Le Déisme

considéré comme intelligible. Doctrine selon laquelle toute connaissance certaine vient de la raison. Matérialisme : Doctrine d’après laquelle il n’existe d’autre substance que la matière. Doctrine philosophique qui ramène tout à la matière Déisme : du latin deus qui signifie dieu. Position philosophique de ceux qui admettent l’existence d’une divinité, sans accepter de religion révélée ni de dogme. Athéisme : Attitude ou doctrine de l’athée. Doctrine des personnes qui nient l’existence

guidé par sa raison. Il sait demeurer indéterminé . Il sait écouter les différentes opinions des autres. Il est sociable et réfléchi. 5) Une religion idéale C’est Voltaire qui est l’inventeur de cette religion, le déisme. Elle consiste à servir son prochain pour l’amour de Dieu au lieu de le persécuter et de l’égorger au nom de Dieu. C’est une religion qui renie tous les intermédiaires entre l’homme et Dieu.

la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’ une conscience morale innée). Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de

soient solidaires en s'adressant à Dieu. Le texte nous fait découvrir les croyances religieuses de Voltaire, il parle d'un « Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps. », en conclusion, d'un Dieu universel. Idée principale du déisme. Pour finir, il reste Beaumarchais et Le mariage de Figaro, une pièce qui met en scène Figaro et le Comte Almaviva. Figaro est son valet et doit épouser Susanne, mais le Comte tente de séduire la jeune fille. Elle prévient donc son futur époux

grandes tendances de ses chansons : l'amitié, la fraternité... Il va peu à peu prendre ses distances par rapport à cette inspiration première ; s'il reste fidèle au thème de l'amitié, il passe lentement d'un amour idéalisé à une solide misogynie, du déisme à l'anticléricalisme et d'une certaine mièvrerie à un anticonformisme qui ira croissant. De grands succès jalonnent sa carrière : La Valse à mille temps (1959), Les Bourgeois (1961), Amsterdam (1965). Son oeuvre, qui ne se distingue pas particulièrement

société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. 3 - La critique de la religion La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’ une conscience morale innée). Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de

Définissez la religion idéale proposée par cet épisode. Déisme et tolérance religieuse. 7. Décrivez le système politique d’Eldorado : quel est le modèle proposé ? Monarchie éclairée : monarque tolérant, ouvert, cultivé 8. En quoi le monde d’Eldorado représente-t-il l’idéal des Lumières ? Politique : monarchie libérale (monarque tolérant, abordable, pas de tyrannie, ouverture aux lettrés => importance des sciences). Religion : déisme, tolérance (>< fanatisme, contre ce qui ‘empoisonne’

- le peuple martyr (I, II, V, VIII) - l'égout, l'orgie et le massacre : images du pouvoir (I, II, IV,V, VIII) - Napoléon le Petit, négatif dérisoire de Napoléon Ier (III) - une société indécente et injuste (II, IV) - l'anticléricalisme et le déisme (II, IV, VI, VIII) - l'Océan et ses ambiguïtés (VII) - le peuple trop passif (VIII) - le châtiment par la honte et non par la peine de mort (VIII) - la force de la parole poétique (VIII, IX) - une énonciation multiple, des tonalités diverses

dominant de neutralité de l’État et le souci de ne privilégier aucune religion. La religion civile est le fruit d’un compromis entre toutes les religions et les non croyants de manière à permettre à tous de communier dans les valeurs républicaines : le déisme : respect d’un « grand architecte de l’Univers », étranger à la tradition biblique ; Le messianisme ou la croyance d’une destinée manifeste de « sauveur ». La religion civile s’incarne dans des lieux : le centre de Washington, les cimetières nationaux

que « le pain que l’on mange n’est pas un pain » mais bien le corps du Christ et que « le vin que l’on boit n’est pas du vin » il représente plutôt le sang du Christ. Bref, en visant les rites religieux, Montesquieu à l’occasion de manifester son déisme de croire en Dieu mais pas en la religion.