Le Fanatisme ou Mahomet le Prophète

en France (Wieviorka, Touraine, Lacorne) Résumé du cours II. Cité de Dieu, cité terrestre. Comparaison entre le christianisme et l’islam 1. Les textes fondateurs, les expériences fondatrices A. Jésus, le nouveau testament, et César. B. Mahomet, le Coran et l’expérience politique. 2. Les rapports entre la Cité de Dieu et la Cité terrestre dans les grands textes théologiques……………....37 A. La pensée chrétienne et la théorie des deux glaives B. La pensée musulmane et la question du gouvernement

jeu d’apparence dans les institutions constitutionnelles mises en place et en débat. Elles masqueraient la continuation de l’éternel despotisme oriental, de cette tyrannie dont Voltaire fit de Mahomet l’incarnation[7], et de l’illégitimité native des dirigeants Arabes qui remonterait à la succession du Prophète. Or, il n’en est rien : le constitutionnalisme et l’autoritarisme, quand ils apparaissent, au XIXe siècle et se répandent le siècle d’après, sur la rive sud de la Méditerranée, prennent

monstres sacrés incarnent l’esprit des Lumières. Génies multiformes, écrivains et philosophes, mais aussi poètes, dramaturges, polémistes, ils ont construit un large pan de la culture française moderne. Voltaire, à nos yeux, incarne la lutte contre le fanatisme. C’est avant tout l’homme de la tolérance, dont l’enseignement passe par la satire et le rire. Rousseau, pour nous, se confond avec l’égalité citoyenne. C’est le héros de la vertu simple et de la République. La Révolution française les a célébrés

été rédigé par le Prophète Mohammed, que le Salut et la Bénédiction d’Allah, soient sur lui, puisque celui-ci était illettré, comme tant d’hommes de son temps. Un tel chef d’œuvre, dans tout le sens du terme, ne pouvait émaner d’un être humain, car la science qui y est contenue transcende le savoir de l’humanité. Le Coran est en effet, un concentré de vérité contre lequel viennent buter toutes les fausses certitudes du monde. Il a été communiqué par l’Archange Djibril au Prophète Mohammed, pour être

de l’Islam) ? La tradition du Prophète (hadith) qui dit : « est  musulman tous ceux qui reconnaissent l’unité de Dieu et l’apostolat de Mahomet. Dieu seul peut juger de la sincérité d’un homme » continue-t-elle d’être ce  plus petit dénominateur commun ? (En 923, le principal cadi de l’empire abbasside à Bagdad, Ibn Buhlul, refusa de dénoncer les rebelles karmathes comme non-croyants, puisqu’ils commençaient leurs lettres par des invocations à Dieu et au Prophète). Cela dit, la division fondamentale

INTRODUCTION L’islam, troisième religion monothéiste du monde, représente aujourd'hui plus d’un milliard deux cents millions de fidèles. Il véhicule auprès des sociétés occidentales des images passéistes, d’immobilisme, de fanatisme et de violence vecteur principal d'expression des mouvements islamistes, et suscite un sentiment de méfiance et de suspicion des occidentaux. De plus, l’Islam apparaît comme rétrograde dans sa conception du vécu féminin. Un constat s’impose : dans

les outils dont a usé l’auteur pour donner à son roman ce caractère engagé ? Quels sont les grands thèmes que dégage cette œuvre ? Et dans quelle mesure ce roman sert-il à dénoncer la condition des femmes soumises aux traditions ancestrales et au fanatisme religieux? Et enfin quelle est la vision ou l’idée que transmet la romancière à travers son histoire ? Après un bref aperçu sur  la littérature féminine libanaise d’expression française, et sur les grands traits marquants dans la vie de  Vénus

Mohammed Ibn Abdallah, le Prophète. Egalement sur sa descendance purifiée, qu'Allah a choisie parmi tous les fidèles comme exemples et guides à tous les croyants. Dieu nous incitait dans le Coran à les suivre, car Il les purifiait et les rendait infaillibles. Il a promis que quiconque montera sur leur vaisseau sera sauvé, et quiconque s'en abstiendra périra. Que les bénédictions et les salutations soient sur les honorables Compagnons qui ont soutenu et honoré le Prophète et sa noble descendance

quatre pattes !... Ce qui fait et fera toujours de ce monde une vallée de larmes, c'est bien l'ignorance et la superstition du plus grand nombre, adroitement entretenues et organisées par l'insatiable cupidité et l'indomptable orgueil des faux prophètes et des vrais tyrans, depuis le fameux Genghis Khan qui savait à peine lire, jusqu'à ceux qui nous gouvernent, hélas, aujourd'hui, et qui ne valent guère mieux ! Les belles lettres, Monsieur, nourrissent l'âme, la rectifient, la consolent ! Elles

philosophie des « Lumières » s’est développée sur le front politique (critique de l’arbitraire du pouvoir monarchique de droit divin, et défense du modèle anglais, celui de la monarchie constitutionnelle), et sur le front religieux (critique du fanatisme catholique qui, avec l’appui de la royauté, prétend avoir juridiction sur les mœurs). L’Église catholique est, aux yeux des « philosophes », compromise avec la forme la plus odieuse du despotisme monarchique : combattre pour la liberté, c’est combattre