Le Fantôme de la rue Morgue

Genre de l’ouvrage. Thérèse Raquin est un roman réaliste car, en effet la description des lieux fait référence à de véritables places, tel que le « passage du pont Neuf ». Le narrateur cite aussi plusieurs rues, comme la « rue Guénégaud », la « rue Mazarine » ou encore la « rue de la Seine ». Le passage du pont Neuf, Paris 5 Le Pont Neuf au petit bras de la Seine – 1912 6 4. Etude de l’ouvrage. Thérèse Raquin est née d’un père capitaine de l’armée française envoyé en Algérie qui

l’Oye . Le Comte de Monte - Cristo La Cantatrice chauve Les Contes du chat perché Contes du jour et de la nuit Cartes sur table D La Dame aux camélias Le Dernier jour d’un condamné . Double assassinat dans la rue Morgue De l’esprit des lois Dom Juan . Du contrat social Discours de la méthode Le Dr Pascal Dominique La Double inconstance Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes Discours sur les sciences et

sans vergogne à son entourage, pour se donner avec succès toutes les apparences de la respectabilité. * Mais son crime le dépasse. Obsédé par la mort, qui lui inspire à la fois un sentiment d’horreur et de fascination, il passe son temps à la morgue. Il entend ainsi vérifier que Camille est bien mort, pour pouvoir oublier son crime. Cet espoir est vain : sa victime ne cesse de le hanter. En proie aux cauchemars et aux hallucinations, il finit par choisir, avec Thérèse, la seule issue possible

tendresses, leur victime ressuscitait pour glacer leur couche. Thérèse n’était pas veuve, Laurent se trouvait être l’époux d’une femme qui avait déjà pour mari un noyé. » *Thème 3 la mort Elle est omniprésente dans le livre : le meurtre prémédité, le fantôme de Camille qui hante Laurent et Thérèse, la mort du chat annonciatrice d’un drame puis le double suicide final. Citation : *chapitre 11, lignes 310 à 317 : « Laurent secouait toujours Camille, en le serrant d’une main à la gorge. Il finit par

« ombre » Rôle des termes connotant la peur, la répulsion : « aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge » Gradation avec l’idée de mort : « on dirait une galerie souterraine », « lampes funéraires » Humidité : « des souffles humides viennent de la rue » (p.20), « les boiseries d’un vert bouteille suaient l’humidité » (p.21) → Ce décor a déjà tous les aspects d’un tombeau et nous met mal à l’aise. Puis l’auteur se focalise sur la boutique où nous découvrirons les principaux personnages. L’enseigne

« ombre » Rôle des termes connotant la peur, la répulsion : « aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge » Gradation avec l’idée de mort : « on dirait une galerie souterraine », « lampes funéraires » Humidité : « des souffles humides viennent de la rue » (p.20), « les boiseries d’un vert bouteille suaient l’humidité » (p.21) → Ce décor a déjà tous les aspects d’un tombeau et nous met mal à l’aise. Puis l’auteur se focalise sur la boutique où nous découvrirons les principaux personnages. L’enseigne

d'Oz de Victor Fleming (1939), d'après un conte populaire de Frank L. Baum.  Crédits: Getty Consulter Les dirigeants de l'Universal ne restaient pas non plus inactifs et poursuivaient avec bonheur leur production fantastique avec Le Crime de la rue Morgue de Robert Florey (interprété par Bela Lugosi), La Momie de Karl Freund – devenu metteur en scène –, où Boris Karloff incarnait Imhotep mort depuis 3 700 ans (1932), Le Chat noir d'Edgar G. Ulmer, réunissant Karloff et Lugosi (1934), Le Corbeau de

tout à coup le regard pâle et froid d’une personne immobile dont la figure à demi monastique dépasse l’appui de la croisée, au bruit d’un pas inconnu. Ces principes de mélancolie existent dans la physionomie d’un logis situé à Saumur, au bout de la rue montueuse qui mène au château, par le haut de la ville. 2. Stendhal (1783-1842), Le Rouge et le Noir (1830) Le texte de la fiction est précédé des trois avant-textes suivants : AVERTISSEMENT DE L’ÉDITEUR Cet ouvrage était prêt à paraître lorsque

éphémère, fragile, disparaissant à la moindre parole non-réfléchie – à l’image de Véra que Roger croyait avoir étreint de nouveau, ou encore Morella qui renaît à travers sa descendante, mais qui se meurt une fois de plus. Le monde des morts, des fantômes est convoqué, et il ne laisse aucune trace de merveilles flamboyantes et attirantes, de fastes lumineux et de musiques enchanteresses aux doux parfums. Néanmoins, l’auteur, s’amusant avec les certitudes et les doutes du lecteur, peut se jouer de

conduira à une conclusion positive..3. _______________________________________________ 1. L’Ecole païenne, Baudelaire, ed. Claude Richois, Gallimard, 1961, page 628 2. Au sujet d’Euréka, P.Valéry, Variété, 1924  3 Double assassinat dans la rue Morgue, E.Poe, page 44 Cette influence est visible dans la structure même du roman policier, puisque celui-ci s’ouvre sur un évènement inexpliqué, soit l’aboutissement (le crime), pour remonter à sa cause (qui a tué ?), et ses circonstances (comment