 1. Les idées antiques. § 1. La philosophie grecque : le communisme de Platon; l'individualisme d'Aristote. § 2. Les idées romaines. Section 2. Le

Commentaire du discours de Portalis. Interpretatio cessat in claris. Quand la loi est claire, il n’y a pas lieu d’interpréter, il s’agit ici d’une des grandes maximes du droit, cependant il n’est pas dit comment faire quand la loi est obscure, silencieuse ou encore nouvelle. Ce texte pose le problème du rôle du juge lorsqu’il est confronté à une telle loi. Portalis nous fait ici l’éloge de la jurisprudence dans son Discours préliminaire au projet de code civil de l’an XI. Ce texte de nature doctrinale

e LE DROIT ET LE FAIT DANS LA SOCIETE COMPOSITE On dit que le système juridique marocain est complexe car les sources qui le fondent s’approchent et s’avoisinent à la fois. C’est approche est en effet difficile à appréhender, à la fois de par la diversité des sources du droit, des pratiques que l’on y confère et des distinctions existantes. L’incohérence réside dans la diversité des sources du droit marocain, alliage qui se complète mais également qui prête à confusion

elle conduit toujours à simplifier le droit applicable, puisqu’elle rassemble les textes éparpillés en un seul volume. Il devrait alors en résulter une simplification du droit. Pourtant, le seul avantage, est qu’elle déclenche un progrès du droit. Il est logique de comprendre que les règles nouvelles doivent être meilleures que les anciennes. Cependant, on remarque qu’elle présente également des inconvénients. Le principal inconvénient est qu’elle fige le droit, elle est un facteur d’immobilisme. On

Droit international public Introduction : chapitre 1 Le droit international public est l’ensemble des règles qui s’appliquent aux états, organisations internationales et parfois aux individus. Ses sources sont les principes généraux, la coutume internationale et les traités. De nos jours il et considéré comme le droit de la communauté internationale. Avant c’était un droit de la guerre et la paix, un droit de coexistence, mais maintenant il y a un effort de coopération et d’intégration.

limité par les principes constitutionnels inscrits dans les «les lois fondamentales du royaume», par le droit naturel entendu alors comme une véritable norme supraconstitutionnelle, mais aussi par le respect du droit coutumier. Ce n’est pas pour autant que la royauté a ignoré les coutumes, car celles-ci se combinent avec la législation royale pour constituer ce qu’on appelle maintenant le droit français. Quelle est l’influence de la loi salique ainsi que celle de la catholicité sur la royauté, et

HISTOIRE DU DROIT PRIVE. examen : écrit d'une heure, avec 3 questions de cours. Répondre à 2 questions. Introduction : Le droit romain n'est plus aujourd'hui, ce que l'on appelle un droit positif, c'est à dire le droit appliqué à un endroit donné à un moment donné. En Europe il ne reste plus qu'un tout petit Etat, la principauté d'Andorre où le droit romain à très peu évolué. Historiquement, le droit romain c'est le droit des romains de l'Antiquité. C'est à dire le droit qui a été en vigueur

c’est al base sociale. Le droit vient d’en bas et non plus d’en haut. La coutume c’est un usage à forme juridique, et qui tire sa force de la répétition. « Une fois n’est pas coutume ». Mais la répétition en suffit pas à former une coutume il faut que l’usage soit consacré dans le temps, par la durée, càd que l’usage doit être répété mais suffisamment longtemps avec constance pour que son existence soit admise. Outre la répétition, la coutume est une source du droit à al différence de l’usage

TD Droit International public : La coutume internationale QUESTIONS 1) Quels sont les éléments constitutifs de la coutume internationale ? L’article 38 §1 du Statut de la Cour International de Justice stipule que « La Cour dont la mission est de régler conformément au droit international les différends qui lui sont soumis, applique : a) les conventions internationales, soit générales, soit spéciales, établissant des règles expressément reconnues par les Etats en litige ; b) la